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Décapitations, Viols et Ventes de Chrétiens par l’Etat Islamique:
Obama ne Fait Rien
Par Ralph Sidway
14/08/15
Traduction
Europe Israël
Le Centre américain pour le
Droit et la Justice presse l’administration Obama
d’agir rapidement pour faire cesser le génocide des chrétiens et d’autres
minorités au Moyen-Orient, soulignant son inaction sur plusieurs fronts.
Mais il y a peu de chance qu’une action soit imminente. Comme Raymond Ibrahim l’a déjà démontré, les rapports sur la persécution des Chrétiens par les Musulmans ne correspondent pas au "narratif" que l’administration Obama soutient, selon lequel "l’Islam est innocent et les combats qui affectent le Moyen-Orient et l’Afrique, ne présentent aucune dimension religieuse".
Par conséquent, le sort des Chrétiens continuera à être ignoré par le gouvernement américain au nom de la politique anti-chrétienne et pro-islam d’Obama.
"ISIS décapite, viole et vend des Chrétiens tandis qu’Obama ne fait rien", affirme une association de Justice par Thomas D. Williams, PhD, Breitbart News, 21 août 2015:
Le Centre américain pour le Droit et la Justice (ACLJ) exhorte le président Barack Obama à défendre les Chrétiens qui subissent une persécution intense de la part des terroristes de l’Etat islamique (EI), notamment en nommant un ambassadeur pour remplir la mission vacante de l’"Envoyé Spécial pour la Promotion de la Liberté Religieuse des minorités au Proche-Orient et en Asie centrale et du Sud".
L’ACLJ a lancé une pétition appelant l’administration Obama à agir rapidement pour arrêter le génocide des Chrétiens et des autres minorités au Moyen-Orient. La pétition a déjà recueilli plus de 93.000 signatures.
L’organisation rappelle à l’administration que l'EI décapite, viole et vend des Chrétiens et que des centaines de milliers de Chrétiens ont été contraints de fuir ou mourir. Mais tandis que l'EI traque les Chrétiens pour les vendre et les massacrer, l’administration Obama et d’autres dirigeants occidentaux ne font rien.
"Cela fait plus d’un an", affirme le groupe de justice dans un article publié récemment "que le président Obama n’a pas réussi à nommer un ambassadeur comme envoyé spécial pour la promotion de la liberté religieuse des minorités religieuses au Proche-Orient et en Asie centrale et du Sud"…."Tandis que les Chrétiens et d’autres minorités religieuses sont décimés dans cette région, l’administration Obama laisse ce poste vital vacant. Voilà pourquoi l’ACLJ lui a demandé instamment de combler ce vide et va continuer à le faire", a-t-il dit.
En fait, juste cette semaine, l’agence catholique de Secours à l’Eglise en Détresse a annoncé que les Chrétiens étaient devenus une forme de monnaie d’échange dans cette tragédie. Elle signale que de nombreux Chrétiens arabes sont enlevés et détenus contre rançon et comme moyen de financement de l'EI. La famille d’un prêtre a réussi à amasser 120.000 $ de rançon mise sur sa tête, mais une fois cette somme payée, elle a reçu son corps démembré dans une boîte, souligne ACLJ.
L'EI s’est emparé de territoires importants à travers l’Irak et la Syrie, et depuis plus d’un an maintenant ne cesse de cibler les Chrétiens et les autres minorités religieuses.
Malgré l’insistance du président Obama qu’il n’y a pas besoin d’une plus grande implication des États-Unis contre l'EI, les rapports indiquent que les jihadistes continuent d'accumuler plus d’influence, d’argent et de pouvoir. "Chaque jour, nous voyons de nouveaux comptes rendus de Chrétiens et Yazidis capturés, des femmes réduites en esclavage, et des meurtres de masse commis par l'EI" -
"Si cela n’est pas le genre de malheur qu’il est du devoir de notre gouvernement de faire cesser, alors il faut se demander quoi de plus", a déclaré l’ACLJ. "Ce mal doit être arrêté"
Quant à l’administration Obama et son intention de nommer un envoyé spécial pour protéger les minorités religieuses au Moyen-Orient et en Asie centrale et du Sud – bien que le Congrès ait adopté la loi il y a plus d’un an pour la création de ce poste – la Maison Blanche a répondu qu’elle n’était pas au courant.
Selon CNSNews.com, en réponse aux requêtes quant à une nomination pour combler ce poste et le pourquoi d’une vacance de poste aussi longue, Alistair Baskey, une porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, a dit: "Nous n’avons aucune déclaration personnelle à faire en ce moment".