www.nuitdorient.com
accueil -- nous écrire -- liens -- s'inscrire -- site
Les 5 Sources de Financement
du Jihad
Par Lucie
Clavijo –
Publié le 11 octobre 2014 -
Article du nº 376
L’intrusion de l’Islam dans nos
sociétés pose bien des questions. Celle du financement est la clef de voûte du
reste. Connaitre l’origine des fonds du Jihad, sans lesquels la guerre ne va pas
plus loin que le jet de pierres, est essentiel. Cet argent ne jaillit pas du
néant, ni du travail.
Les médias répercutent la taqqya
pro Islam et n’empêchent pas le Jihad d’être déclaré contre le monde entier, à
commencer par l’Occident fragilisé par le piètre usage de la démocratie,
qui ne sert plus qu’à tuer la Démocratie. Le Califat reste encore prudent avec
Chinois et Russes. Mais l’Islam n’oubliera personne dans la distribution de
Charia et l’Europe est le maillon faible. La Charia s’instaure là où le jihad a
effectué ses basses et sanglantes œuvres. C’est un fondement de l’Islam, dont
il est consubstantiel.
Quant à la portée du Jihad du
cœur, il est très amoindri par sa coexistence avec le Jihad de l’épée. Suite à
l’ambivalence du Coran qui justifie tout, même l’injustifiable.
Le jihad existe car des croyants
s’y raccrochent, et son expansion n’est possible que si d’autres le financent.
Ne perdons plus cela de vue. Jadis, l’Islam s’auto-finançait par les invasions,
pillages, esclavage. La routine des empires ! Aujourd’hui, il s’est glissé
dans tous les secteurs de l’économie mondiale, des plus légaux aux plus
glauques, et brasse des sommes colossales : on estime à plus de 1000
milliards de dollars le financement du jihad.
Cet argent n’éduque et ne soigne
pas, il n’apporte ni paix ni progrès scientifique. Il sert à acheter des armes
et soutenir le terrorisme en assurant la logistique du « cancer ».
L’inquiétant, c’est la diversité
des sources de financement.
1°) financement par les états
islamiques
Ces états autoritaires
finançant le Jihad par conviction. C’est leur intérêt, car il fait le sale
boulot à leur place. Pourquoi s’engager dans des guerres qu’ils
perdraient ? Le terrorisme est plus productif pour faire vaciller les
démocraties à moindre coût et casser les états défaillants. Les dirigeants
islamiques attendent de recueillir les fruits du
Jihad en contribuant à la manne. Même si des mesquineries titillent
les chameliers royaux, nul doute que tout le monde se rabibochera autour du
Coran et contre l’infidèle. Même le conflit entre chiites et sunnites reste
secondaire.
L’Arabie brassa un peu d’air
médiatique autour de la fortune de Ben Laden, mais rien n’a jamais été fait
pour contrecarrer vraiment le financement du terrorisme. Même des femmes et
filles de richissimes musulmans s’y impliquent.
2°) la finance islamique
Le financement par les états
musulmans est étroitement imbriqué avec la finance islamique elle-même,
puisque celle-ci fonctionne selon les normes de la Charia. L’extrait suivant donnera
une idée de la question.
« Beaucoup de
banques islamiques sont l’aboutissement d’une étrange alliance entre les
nouvelles classes moyennes saoudiennes et les dirigeants religieux
wahabites. Les premières apportant l’argent, et les seconds les structures en
rigoureuse conformité avec le droit islamique nécessaire à la création d’un
nouveau type d’établissement bancaire. Les banques islamiques par exemple,
prélèvent sur chacune des transactions réalisées par leur intermédiaire, la
Zakat (aumône) que doit obligatoirement acquitter chaque musulman. Il n’est
tenu aucun registre de ces échanges monétaires et le code de pratique des
banques islamiques exige la destruction de tous les documents, dés que l’argent
de la Zakat a été transféré. Certaines organisations caritatives virent leurs
fonds par le biais de banques islamiques aux groupes et cellules islamiques
répartis de par le monde »
ONU – Forum sur le Crime et la
Société 2004, volume 4
Ceci est pratique pour dissimuler
les transactions douteuses, et dévoile la moralité de la charia qui infecte
l’économie. Qui croit que l’Occident, malgré ses rodomontades sur le
blanchiment, a le moindre pouvoir sur ces circuits nébuleux, puisqu’il faut
être musulman pour travailler dans ces banques? La Charia prétend apporter une
morale dans la finance, mais sait trouver les chemins de traverses utiles à son
prosélytisme.
