QUI EST LE
HEZBOLLAH?
Source: ambassade d'Israël à Paris
Hezbollah
signifie
en arabe « parti de Dieu ».
Le
Hezbollah est une milice chiite islamiste soutenue par l’Iran et violemment
opposée à l’Occident.
Sur
l'emblème du Hezbollah, est écrit au-dessus de la main qui tient un
fusil-mtrailleur : « Seuls [ceux qui font parti] de la religion
d’Allah [c'est-à-dire Mohamed et ses fidèles] sont les gagnants »
1979 : des Gardiens de la
révolution iranienne, les Pasdarans, débarquent au Liban pour exporter
la révolution iranienne et sont accueillis par Mohamed Hussein Fadlallah dans
les camps d'entraînement militaire érigés à cet effet.
1983 : deux élèves de Fadlallah
sont promus « martyrs » à l'occasion d'attentats-suicides visant des
bases américaine et française à Beyrouth.
16
février 1985 :
naissance officielle du Hezbollah.
Mohamed
Hussein Fadlallah, Inspirateur idéologique et « guide spirituel »
Théologien
né en Irak d’une famille libanaise, il s’installe à Beyrouth en 1966. Il relaie
les discours de l'ayatollah Khomeiny. Depuis l’instauration du régime des
Ayatollah en Iran en 1979, l’Iran lui verse des fonds très importants.
Hassan
Nasrallah, Secrétaire Général, dirigeant effectif
Il
étudie en Irak avec le chiite radical Muhammad Baqir al-Sadr (oncle de Muqtada
al-Sadr qui a combattu les Américains à Najaf). En 1978, il revient à Beyrouth,
et devient rapidement le chef opérationnel du Hezbollah, puis son Secrétaire
général depuis 1992.
Les
membres du Hezbollah ont la particularité de faire le salut nazi (1).
Rappel des actes terroristes (extrait)
-
Libanais. Des centaines de Libanais chrétiens sont toujours portés
disparus ; au moins 6 Libanais juifs ont été enlevés et assassinés, dont
un homme de 80 ans et ses deux fils ; 17.000 Libanais en tout restent
portés disparus depuis la fin officielle de la guerre du Liban.
-
Soldats et civils israéliens.
-
Soldats et civils occidentaux
Une
centaine d'otages occidentaux a été enlevée par le Hezbollah. Parmi eux, 16
Français, 12 Américains, 4 Allemands et 8 Anglais. Dix sont morts exécutés.
Les
enlèvements – de soldats ou de civils - sont une « spécialité » du
Hezbollah.
Le sort des otages est parfois caché des années, des décennies. Le plus célèbre
kidnappé en Israël est Ron Arad, aviateur israélien capturé en 1986, et dont on
est sans nouvelle depuis.
L’ONU
parle de « disparition forcée » lorsque des personnes sont détenues
contre leur volonté par des agents qui refusent ensuite de révéler le sort qui
leur est réservé. Ce type d’enlèvements est considéré comme un crime non
seulement à l’égard de la personne enlevée, mais aussi pour sa famille qui
subit en plus de la disparition la torture morale de ne rien savoir.
Juillet
1982 :
enlèvement de David Dodge, vice-président de l'Université américaine de
Beyrouth, premier de la longue liste des otages du Hezbollah.
1983 : le Hezbollah enlève
William Buckley, chef de la CIA à Beyrouth, puis l’assassine. Ses restes ont
été retrouvés le 27 décembre 1991 dans la banlieue sud de Beyrouth.
1985 : 4 Français
enlevés : 2 diplomates (Marcel Carton et Marcel Fontaine), 1
journaliste (Jean-Paul Kauffmann) et un chercheur au CNRS (Michel Seurat,
exécuté en 1986. Son corps n'a jamais été retrouvé).
Le
journaliste américain Terry Anderson, chef du bureau Moyen-Orient d'Associated
Press, est détenu pendant près de 7 ans.
