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Il ne s'Agit pas d'une "Vague de Terreur",

mais d'une Révolte Arabe

Par Ezequiel Doiny, auteur de "L'assaut d'Obama contre le Mur occidental de Jérusalem".

Source : https://www.israelnationalnews.com/news/324879

1/4/22

Texte en Anglais ci-dessous

Voir aussi les les 50 derniers articles et les articles sur Israël

Puisque la solution des deux Etats n'est pas réalisable, la seule solution possible est de reconnaître que les Palestiniens ont déjà un Etat en Jordanie. Les Arabes israéliens qui se révoltent contre l'État juif devraient être déportés.

Il y a une vague d'attaques terroristes en Israël :

1. Le 22 mars 2022, Arutz 7 a rapporté "Des images horribles montrent un terroriste arabe assassinant une femme dans une station-service à Be'er Sheva". (Voir le lien ci-dessous)

2. Le 27 mars 2022, Reuters a rapporté que "Deux hommes armés arabes ont tué deux policiers dans une rue de la ville d'Israël dimanche et ont ensuite été abattus, alors que le secrétaire d'État américain et trois ministres des Affaires étrangères arabes visitaient le pays pour un sommet. L'État islamique a revendiqué l'attaque dans un communiqué publié sur son compte Telegram. Les deux assaillants à Hadera, une ville située à environ 50 km (30 miles) au nord de Tel Aviv, étaient des citoyens arabes d'Israël..."

3. Le 29 mars 2022, Arutz 7 rapporte : "Au moins cinq personnes ont été tuées par un tireur à Bnei Brak mardi soir. Le tireur, qui était apparemment un terroriste arabe, est monté sur une moto et a tiré sur les occupants d'une voiture privée avec un fusil M-16. Quatre occupants du véhicule ont été tués. Une cinquième victime, un officier de police, a été transportée à l'hôpital Beilinson, où il a été déclaré mort."

Il semble que la vague d'attaques terroristes soit le début d'une révolte arabe contre l'État juif.

Le 28 mars 2022, Arutz 7 a rapporté que "le général de brigade de Tsahal (Rés.) et ancien ministre Effi Eitam a averti mardi que la récente vague d'attaques terroristes perpétrées par des Arabes israéliens marque le début d'une violente révolte du secteur arabe d'Israël... "Nous devons nous dire la vérité : nous sommes au milieu d'une révolte arabe, une révolte islamo-nationaliste contre l'idée qu'Israël est l'Etat du peuple juif. Ils détiennent la citoyenneté [israélienne] et ont les mêmes droits en tout, mais ce sont des séparatistes." "Ces 200 000 'bons' Arabes n'ont pas besoin d'armes. Le secteur [arabe] est en train de constituer une force militaire contre l'État, les Arabes israéliens deviennent une population séparatiste. Nous pouvons être confrontés à une situation dans laquelle les citoyens du pays se rebellent contre son autorité et sa souveraineté, y compris avec des mouvements clandestins armés."

Les Arabes israéliens rejoignent les Arabes palestiniens en se révoltant contre Israël car ils rejettent la "solution à deux États", ils veulent un État arabe "du fleuve à la mer".

Les Arabes israéliens, les Arabes palestiniens et le Hamas font tous partie de la même Oumma islamique ; tous partagent le même objectif de détruire l'État juif, ils ne diffèrent que par leurs tactiques.

Hamas

Le Hamas rejette la "solution à deux États" et veut la destruction d'Israël. Le Palestinian Media Watch a traduit une interview accordée par l'un des fondateurs du Hamas, Mahmoud al-Zahar, au journal palestinien Al-Ayyam, dans laquelle il déclarait : "En transférant ce qu'il a [à Gaza] ou une petite partie de ce qu'il a en Cisjordanie, nous serions en mesure de régler la bataille de la promesse finale [de détruire Israël] à une vitesse que personne ne peut imaginer... [Certains] ont dit que le Hamas voulait créer un émirat islamique à Gaza. Nous ne ferons pas cela, mais nous construirons un État islamique en Palestine, dans toute la Palestine..."

