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Par méconnaissance
du droit international et ignorance des faits historiques, les instances internationales,
y compris l’ONU, perpétuent elles-mêmes le conflit que les Arabes mènent contre
Israël
Par Alan Baker – jcpa-lecape
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-
Le terme "territoires palestiniens" n’existe pas. Il n’a jamais
été formulé ainsi dans aucun document international, ni aucun accord ou résolution
contraignante. Le statut final de la "Cisjordanie" demeure une question
ouverte à la négociation et ne devrait pas être prédéterminé par des affirmations
officielles ou des déclarations politiques.
- Les
Territoires sont "disputés" et non "occupés". Selon le
Droit international, un territoire devient occupé, s’il a été pris par un autre
Etat souverain. Or, le territoire de la "Cisjordanie" (Judée et
Samarie) n’est pas étranger. Depuis plus de 1 500 ans avant J.-C., la
présence juive indigène de la région y est établie ; un fait
historiquement reconnu dans des documents irréfutables.
- Tout
croyant chrétien ne peut nier le fait que Jésus est né Juif et qu’il a vécu
dans le cadre juif historique de la région; une présence prouvée de façon
indiscutable par des documents historiques et archéologiques.
- L’Etat
d’Israël et le peuple juif défendent une cause fondée de longue date sur leurs
droits autochtones, historiques, juridiques et internationaux dans la région,
et notamment en Cisjordanie. Ces droits indéniables sont niés ou ignorés
par la communauté internationale. Le gouvernement israélien a accepté de
négocier le statut final de ce territoire sans porter préjudice sur le résultat
de ces négociations.
- Les
revendications palestiniennes sur une présence autochtone ou historique dans
cette région sont manifestement fausses et trompeuses. La présence arabe dans
la Palestine géographique a commencé en 630 après notre ère. Elle était formée
de tribus bédouines et des familles venues de la Péninsule arabique chercher un
travail et des avantages économiques.
- L’allégation
selon laquelle les implantations israéliennes sont "illégitimes" est
une interprétation erronée du Droit international et elle porte en soi
préjudice à une question qui sera soulevée dans le processus de paix.
L’interdiction de transfert de population par la force en territoire occupé a
été inscrite dans la 4eme Convention de Genève de 1949 pour éviter
une répétition des déportations faites par les nazis durant la Seconde Guerre
mondiale. Cette clause n’était pas prévue et elle ne peut être avancée pour les
résidents israéliens de "Cisjordanie"
- Conformément
aux normes internationales concernant l’administration d’un territoire, la
construction de logements se fait uniquement sur des terres non privées ; aussi
est-elle soumise au contrôle de la Cour suprême de Justice de l’Etat d’Israël.
- Le
recours à l’expression "frontières de 1967" ou "lignes" n’a
aucun fondement juridique, ni de fait, et ne peut constituer une référence dans
les négociations. Les lignes de démarcation de l’armistice signé en 1949, qui
ont été déterminées de façon claire, ne constituent pas une frontière. Le terme
"frontières de 1967" ou "lignes" n’a pas été mentionné dans
les Accords d’Oslo de 1993. Toutes les parties ont accepté l’appel à des
"frontières sûres et reconnues" lancé par le Conseil de sécurité des
Nations unies dans la Résolution 242 du 22 novembre 1967. Cette résolution ne
fait aucune référence aux "lignes de 1967".
- L’incitation
à la haine des "Palestiniens" contre Israël se poursuit tous
azimuts : soutiens au boycott, appel à des sanctions, poursuite des
dirigeants israéliens devant les tribunaux internationaux, menaces de saisine
de l’ONU et d’autres instances internationales… Cette campagne hostile est
totalement incompatible avec la volonté d’aboutir à une paix viable dans notre
région. L’Autorité palestinienne devrait agir fermement pour mettre un terme
immédiat et définitif à cette campagne haineuse et mensongère.
- Toute
tentative visant à interdire ou à refuser la présence de Juifs dans tous les
secteurs est un anathème inadmissible au regard des normes civilisées et
humanitaires et nous devons la rejeter totalement.
Nota flash-israel
Le
jour où les instances internationales et la première d’entre elles l’ONU respecteront
le droit international sur lesquelles elles sont assises il y aura peut-être la
paix. Pour le moment c’est tout l’inverse et c’est l’acceptation d’une
propagande mensongère, de l’ignorance des faits, et de la distorsion de
l’histoire dument financées par ces mêmes instances qui perpétuent le conflit
que mènent la ligue arabe et les arabes « dits » palestiniens à
Israël et donc au droit international.