www.nuitdorient.com

accueil -- nous écrire -- liens -- s'inscrire -- site

Les Vestiges du 1er et du 2ème Temple de Jérusalem Sont Toujours là !

 

Par JSS -Jonathan-Simon Sellem – JSSNews

7/6/11

Voir aussi les 50 derniers articles et les archives gratuites et les infos sur le Temple 

 

 

Le célèbre site World Net Daily publie aujourd’hui un reportage exclusif où il est expliqué que des restes du Premier et du Second Temple Juif de Jérusalem se trouvent toujours sous la surface du Mont du Temple. Ces restes attendent d’être étudiés mais les responsables musulmans refusent catégoriquement de pareilles fouilles. De telles trouvailles prouveraient, une fois pour toute, la légitimité unique du peuple juif sur cette esplanade.

 « Je pense que nous trouverons tous les restes de la période du Premier Temple, y compris des vestiges du temple lui-même », a déclaré Mazar, un archéologue spécialiste du Proche-Orient. « Je veux dire, personne n’a jamais sorti les restes de ces temples, ils sont donc forcément toujours là ! »

Mazar affirme être « absolument certain » que ces restes, « y compris ceux du Second Temple », sont encore en place… Ainsi que des vestiges de la période byzantine, puis du début de la période de la colonisation islamique dans la région. Tout est là, sous le Mont du Temple.

« Je suis absolument sûr de ce que j’avance et je le fais à la lumière de mon expérience très riche en excavation. Je suis à Jérusalem depuis 30 ans maintenant et tous ces vestiges sont en attente d’être révélés. Si cela est impossible aujourd’hui en raison de sensibilités diverses, nous devons veiller à ce que ces restes ne soient pas perdus dans des temps futurs. »

Mazar dirige le département des fouilles à la Cité de David, un village archéologique au pied du Mont du Temple, là où le roi David construisit son palais et établit sa capitale. Dans Jérusalem, les membres de ce département ont déjà découvert énormément de vestiges de l’époque, y compris un long tunnel utilisés par les Israélites de Jérusalem, ainsi que le plus vieux bain rituel du monde.

Aujourd’hui, ils accusent le Waqf, les gardiens islamique du Mont du Temple, de détruire des objets du temple tout en essayant de transformer le Mont du Temple en une « mosquée géante ». Selon eux, comme selon de nombreux rapports d’experts indépendants, les Musulmans qui régissent actuellement le site détruisent tous les objets historiques qui y sont trouvés et dénotent d’une présence juive ultérieure à celle des inquisiteurs arabes.

D’ailleurs, la dernière fois que le Waqf a effectué une fouille de grande envergure sur le Mont du Temple – lors de la construction en 1998 d’une mosquée dans une zone appelée “les écuries de Salomon” – il a fait venir des bulldozers et des camions, écrasants des objets chargés d’histoire de l’humanité. Faire venir de pareils engins sur un site archéologique est un crime historique.

A l’époque, Israël avait dû finalement geler la construction de cette mosquée, après avoir trouvé dans la décharge où était apporté la terre retirée du Mont du Temple des dizaines d’objets volontairement détruits, témoignant de la présence juive millénaire sur le Mont du Temple.

Certains de ces objets, comme une lampe hasmonéenne et plusieurs autres lampes du Deuxième Temple, ont été restaurées et sont aujourd’hui des pièces de musée témoignant de l’époque du Temple.

En 2008 Mazar avait déjà mis à jour le sceau royal d’un prince de l’Ancien Testament, Guedalia. La gravure a été découverte à environ 180 mètres au sud du Mont du Temple. En argile, le sceau était étonnamment bien conservé. Guedalia est mentionné par son nom dans Jérémie 38:1 alors qu’il servait le Roi Juda Sédécias, dans les derniers jours avant que Jérusalem ne soit conquise par le roi Nabuchodonosor de Babylone en 586 avant J.-C.

En plus d’entraver à la liberté de religion, il semble donc se confirmer tous les jours un peu plus que les Palestiniens entravent également le droit au savoir historique. D’où, une fois de plus, la nécessité pour Israël de réellement réunifier Jérusalem pour enfin mettre à jour des trésors historiques qui n’attendent que de revoir la lumière du jour.