1986 : 6 Français
enlevés, dont 4 journalistes d’Antenne 2.
1988 : William Higgins, un
officier américain travaillant pour l’organisation de supervision de la
trêve de l’ONU au Sud-Liban (UNTSO) est kidnappé par le Hezbollah, détenu
pendant 528 jours avant d’être exécuté par ses ravisseurs.
2000 : 3 soldats israéliens sont
enlevés le 8 octobre, et un civil, Elhanan Tannenbaum. En janvier 2004, les
corps des trois soldats enlevés ainsi que Tannenbaum furent échangés contre 429
prisonniers libanais et palestiniens.
Attaques-suicides, attentats terroristes
18
avril 1983 :
attentat-suicide au camion piégé contre l'Ambassade américaine à Beyrouth,
revendiqué par le Hezbollah sous le nom de Jihad Islamique. 63 morts et 120
blessés.
23
octobre 1983 :
explosions simultanées de deux camions piégés devant les casernes des
« marines » américains et de l'Armée française à Beyrouth. 241
marines américains et 56 parachutistes français de la Force multinationale sont
tués. La veille de l'attentat, les deux futurs « martyrs » étaient
longuement reçus par le guide spirituel du Hezbollah, cheikh Mohamed Hussein
Fadlallah.
21
décembre 1983 :
attaque contre des soldats français de la FINUL au Liban Sud. Bilan : 10
morts, dont un soldat français, et 110 blessés.
1984 : l’annexe de
l'ambassade américaine près de Beyrouth est frappée par un camion piégé :
16 morts.
1992 : le Hezbollah
revendique l’explosion de l’Ambassade d’Israël en Argentine qui fait 29 morts
et 242 blessés et ravage complètement le bâtiment.
20
novembre 2000 :
une bombe placée sur la route en Israël fait sauter un autobus qui menait des
enfants de Kfar Darom à leur école de Neve Dkalim, dans le Sud de la bande de
Gaza. Il y a deux morts (deux adultes) et 9 blessés, dont 5 enfants. L’attentat
a été revendiqué conjointement par trois groupes, dont un jusqu’ici inconnu, le
Hezbollah en Palestine.
En
France
Entre
Décembre 1985 et Septembre 1986, 13 attentats (dont 2 avortés) à Paris font au
total 13 morts et plusieurs centaines de blessés. Toutes les pistes remontent
au Hezbollah et à l’Iran.
Détournement d’avions
Décembre
1984 :
un avion de ligne koweïtien est détourné et deux passagers américains, employés
de l'Agence Américaine pour le Développement International sont assassinés. Les
Iraniens qui prirent d'assaut l'avion après son atterrissage à Téhéran
promirent de passer les pirates de l'air en jugement, mais ils les laissèrent
quitter le pays.
1985 : le Hezbollah pirate
un autre avion américain de la compagnie TWA, le force à aller se poser à
Beyrouth où il est retenu pendant 17 jours. Durant ces deux semaines un
officier de la marine américaine à bord de l'avion est tué par balle, son corps
jeté comme une charogne sur la piste, sous l’œil des caméras.
Attentat
contre un bureau d'El-Al et une synagogue à Copenhague. 1 mort et 26 blessés.
1988 : Détournement du vol
422 de la Kuweit Airlines reliant Bangkok au Koweït. L'avion se pose en Iran, puis
à Alger où les pirates s'échappent. 2 otages koweïtiens sont assassinés.
Bombardements
et tirs
Entre
1983 et 2000 :
innombrables tirs de katioucha et autres actions armées contre le Nord d’Israël
faisant de nombreuses victimes dans les rangs de la population israélienne.
4
avril 2002 :
le Hezbollah blesse 5 membres de l’ONU pour les empêcher de passer.
10
août 2003 :
des tirs du Hezbollah sur le village israélien de Shlomi tuent un adolescent de
16 ans, Aviv Dadon, et blesse quatre autres personnes.
