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Israël
doit Procéder à l'Ablation Chirurgicale de la Tumeur Maligne Iranienne
La campagne mondiale
de terreur de la République islamique ne suscite aucune réaction de la part du
monde occidental et, en fait, les lobbyistes, les apologistes et les larbins
iraniens opèrent librement à Washington. Israël devra peut-être agir seul, comme
il l'a fait contre le Hamas et le Hezbollah.
Par Erfan Fard, analyste américain et iranien du contre-terrorisme et chercheur en études du Moyen-Orient basé aux États-Unis.
26 août 2024,
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La structure du régime des mollahs à Téhéran, notoirement connue pour sa prolifération de la terreur, exploite de multiples groupes terroristes à travers le Moyen-Orient. Malheureusement, les pays de la région et les puissances occidentales, notamment les États-Unis, n'ont manifestement pas l'intention de démanteler cette force pernicieuse. Ironiquement, ces mêmes nations engagent des négociations et font même la promotion de ces acteurs malveillants dans les médias occidentaux, contribuant ainsi à une normalisation déconcertante de la terreur.
Les médias occidentaux se réfèrent fréquemment à des personnalités comme Ali Khamenei avec le titre immérité d'« Ayatollah », qui se traduit par « Signe de Dieu ». Cette ironie soulève la question suivante : Quel être divin approuverait le terrorisme représenté par Khamenei ? S'engager avec des terroristes - des individus malveillants qui prospèrent dans le chaos et la destruction - n'apporte aucun bénéfice. Pourtant, nous observons des années de négociations occidentales infructueuses avec le régime des mollahs à Téhéran, agrémentées de séances de photos qui symbolisent ces échecs diplomatiques.
Bien qu'ils aient perdu des centaines de soldats dans la lutte contre le terrorisme parrainé par la République islamique d'Iran et qu'ils aient subi des attaques terroristes sur leur propre sol, l'Europe et l'Amérique semblent ne pas avoir tiré de leçon. L'Occident ne reconnaît pas que ses actions renforcent le régime, alors même que la République islamique poursuit sa campagne internationale de terreur, d'enlèvements, d'attaques d'ambassades et d'autres provocations. On ne sait pas quelles nouvelles atrocités la République islamique devra commettre pour que le monde prenne conscience de cet oubli.
Les services de renseignement et l'appareil militaire de la République islamique élaborent astucieusement des récits ou fabriquent des rumeurs non pertinentes et fausses qui se retrouvent dans les médias occidentaux, favorisant ainsi leur agenda. Les think tanks et les universités américaines accordent des tribunes et des postes à des terroristes notoires, ce qui témoigne d'une conception erronée de la liberté d'expression. Comme si plus on est meurtrier et criminel, plus on est populaire. Même les familles des fonctionnaires de la République islamique se promènent librement en Occident et en Amérique.
Ces négligences et cette naïveté ont rendu le paysage mondial dangereusement incertain. Le réseau terroriste de la République islamique, semblable à un fléau, se répand au Moyen-Orient, en Europe, en Afrique et en Amérique latine, mais le monde du XXIe siècle semble paralysé par l'indécision quant à la manière de faire face à cette menace. La persistance de l'islam radical et du terrorisme islamique constitue l'une des plus grandes menaces pour la paix mondiale, mais une partie importante de la communauté internationale fait la sourde oreille à ces réalités.
Des agences de renseignement de renommée mondiale comme la CIA passent des mois à donner la priorité aux pourparlers de paix plutôt qu'à une action décisive contre des entités terroristes comme le Hamas. Il semble que les générations futures se souviendront de notre époque en s'étonnant de notre complaisance à l'égard de terroristes assoiffés de sang. Ce siècle, cependant, semble dépourvu de réponses.
La République islamique maintient des canaux diplomatiques clandestins avec les États-Unis et Israël tout en orchestrant des attaques terroristes dans le monde entier. Il semble que le régime tienne le monde en otage, jouant un jeu dangereux avec la stabilité mondiale. Alors même que Téhéran fait de la diplomatie publique, il entretient un réseau de terreur qui déstabilise des régions bien au-delà de ses frontières. Toutefois, la République islamique ne dispose pas des capacités défensives et militaires nécessaires pour affronter les États-Unis et Israël. La Chine et la Russie, ainsi que leur marionnette, la Corée du Nord, manipulent leurs serviteurs à Téhéran. Cependant, Téhéran maintient son hostilité à l'égard de l'Amérique, de l'Occident et d'Israël.
