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Jugements sur l’Islam émis avant le 20ème
Siècle
Par Victor PEREZ, journaliste
7/10/14
L’avis sur l’Islam de quelques érudits (1) incontestables. Apparemment, seuls les intellectuels de nos jours affirment qu’il s’agit d’une religion de « Paix, d’Amour et de Tolérance ».
Barak Obama, David Cameron, François Hollande, pour ne citer que les plus fameux d’entre eux.
Blaise Pascal (1623 - 1662 scientifique et philosophe français) dans Les Pensées :
« La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ? Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle félicité ? »
Bossuet (1627 - 1704), écrivain, précepteur de Louis XIV, évêque de Meaux :
« L’islam (isme) ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers ». (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).
Montesquieu (1689 – 1755) philosophe et écrivain français :
« C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée ». (De l’Esprit des lois, livre XXIV, chapitre 4)
« La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire »
Voltaire (1694 – 1778) écrivain et philosophe français :
Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et suggéré de nombreux commentaires. Il a considéré Mahomet comme un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite dans son œuvre Le Fanatisme, qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire philosophique Dans son Essai sur les Mœurs, il évoquera toutefois le grand homme qui a changé la face d’une partie du monde.
Chateaubriand (1768 – 1848) écrivain et homme politique français :
« Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols » (Mémoires, XXIX, 12)
« Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet.» (Mémoires d’Outre-tombe, 1828)
Alfred de Vigny (1797 – 1863) écrivain français :
« Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran) » (Journal d’un poète, été-automne 1829)
« Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte ». (Journal d’un poète, année 1831)
Gustave Flaubert (1821 – 1880), écrivain français :
« Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme ». (Lettre à Mme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier 1878)
En Allemagne, on peut citer Schopenhauer (1788 – 1860) philosophe allemand :
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde ». (Le Monde comme Vouloir et comme Représentation, 1844, Suppléments, XVII).
Tous, sans aucun doute, des islamophobes avant l’heure !