Les
documents saisis dans les bureaux de l'Autorité Palestinienne par l’armée
israélienne pendant l’opération Rempart (avril 2002) prouvent sans ambiguïté
l'action de Téhéran, de Damas et du Hezbollah dans le terrorisme palestinien.
Activité
militaire commune Hamas, Jihad islamique, FPLP, Hezbollah : Dossiers des services de
renseignement palestinien, rapport du 31 octobre 2001 - Rédigé à l'intention
d'Arafat par Jibril Rajoub, chef d'un des services de renseignement
palestinien : « Des réunions intensives se déroulent actuellement à Damas.
Y participent les chefs du Hamas, du Jihad islamique, du FPLP-CG
et du Hezbollah. Grâce à l'aide financière de l'Iran, il
s'agit d'accroître les activités militaires communes. Tout cela
intervient après qu'un message iranien a demandé aux responsables du Hamas et
du Jihad islamique d'empêcher que la situation ne se calme en lançant des
attaques suicides contre les Israéliens. L'argent sera transféré via le Hezbollah
afin de déclencher l'escalade dans les prochains jours. »
Bateau
Karine A : intercepté en mer par les Israéliens en janvier 2002, contenait
50 tonnes d’armes offensives envoyées par l’Iran à l’Autorité Palestinienne
d’Arafat.
Mai
2000 : Retrait israélien du Sud-Liban
Entré
au Liban en 1982 pour y chasser l’OLP qui le bombarde sans relâche, Israël se
retire partiellement en 1985 en maintenant une zone tampon au Sud-Liban. En mai
2000 le retrait israélien est total - officialisé par l’ONU qui décrète que la
« ligne bleue », frontière entre Israël et le Liban est respectée -
et le Hezbollah prend « possession » du Sud-Liban.
Le
Sud-Liban est totalement contrôlé par le Hezbollah.
L’armée
libanaise n’y pénètre pas.
Le
Hezbollah n’a plus le prétexte de la présence israélienne au Liban, ce qui ne
l’empêche pas de tirer des obus et des missiles pour bombarder le Nord
d’Israël.
-
Les années 80-90 sont marquées par le terrorisme international et les prises
d’otage au Liban, et bien sûr les attaques incessantes sur Israël.
- Depuis
le conflit israélo-palestinien en 2000 : le Hezbollah intensifie ses tirs
de roquettes sur Israël et s’est invité dans le terrorisme palestinien.
« Est-ce
une simple coïncidence si les opérations suicides ont repris en Israël au
moment même ou le front Sud [du Liban] s'enflammait ? »
Al-Nahar, journal libanais, 14 août
2003
-
L’Iran et la Syrie ont renforcé la capacité militaire et financière du
Hezbollah.
- Le
Hezbollah a ouvert un front sur la frontière Nord d’Israël et y envoie
régulièrement des roquettes. La portée maximale des roquettes est de 40 km et
peut atteindre Haïfa.
- Le
Hezbollah a commandité et organisé des attentats en Israël : en 2004,
le Hezbollah pilotait 51 cellules terroristes en Judée-Samarie et dans la bande
de Gaza, commettant 68 attaques terroristes (24 Israéliens tués, 52 blessés).
Aujourd’hui,
le Hezbollah a des milliers d’hommes en arme et une batterie de 12.000 missiles
pointés vers Israël.
Depuis
l’élection de Mahmoud Abbas, le Hezbollah tente de faire déraper le processus
en cours entre les Palestiniens et les Israéliens.
Malgré
tout cela, le Hezbollah cherche à masquer ses activités terroristes et ses buts
hégémoniques en s’infiltrant de façon plus « douce » dans la société
libanaise :
-
Le Hezbollah, grâce à la prodigalité de l’Iran, dispense des aides sociales
abondantes et assied ainsi son emprise sur la société libanaise.
-
Le Hezbollah est entré au Parlement depuis 1992. Il a aujourd’hui 12 sièges sur
les 128 du Parlement libanais.