La finance islamique possède
encore une ficelle très utile au Jihad: un système rodé depuis des
siècles pour transférer des fonds d’un pays à l’autre, avec un minimum de
risques, et sans passer par des banques ou des documents, même virtuels.
C’est la Hawala, qui
fonctionne sur l’honneur et la parole donnée entre musulmans. Ce système est
idéal pour passer des sommes sans laisser de traces partout dans le monde,
pourvu qu’il y ait un représentant Hawala.
La finance islamique, le
Jihad, et la Charia, forment un tout, qui avance ‘voilé’ comme toujours.
Que les musulmans et des
convertis se fassent piéger par les aspects sirupeux de l’Islam, n’empêche pas
les potentats qui dirigent réellement le monde musulman d’avoir un projet
précis, à défaut d’être cohérent: concrétiser leur idéologie de domination
mondiale, car il en va de l’accès au paradis, dont ils gobent le mythe depuis
leur naissance.
Le cerveau occidental aura du mal
à digérer cela, mais notre intellect doit s’armer face à cette idéologie
irrationnelle et débilitante.
Les princes du Golfe
tiennent le pouvoir et n’ont aucune intention de le lâcher. Le pétrole
leur donne des moyens extraordinaires et ils ont de plus la main
sur la Mecque et les bénéfices générés par le pèlerinage. Les saoudiens
engrangent ainsi toujours plus de pouvoir. Car celui qui a la main sur l’Islam
gouvernera matériellement le monde.
3°) Financement par les pays
occidentaux et institutions internationales
Ce financement est indirect car il
envoie des fonds humanitaires, notamment aux Palestiniens. Cet argent
atterrit en grande partie dans les poches des chefs du Hamas : on imagine mal
le palestinien moyen se dresser contre eux et leur réclamer. L’UE fait preuve
d’un aveuglement sans borne en finançant le Hamas, dont le but est de détruire
libertés, démocratie et Israël.
Nos états montrent peu
d’enthousiasme à enquêter sur les circuits de la finance islamique. Pétrole et
fonds obligent. Ne parlons pas du financement direct du Jihad ! Mais ils
restent simplement apathiques et évasifs, sans démêler entre les financements
légaux, et ceux qui alimentent par des voies troubles les réseaux jihadistes.
Car nos états sont moutonniers et dhimmis: on leur sert de la taqqya,
…et ça marche.
Pour clore ce chapitre peu
glorieux, n’oublions pas la part obscure de la corruption que les monarchies du
Golfe distillent à bon escient dans les recoins de Bruxelles. Quant aux
instances internationales, soit elles sont en voie d’infiltration, soit elles
sont muselées par la crainte d’apparaître «politiquement incorrectes ». Le
monde islamique arrose quelques élites qui sont au minimum neutralisées. Et au
pire, participantes ?
un exemple?
« …pour celles des banques
qui souhaiteraient porter cette activité pour faire réaliser des opérations
conformes aux dispositions de la Charia, le territoire français est
évidemment prêt (!) à les accueillir et les engage à considérer le territoire
français comme une terre d’accueil (!)…« Christine Lagarde
(!)
4°) Financement par la
délinquance et le crime
Le jihad se finance par des
activités criminelles traditionnelles. Le Coran crée une scission absolue entre
croyant et mécréant; donc le croyant peut user et abuser de l’infidèle, car ce
n’est pas un péché pour l’Islam. Aucun secteur mafieux n’y échappe, mais les
islamistes ont mis le paquet sur la drogue, car partout où le Jihad prend pied,
d’autres plantes prennent racines. La drogue est une arme cohérente pour les
jihadistes: elle affaiblit la jeunesse occidentale, la privant de ressources
donc d’avenir. L’extension du réseau islamiste mondial soutient les filières
nécessaires.
Le Jihad s’est lié avec des mafias
institutionnelles, telles la Camorra napolitaine, chacun partageant ses
compétences en matière de crime. Les mafias en voie d’instrumentalisation par
le jihadisme, seront les perdantes, et recevront leur salaire. Car les
islamistes ne les verront jamais comme leurs égaux! Cela nous dit que le mal
s’associe au mal, contre le bien de l’humanité.
On subit de plus la
prostitution et le trafic d’être humains en général. Même si l’esclavage n’est
pas la ressource première du Jihad, cela reste un crime contre l’humanité.