Ces dernières années, la Maison Blanche a fait preuve d'un manque d'initiative stratégique pour contrer l'influence destructrice du régime de Téhéran. Les lobbyistes, les apologistes et les larbins iraniens opèrent librement à Washington, ce qui complique encore la situation et permet à la machine de propagande du régime d'être financée à leur insu par les contribuables américains.
En réalité, les lobbies de la République islamique à Washington opèrent activement, et même les médias en langue persane financés par les contribuables américains, censés promouvoir la démocratie, sont sous le contrôle et l'influence de la République islamique. Ces agents diffusent leur propagande sur les télévisions et les radios, de Prague à Los Angeles en passant par Washington.
La République islamique a mobilisé toutes ses branches terroristes. Les terroristes chiites affiliés à l'Iran en Irak ont lancé des attaques de drones contre Israël, et le Hezbollah a lancé des roquettes et n'a été empêché de frapper Israël avec des milliers de projectiles que par l'attaque préventive d'Israël tôt dimanche matin...
Toutes ces actions sont menées à l'instigation du CGRI et de la Force Qods, sous la direction de Khamenei. Ces derniers jours, la République islamique a attendu la fin d'Arbaeen et la démonstration idéologique qu'elle implique. Dès que le rideau tombera, la prochaine étape de la guerre et des tirs de missiles et de drones commencera. Il semble que les responsables de la République islamique tirent une satisfaction psychologique du fait de menacer de mort des responsables israéliens et américains devant les médias. La psyché des terroristes est essentiellement une soif de mort.
Un régime assoiffé de sang, d'anarchie, d'explosions, de destruction et de démonstration de sauvagerie ne comprend pas le langage de la diplomatie, et une coexistence pacifique avec lui dans le monde d'aujourd'hui est impossible. Elle n'a rien à voir avec la culture, l'histoire et la civilisation du peuple iranien. En fait, les mollahs, avec l'aide des terroristes, ont occupé l'Iran.
Aujourd'hui, alors que la République islamique orchestre un large spectre de terreur, le monde observe, attendant le prochain acte de ce sinistre théâtre de guerre. La question demeure : Combien de temps la communauté internationale tolérera-t-elle la menace existentielle posée par le régime de Téhéran ?
À partir d'aujourd'hui, les agences de presse mondiales, à l'instar de la présentation d'un nouveau film d'action dans les cinémas du monde entier, reflètent avec éclat les nouvelles liées au bellicisme de la République islamique et de ses branches terroristes comme le Hezbollah, le Hamas, les Houthis et les Forces de mobilisation populaire... Ils préparent le deuil public pour l'élimination potentielle du Hamas et l'assassinat de ses dirigeants à Téhéran, accompagnés de critiques pleines de conseils et de vains espoirs de paix.
Israël n'a pas d'autre choix que d'enlever chirurgicalement cette excroissance maligne pour sa survie, mais il doit se rappeler que la tête du serpent se trouve à Téhéran, et que tant que sa tête ne sera pas coupée, ce spectacle futile se poursuivra.
Il est temps que la communauté mondiale se réveille et prenne des mesures décisives. Les enjeux sont trop importants et le coût de l'inaction est trop élevé. Nous devons affronter cette menace de front, avec toute la ténacité et les ressources dont nous disposons, avant qu'elle n'engloutisse davantage le monde dans son ombre. Le ferons-nous ?
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Israel must surgically remove the Iranian malignant growth
The Islamic Republic's global terror campaign does not elicit a response from the Western world and, in fact, Iranian lobbyists , apologists and stooges operate freely in Washington. Israel may have to act alone as it did against Hamas and Hezbollah. Op-ed.
By Erfan Fard, an American - Iranian counter-terrorism analyst and Middle East Studies researcher based in United State.
Aug 26, 2024,
The structure of the mullahs' regime in Tehran, notorious for its proliferation of terror, operates multiple terrorist groups across the Middle East. Regrettably, there is a palpable lack of genuine intent among both regional countries and Western powers, notably the United States, to dismantle this pernicious force. Ironically, these same nations engage in negotiations and even promote these malign actors in Western media, contributing to a disconcerting normalization of terror.
Western media outlets frequently refer to figures like Ali Khamenei with the undeserved title of "Ayatollah," which translates to "Sign of God." This irony begs the question: Which divine being would sanction terrorism that Khamenei represents? Engaging with terrorists— malevolent individuals who thrive on chaos and destruction—yields no benefits. Yet, we observe years of fruitless Western negotiations with the mullahs' regime in Tehran, adorned with photo ops that symbolize these diplomatic failings.