Le
Hezbollah d’autre part endoctrine quotidiennement les Libanais et le monde
arabe grâce à sa télévision Al-Manar.
Nasrallah
a donc un outil puissant pour diffuser ses messages et ses appels à la
guerre du jihad contre l’entité sioniste :
-
Novembre 2002 : « La nation islamique a recommencé à utiliser les
attaques suicide ; sans ces attaques, la lutte n’a aucun sens. (…) Nous
devons diffuser [l’idée de] la mort pour suivre la voie d’Allah et des actions
suicidaires pour la lutte de la nation [islamique] afin de protéger
notre terre. » (Nasrallah, El-Intikad (journal du Hezbollah),
15 novembre 2002)
-
Mai 2003 : Nasrallah appelle les Palestiniens à continuer d’utiliser un
langage de guerre et à poursuivre l’intifada et les opérations suicides :
« La guerre du jihad contre l’entité sioniste durera tant que cette
tumeur cancéreuse [Israël] ne sera pas extirpée ».
ØJuillet
2004 : Nasrallah déclare officiellement que son organisation soutient
concrètement le terrorisme palestinien.
Où
a-t-on vu un groupe parlementaire posséder 12.000 missiles dont l’ordre de tir
ne dépend pas de l’Etat, mais de pays étrangers ? Existe-t-il au monde un
« parti » représenté au Parlement qui a la capacité de frapper
partout dans le monde, et qui commet des attentats à l’étranger ? Quel
groupe parlementaire s’est spécialisé dans l’enlèvement de soldats et de civils
? Quel groupe parlementaire finance des terroristes pour commettre des
attentats-suicides à hauteur de 100.000$ par acte ?
Le Liban accuse :
Jubran
Tweini, directeur d’un des plus grands quotidiens libanais, Al-Nahar,
accuse Nasrallah d’ingérence dans les affaires palestiniennes (Al-Nahar,
14 août 2003). Son avis est représentatif de celui de la majorité des Libanais
:
« Qui
décide des actions militaires au Sud [Liban] ? Nous, Libanais, avons le droit
de savoir comment ces décisions sont prises, vu qu'elles affectent directement
tout le Liban et tous les Libanais. (…) Mais nous savons bien, au
fond, que ce n'est pas le Liban qui détermine la poursuite des opérations
militaires au Sud. (…) On peut dire que l'impuissance du
gouvernement, et le fait qu'il n'assume pas ses responsabilités nationales, en
ont fait, aux yeux du monde, le principal responsable des violations de la paix
au Sud Liban, bien que certains de ses membres s'efforcent, par des communiqués
et des déclarations, d'occulter le rôle du Hezbollah et ses opérations. (…)
Nous sommes opposés au Hezbollah parce que ce dernier n'a pas le droit d'exister
en tant que mouvement armé dans l'Etat, notamment depuis l'accord de Taif. Le
Hezbollah n'a pas le droit d'opérer comme un Etat dans l'Etat, par
[la politique du] fait accompli, ni d'appliquer sa propre politique comme s'il
n'existait pas d'institutions gouvernementales (…) Il est inadmissible
de laisser le Hezbollah décider de l'usage de la force contre Israël. [Cette
initiative] doit être celle de tous les Libanais dans le cadre d'une décision
nationale globale et d'une stratégie claire. »
L’Autorité Palestinienne de Mahmoud Abbas accuse :
-
Mahmoud Abbas a envoyé en février 2005 des émissaires au Liban pour tenter de
stopper l’action nocive du Hezbollah.
-
L’Autorité Palestinienne a mis sur pied un comité chargé du contrôle des
transferts bancaires du Hezbollah aux éléments terroristes palestiniens (après
avoir déjà intercepté des correspondances prouvant ces transactions).
Le
Hezbollah effectue des virements bancaires notamment pour payer des terroristes
à commettre des attentats : il est aujourd'hui prêt à payer la somme de
100.000$ pour un attentat suicide, alors que son montant était de 20.000$ avant
l’élection d’Abbas.
