www.nuitdorient.com

accueil -- nous écrire -- liens -- s'inscrire -- site

Le Blanchiment de l'Histoire

 

Par le Dr Reuven Berko

Via Middle East and Terrorism

Adaptation française : Hanna Lévy

22/1/13

 Voir aussi les 50 derniers articles et les articles sur la désinformation

 

Au temps du mandat britannique, les aînés de la communauté juive avaient coutume de dire en plaisantant que les Palestiniens étaient « un enfant « bâtard », né d’une matrice sioniste et d’un père britannique ». Cependant, selon des émissions provenant de la station radiophonique La Voix de la Palestine, la terre d’Israël n’a jamais eu une mère juive.


Selon des archéologues sur la Voix de la Palestine, la terre appartient aux Palestiniens parce qu’ils sont les descendants des peuples qui l’habitaient avant son invasion par "des bandits et des assassins", qui sont venus ici arbitrairement avec Moïse et connus sous le nom de "Habiru" ou "Apiru". Ces gens ont été signalés comme des nomades éphémères et des voleurs, et les rapports les concernant apparaissent également dans les lettres d’Amarna écrites à l’époque du Nouvel Empire d’Égypte.

En Israël, les Palestiniens ne sont pas fustigés, il y a ceux qui pointent du doigt les origines juives de Palestiniens en milieu rural qui se sont convertis à l’Islam. Certaines personnes attestent qu’il existe un lien génétique entre Juifs et Palestiniens. D’autres soulignent l’afflux de travailleurs du monde arabe venus là en cherchant à capitaliser l’économie prospère des Sionistes. Les historiens du Moyen-Orient pointent la conquête arabe au VIIe siècle, tandis que des voyageurs européens ont décrit la terre comme étant infestée de maladies et aride.

Les Palestiniens, d’autre part, nous rejettent fondamentalement. La station radiophonique la Voix de la Palestine œuvre à inventer l’histoire d’un peuple palestinien qui n’a jamais été mentionné dans aucun document historique, ni même dans le Coran.

Le problème est que l’adoption de la fausse narration palestinienne dépend du rejet des droits historiques des Juifs à la terre d’Israël, qui est présenté comme un épisode éphémère, même si ces droits sont ancrés dans les prophéties islamiques, l’historiographie chrétienne, et bien sûr dans le livre des livres, la Bible.

Yasser Arafat a créé la « start-up » palestinienne, comme le plus grand voleur historique d’entre tous. Au plus fort des négociations de paix, il a nié tout lien entre les Juifs à la terre d’Israël et Jérusalem, et il est celui qui a créé les actes de naissances palestiniens affirmant qu’ils sont les descendants des Jébuséens, la tribu cananéenne qui habitait Jérusalem avant sa conquête par le Roi David.


Les successeurs d’Arafat propagent une version de l’histoire dans laquelle Jésus de Nazareth, né de sa mère juive, Myriam, est le « Messie arabo-palestinien ».


La série documentaire d’Al-Jazira, « Notre histoire dans leurs archives : le terrorisme sioniste », dépeint Israël comme une entité fictive construite sur une collection de faux documents et des actes meurtriers, contrairement au « droit historique indéniable des Palestiniens ».

Cependant, en Israël, plusieurs journalistes s’étant autoproclamés chefs des partis politiques. Leurs écrits décrivent la « primitive et fervente » aile droite comme le denier brutal du désir palestinien pour la paix. Ils croient que seule la gauche peut y mener et que, elle seule est dotée des attributs de la justice universelle, des droits de l’homme et de l’égalité sociale, le pluralisme et le socialisme. Ils dénoncent de nombreuses parties de la nation, qui voient correctement la réalité de la situation et préfèrent leurs propres intuitions « plébéiennes » plutôt que les aspirations célestes de l’intellect.


L’électeur naïf pourrait confondre la question: Est-ce que c’est seulement la gauche qui se trompe ou est-ce également le peuple ?  Est-elle parvenue à se « faufiler » dans  un autre accord de paix avec les Palestiniens que même eux ignorent et ne signeront pas ?

 

Contrairement au code opérationnel juif – qui cherche une satisfaction et la paix immédiatement et estime qu’un peu de démagogie va inciter les Palestiniens à céder toute la Palestine – le code opérationnel palestinien basé sur des arrière-pensées, formulées en arabe, stipule que « la patience est la clé de la victoire » et que les Juifs doivent être traités conformément au legs d’Arafat : « Prenez et exiger encore plus ».

 

Dans la bande de Gaza, la Judée et la Samarie et dans la diaspora palestinienne, le droit au retour et à la destruction d’Israël n’ont pas été abandonnés. Celui qui écoute la Voix de la Palestine comprendra que les Palestiniens continuent à parler au monde dans le langage de la paix, mais en arabe, ils chantent et scandent leur désir acharné à « retourner en Palestine » par le pouvoir du fusil, y compris à Haïfa, Acre, Jaffa, et Safed.