Quant au juteux trafic de clandestins, il fait d’une pierre deux coups:
encaisser de l’argent sur la misère du monde, en favorisant le déséquilibre de
populations qui mine l’Europe.
Le trafic d’armes a sa place dans
ce florilège qui entretient, autant qu’il sert directement le Jihad. Sans oublier
le vulgaire mais efficace braquage, de même que le racket. Que de proximités
entre crime et Jihad !
D’autres délits le financent
aussi : fraude à la TVA, travail au noir, etc. avec toujours un citoyen
respectueux des lois pour payer finalement cette gabegie.
5°) Financement par le
Caritatif
Le dernier pilier de l’économie
islamique est le plus pervers, car il se dissimule derrière le caritatif. Il
utilise la générosité des donateurs pour soutenir la violence. Car l’argent
récolté par le biais des mosquées et des associations, soutient en priorité le
Jihad.
Les musulmans n’ont pas la même
conception du caritatif que les occidentaux. Même si l’on distribue des colis,
le seul but est d’engluer les bénéficiaires de l’aide dans un
endoctrinement sans faille. Rien n’est gratuit dans cet humanitaire qui
recouvre du militantisme pro Charia. Il s’agit de réactiver l’Islam
dans les sociétés trop molles, ou de l’implanter directement.
Certains apprécieront, par
exemple, que le Secours Islamique fournisse des milliers de moutons pour l’AÏD
à des « pauvres musulmans » de par le monde. Un moyen d’entretenir la
fibre de l’égorgement, pour ceux qui n’ont pas les moyens de s’offrir un
malheureux ovin ?
Soulignons qu’il existe des
musulmans qui financent sincèrement l’humanitaire. Mais d’autres paient pour le
terrorisme mondial, en étant parfaitement avertis. Ils n’ont pas le courage
d’aller se battre, mais apportent leur obole. Ils veulent instaurer la Charia
et comptent sur le Jihad pour l’imposer.
Tout le monde doit savoir que le
caritif musulman sert plus à construire des mosquées, madrassas, etc. qui
distilleront l’Islam dans des cerveaux incultes et infantiles, qu’à promouvoir
le progrès sous toutes ses formes.
Les réseaux tortueux de l’argent
« hallal » transmettent au terrorisme ce dont il a besoin pour
déstabiliser des pays au bénéfice de l’Islam. Les associations ont beau jeu de
venir derrière les jihadistes, pour balayer les ruines qu’elles ont
contribué à financer.
L’argent brassé par l’Islam est le
mortel ennemi des libertés. Car il menace l’individu, et la société qui ne
pourra plus le protéger de la dictature qui s’appuie sur une déviance barbare
et arriérée.
Ceci est possible car l’argent de
l’islam bénéficie de systèmes de blanchiment sans précédent à grande et à
petite échelle dans le cadre de l’Oumma qui représente environ 1,3
milliards d’individus.
Puis il devient, par ces biais
insaisissables, l’argent de la corruption de notre système politico bancaire.
Cette corruption insidieuse nappée de bons sentiments, de lâcheté et de
politiquement correct met en péril la Démocratie elle-même.
Espérons que des députés pourvus
des attributs censés en faire des hommes, auront le courage de déposer des
projets de lois à partir des idées suivantes :
- Interdire toute subvention,
toute aide, tout prêt, à tous les échelons de la vie publique aux
mouvements se réclamant de l’Islam. Que les musulmans enrichis par le pétrole
et les magouilles financières pourvoient aux besoins de leur communauté. Tandis
que l’Occident soutient des projets humanitaires gratuits, l’Islam est déchargé
de cette tâche et finance tout autre chose.
- Etendre cette interdiction à
toute l’UE.
Ne plus accorder de déduction
fiscale pour des associations, même « humanitaires ». S’ils veulent
financer le jihad et les mosquées, qu’ils sortent l’argent de LEURS poches.
- Ne finançons plus l’expansion de
l’Islam. On nourrit, héberge, soigne, scolarise (on ne peut dire éduque) des
millions d’étrangers et de musulmans. C’est suffisant. Trop de gens
vivent dans la pauvreté, c’est la priorité de la France.
On peut approfondir la question
sur le Net, mais vous n’aimerez ce que vous trouverez : chaque euro
qui échappe à notre vigilance, se perd dans un parcours occulte au terme duquel
coulera le sang d’innocents, d’infidèles et de musulmans sacrifiés.
L’issue de ce dédale se rapproche
inexorablement de l’Occident confit dans quelques pitoyables et inutiles
certitudes.
A bon électeur, salut.