Le 20 juin 2010, Y-net newsreporter "...Un responsable de l'organisation palestinienne, Mahmoud al-Zahar, a exhorté dimanche l'Autorité palestinienne à donner des instructions à son personnel pour qu'il cesse de poursuivre les organisations terroristes et les autorise à tirer des roquettes sur Israël depuis la Cisjordanie. Dans une interview au journal palestinien al-Quds, al-Zahar a déclaré que la bande de Gaza a été libérée, "et que l'appareil de sécurité de l'AP devrait nous libérer les mains. Pour libérer Jérusalem et la Cisjordanie, des roquettes doivent être tirées depuis la Cisjordanie. Pourquoi ces tirs devraient-ils provenir uniquement de la bande de Gaza ?"

La Tour rapporte "...Al-Zahar a répondu en renforçant l'engagement du Hamas pour la libération complète de la Palestine. "Si nous libérons la Palestine par la résistance jusqu'aux frontières de 1967, nous irons directement libérer le reste de la Palestine et les territoires de 1948, et il n'y aura pas de négociations", a-t-il dit.

"Si le Hamas a libéré 99,9% de la terre de Palestine, il ne renoncera pas au reste", a poursuivi al-Zahar. Il a ajouté : "Nous ne pouvons pas, religieusement, moralement ou nationalement, renoncer à un pouce de la terre de Palestine."

Al Zahar a également déclaré : "Quiconque pense que nous reconnaîtrons l'existence de l'entité [sioniste] ou les frontières de 1967 se trompe... La Palestine s'étend de la frontière égyptienne au sud au Liban au nord, et de la Jordanie à l'est à la mer Méditerranée à l'ouest, et nous ne reconnaîtrons jamais rien de moins que cela."

L'Autorité palestinienne d'Abbas

Abbas rejette la solution à deux États. Le juillet 2013 Jonathan Tobin a rapporté dans le magazine Commentary que "Alors qu'il était au Caire hier pour rencontrer les nouveaux dirigeants égyptiens, le leader de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a laissé échapper quelques remarques sur les négociations de paix avec Israël qui ont débuté à Washington la nuit dernière....Abbas n'a laissé aucun doute sur ce que sa vision de la paix implique :

"Dans une résolution finale, nous ne verrions pas la présence d'un seul Israélien - civil ou soldat - sur nos terres", a déclaré M. Abbas à l'issue d'une rencontre avec le président égyptien par intérim Adly Mansour au Caire.

... La déclaration d'Abbas fournit un contexte important pour la principale demande israélienne que les Palestiniens refusent d'accepter : La reconnaissance par l'AP de la légitimité d'Israël en tant qu'État juif. Si les Palestiniens pensent qu'il y a quelque chose de raciste dans le fait qu'Israël soit accepté comme le seul État juif au monde, pourquoi est-il normal pour eux d'envisager un État indépendant qui leur serait propre et dans lequel les communautés juives devraient être détruites et leurs habitants expulsés ?

...La position palestinienne reste qu'une acceptation spécifique de leur part d'Israël en tant qu'État juif porterait atteinte aux droits de la minorité arabe à l'intérieur des lignes d'avant 1967 et les obligerait à porter un jugement sur les arrangements internes du pays. Mais le point central du conflit, depuis ses débuts il y a un siècle, a toujours été le rejet arabe du retour des Juifs dans leur ancienne patrie. Si les Palestiniens sont déterminés à créer un État indépendant où il n'y a pas de Juifs, pourquoi alors ont-ils si peur d'accepter que leur voisin soit un État juif ?

La raison de cette crainte n'est pas un mystère.

Plus que tout compromis sur les frontières, accepter qu'Israël soit un État juif reviendrait à reconnaître ouvertement que le conflit est terminé. Cela signifierait que les descendants des réfugiés palestiniens de 1948 devraient être réinstallés ailleurs et que tous les actes de terrorisme et les efforts visant à effacer Israël à l'intérieur de ses frontières contractées cesseraient.

La demande de reconnaissance d'un État juif est souvent présentée comme une nouveauté créée par le Premier ministre Netanyahu afin de rendre la paix plus difficile à atteindre. Mais il faut se rappeler que la résolution originale de partage des Nations Unies de 1947 parlait d'une division spécifique du pays entre un État juif et un État arabe, et non d'Israël et de la "Palestine". L'effort visant à nier le droit du peuple juif à un État souverain sur sa propre terre est un acte de préjugé, puisqu'aucun autre groupe dans le monde n'est traité de cette manière.