-
Des menaces de mort ont été émises par le Hezbollah à l’encontre de Mahmoud
Abbas à la veille du sommet de Sharm el-Sheikh du 8 février 2005. Mahmoud Abbas
en a alerté les Etats-Unis et l’Europe.
Unis
contre Israël, l’Iran et la Syrie se servent du levier hezbollahi comme d’un
bras armé pour maintenir et exacerber les tensions. Ces deux régimes autoritaires
n’ont rien à gagner d’un processus de démocratisation et de paix dans la région
IRAN :
L'Iran fournit l'idéologie islamiste radicale, de gros moyens financiers et des
armes au Hezbollah. Il soutient aussi concrètement les organisations islamistes
palestiniennes.
SYRIE
: La Syrie est un intermédiaire entre l’Iran et le Liban. C’est une base
arrière par laquelle transitent les armes venues d’Iran (et un peu de Syrie).
Damas abrite les bureaux des groupes terroristes libanais et palestiniens.
Menace la paix israélo-palestinienne
Menace l’intégrité libanaise
Au
lendemain du sommet de Sharm el-Sheikh, le 8 février 2005, des membres des
services de sécurité palestiniens (sous couvert d'anonymat) ont rapporté que le
Hezbollah représente actuellement la menace la plus grave à la trêve signée
avec les Israéliens. Ils l’ont dit aux agences de presse Reuters et Associated
Press, parce qu’ils veulent que le monde le sache.
Le
Hezbollah de plus empêche le Gouvernement libanais d’exercer sa souveraineté
sur tout le Liban.
La
résolution 1559 du Conseil de Sécurité de l’ONU appelle à l’intégrité
territoriale du Liban, sa souveraineté et son indépendance politique placée
sous l’autorité exclusive du gouvernement libanais.
L’ONU
ne les nomme pas mais évoque cependant très clairement l’Iran (« les
milices non libanaises »), le Hezbollah (« les milices
libanaises ») et la Syrie (« les forces étrangères »).
Cette
résolution n’est qu’une redite de la résolution 520 du Conseil de Sécurité des
Nations Unies du 17 septembre 1982 ( « strict respect de la souveraineté, de
l'intégrité territoriale, de l'unité et l'indépendance politique du Liban sous
la seule et exclusive autorité du Gouvernement libanais, à travers l'Armée
libanaise, sur tout le Liban »).
Si
l’UE veut jouer un rôle au Proche-Orient, si elle veut un processus de paix
entre Israéliens et Palestiniens, si elle veut un Liban libre, démocratique et
souverain, elle devrait montrer la même cohérence avec le Hezbollah qu’avec la
Syrie.
Par
conséquent, le Hezbollah étant aujourd’hui ce qu’il est, un organisme
terroriste, il faudrait qu’il soit inscrit sur la liste européenne des
organisations terroristes. Actuellement, seul un membre du Hezbollah est classé
par l’Union européenne comme étant un terroriste. Il s'agit du Libanais Imad
Mugniyah, officier supérieur des services de renseignement du Hezbollah.
Le
10 mars 2005, le Parlement européen a adopté une résolution dans laquelle il
« demande à la Syrie de ne tolérer aucune forme de terrorisme, y compris
l'appui à l'activité du Hezbollah ainsi que d'autres groupes armés », et
il « considère qu'il existe des preuves irréfutables de l'action
terroriste du Hezbollah et qu'il convient que le Conseil prenne toutes les mesures
qui s'imposent pour mettre un terme à cette action ».
L’inscription
du Hezbollah sur la liste européenne des organisations terroristes serait un
signal clair de la détermination européenne à aller vers la paix et la
stabilité de cette région.
Cette
inscription implique en outre des sanctions financières qui permettent de
bloquer des comptes en banque dans les pays de l’UE, de casser des réseaux
financiers internationaux qui alimentent le terrorisme.
(1)
note du diffuseur: inspiré du parti baathiste sans doute.