Despite losing hundreds of soldiers in the fight against terrorism sponsored by the Islamic Republic of Iran, and enduring terrorist attacks on their own soil, Europe and America seem to lack a lesson learned. The West fails to recognize how its actions embolden the regime, even as the Islamic Republic continues its international campaign of terror, kidnapping, embassy attacks and other provocations. It is unclear what further atrocities the Islamic Republic must commit to awaken the world from this oversight.
The Intelligence and military apparatus of the Islamic Republic cunningly crafts narratives or fabricate irrelevant and false rumors that find their way into Western media, furthering their agenda. American think tanks and universities grant platforms and positions to known terrorists, a troubling testament to a misguided understanding of freedom of expression. As if the more murderous and criminal you are, the more popular you become. Even the families of Islamic Republic officials freely roam in the West and America.
These oversights and naïveté have rendered the global landscape perilously insecure. The Islamic Republic's terror network, akin to a plague, spreads across the Middle East, Europe, Africa, and Latin America, yet the 21st century world seems paralyzed by indecision on how to address this threat. The persistence of radical Islam and Islamic terrorism poses one of the greatest threats to global peace, yet there remains a significant segment of the international community that turns a deaf ear to these realities.
World-renowned intelligence agencies like the CIA spend months on end prioritizing peace talks over decisive action against terrorist entities like Hamas. It appears future generations may look back on our era astonished at our appeasement of bloodthirsty terrorists. This century, however, seems bereft of answers.
The Islamic Republic maintains clandestine diplomatic channels with both the US and Israel while simultaneously orchestrating terror attacks globally. It seems the regime holds the world hostage, playing a dangerous game with global stability. Even as Tehran engages in public diplomacy, it fosters a network of terror that destabilizes regions far beyond its borders. However, the Islamic Republic lacks the defensive and military capability to confront the US and Israel. China and Russia, along with their puppet North Korea, manipulate their servants in Tehran. However, Tehran continues its enmity towards America, the West, and Israel.
The White House, over recent years, has shown a lack of strategic initiative to counter the Tehran regime's destructive influence. Iranian lobbyists , apologists and stooges operate freely in Washington, further complicating the narrative and enabling the regime's propaganda machine, funded unwittingly by American taxpayers.
In actuality, The Islamic Republic's lobbies in Washington are actively operating, and even Persian-language media funded by American taxpayers, supposedly to promote democracy, are under the control and influence of the Islamic Republic. These agents broadcast their propaganda from televisions and radios—from Prague and Washington to Los Angeles.
The Islamic Republic has mobilized all its terrorist branches. Shiite terrorists affiliated with Iran in Iraq have initiated drone attacks on Israel, and Hezbollah has launched rockets and was only prevented from striking Israel with thousands of projectiles by Israel's preemptive strike early Sunday morning..
All these actions are instigated by the IRGC and Quds Force under Khamenei. In recent days, the Islamic Republic awaited the end of Arbaeen and the ideological display it entails. As soon as that curtain falls, the next stage of warfare and missile and drone launches will commence. It seems that the officials of the Islamic Republic derive psychological satisfaction from threatening Israeli and American officials with death in front of the media. Essentially, the psyche of terrorists is a thirst for death.
A regime thirsty for bloodshed, lawlessness, explosions, destruction, and displays of savagery does not understand the language of diplomacy, and peaceful coexistence with it in today's world is impossible. It is unrelated to the culture, history, and civilization of the Iranian people. In fact, the mullahs, with the help of terrorists, have occupied Iran.
Today, as the Islamic Republic orchestrates a broad spectrum of terror, the world watches, waiting for the next act in this grim theater of war. The question remains: How long will the international community tolerate the existential threat posed by the regime in Tehran?
From today, global news agencies, like the showcasing of a new action movie in cinemas worldwide, vividly reflect news related to the warmongering of the Islamic Republic and its terrorist branches like Hezbollah, Hamas, Houthis, and Popular Mobilization Forces... They prepare for public mourning for the potential elimination of Hamas and the killing of its leaders in Tehran, accompanied by critiques filled with advice and vain hopes for peace.
Israel has no choice but to surgically remove this malignant growth for its survival, but it must remember that the snake's head is in Tehran, and until its head is cut off, this futile spectacle continues.
It is time for the global community to wake up and take decisive action. The stakes are too high, and the cost of inaction is too great. We must confront this menace head-on, with all the tenacity and resources at our disposal, before it further engulfs the world in its dark shadow. Will we?