...Ce que demande Abbas, c'est qu'Israël soit un État binational composé de Juifs et d'Arabes, tandis que la Palestine serait une nation uniquement arabe..."

Abbas rejette la solution à deux États. Le lieutenant-colonel (retraité) Jonathan Halevi a expliqué dans le « Jerusalem Center for Public Affairs » qu'Abbas soutient un plan progressif pour la destruction d'Israël "... Sous l'apparence modérée qu'Abbas tente de projeter se cache un dirigeant palestinien qui soutient sans réserve la terreur et exige la mise en œuvre de ce que les Palestiniens appellent le "droit au retour."

...Ce que les Palestiniens entendent par "droit au retour" selon la résolution 194 et l'initiative de paix arabe est assez simple et a été ratifié comme une loi officielle par le parlement palestinien avec l'approbation d'Abbas.

Selon la loi de 2008 sur le droit au retour des réfugiés palestiniens :

"Le droit de retour des réfugiés palestiniens dans leurs maisons et leurs biens, tout en recevant une compensation pour leurs souffrances, est un droit inaliénable et consacré qui ne peut être compromis, remplacé, reconsidéré, interprété autrement ou soumis à un référendum. Le droit au retour est naturel, personnel, collectif, civil, politique, transmis de père en fils ; il n'est pas annulé par le passage du temps ou par la signature d'un quelconque accord et il ne peut être aboli ou supprimé d'aucune manière. Les réfugiés palestiniens ne seront pas réinstallés ou déplacés comme alternative au droit au retour. Quiconque enfreint les dispositions de la présente loi se rendra coupable du crime de trahison et sera soumis à toutes les sanctions pénales et civiles prévues pour ce crime. Tout ce qui contredit cette loi est considéré comme nul et non avenu, et toute législation ou accord qui dérogera au droit au retour ou contredira les dispositions de cette loi sera considéré comme nul et non avenu."

En d'autres termes, même après un retrait israélien aux frontières de 1967 et l'établissement d'un État palestinien pleinement souverain, le conflit restera inchangé et la Palestine exigera le "retour" en Israël des millions de réfugiés et de leurs descendants. La demande palestinienne de "retour" implique le transfert de millions de Juifs de leurs foyers et la fin de l'État d'Israël..."

Arabes israéliens

Le 11 mai 2021, Aryeh Savir a écrit dans TPZ "Des foules musulmanes ont attaqué des cibles juives dans la ville de Lod lundi soir, dans une apparente démonstration de solidarité avec le Hamas dans la bande de Gaza, laissant derrière elles des scènes rappelant l'Allemagne nazie des années 1930. Dans le cadre de ces attaques, les émeutiers ont pillé des synagogues, saccagé les maisons de prière et profané les rouleaux de la Torah. En outre, ils ont attaqué des écoles juives de la ville ».

Les Arabes israéliens font l'éloge des attaques terroristes contre les Juifs. Le 25 mars 2020, Arutz 7 a rapporté que le député de la Joint List Sami Abu Shehadeh a envoyé une vidéo exprimant son "appréciation" pour les "efforts héroïques" des mères des terroristes arabes palestiniens. La vidéo, exposée pour la première fois par le journaliste de Makor Rishon Assaf Gibor, a été enregistrée en l'honneur de la fête des mères qui a été célébrée dans le monde arabe samedi dernier.

Pendant la guerre contre le Hamas, le blog israellycool.com a publié une vidéo montrant des Arabes israéliens à Yaffo (Tel-Aviv) célébrant des tirs de roquettes depuis Gaza... "Les gens me disent toujours que Yaffo est un endroit où les Arabes et les Juifs s'entendent et où tout va bien... la plupart des Arabes qui s'y trouvent soutiennent le Hamas et, comme vous pouvez le voir, ils célèbrent les tirs de roquettes depuis Gaza, tout en profitant des mesures de protection que nous avons mises en place pour tous les citoyens !..." (voir la vidéo)

Le 23 mars 2020, Nadav Shragai a écrit dans Israel Hayom "Le professeur Raphael Israeli, 84 ans, spécialiste du Moyen-Orient, l'un des chercheurs prééminents sur les Arabes d'Israël, est récemment rentré en Israël après un voyage de recherche à l'étranger... et est entré directement en quarantaine pour cause de coronavirus. Mais il est bien plus dérangé par le débat politique sur la manière dont les Arabes d'Israël seront représentés politiquement. Contrairement aux affirmations largement diffusées, M. Israeli constate une "tendance claire à la déconnexion, et non un désir d'intégration dans la société israélienne chez les Arabes ».

Il s'oppose catégoriquement à la possibilité qu'un parti sioniste dépende - activement ou passivement - de la liste arabe commune pour former un gouvernement. Il considère ce qui se passe dans la politique arabe israélienne comme "un sérieux déclin", et a du mal à comprendre pourquoi les autres ne voient pas ce qu'il voit : "Pas du tout un rapprochement croissant, mais plutôt un éloignement des Arabes israéliens de l'israélité".

"Mettons cartes sur table : On dit que les Arabes israéliens, qui représentent 20% de la population, veulent s'intégrer, mais ils votent pour une confédération de partis qui définissent Israël comme un État qui commet des vols et des brigandages. Les députés arabes, y compris quelques-uns qui siègent actuellement à la Knesset, ont soutenu le "Document de vision" pour les Arabes d'Israël en 2006-2007, et ne sont jamais revenus sur leur soutien. Les gens ont oublié, mais ces documents, dont les représentants justifient le droit au retour des Arabes encore aujourd'hui, rejettent l'idée d'une identité arabe israélienne et s'accrochent à l'idée du peuple palestinien et de la nation arabe.

"Pour eux, le sionisme est un colonialisme. Hanin Zoabi et Ayman Odeh ont adopté ce programme, ou quelque chose qui y ressemble. Beaucoup d'autres, qui s'identifient aux partis qui constituent aujourd'hui la Liste arabe commune, adoptent ce même programme. Il n'y a pas de processus de modération, seulement une radicalisation.

Le 24 mars 2020, Dan Shueftan a écrit dans Israel Hayom : "La grande majorité des électeurs arabes israéliens ont voté pour la Liste arabe commune. Ils sont bien conscients du fait que leurs dirigeants politiques et publics rejettent la légitimité de l'État juif et expriment ouvertement leur compréhension, leur sympathie et leur soutien à la violence des ennemis d'Israël et aux tentatives de saper ses fondements, son existence et sa sécurité.

...les "documents de vision" arabes, qui présentent l'entreprise sioniste comme un projet colonialiste - et non comme un peuple retournant dans sa patrie, sur laquelle un compromis historique doit être trouvé. Au contraire, les Juifs sont considérés comme des occupants étrangers qui veulent profiter du fruit empoisonné du pire crime de l'histoire moderne, le péché du colonialisme.

...Cela a conduit à la demande fondamentale de la direction palestinienne - qui, sans coïncidence, figure dans la plate-forme de la Liste arabe commune : Une "solution juste" à la question des réfugiés arabes et du droit au retour, conformément à la résolution 194 des Nations unies. Tout ce qui contredit cette loi est considéré comme nul et non avenu, et toute législation ou accord qui dérogera au droit au retour ou contredira les dispositions de cette loi sera considéré comme nul et non avenu."

En d'autres termes, même après un retrait israélien aux frontières de 1967 et l'établissement d'un État palestinien pleinement souverain, le conflit restera inchangé et la Palestine exigera le "retour" en Israël des millions de réfugiés et de leurs descendants. La demande palestinienne de "retour" implique le transfert de millions de Juifs de leurs foyers et la fin de l'État d'Israël..."

Cette demande est ancrée dans l'idée que le succès du "colonialisme sioniste" a interféré avec la justice et l'ordre mondial, et cherche à les rétablir en revenant en arrière. Selon eux, le crime odieux peut être accepté pour l'instant - et c'est pratique lorsque les Arabes bénéficient des réalisations des Juifs - mais il ne peut être légitimé ou accepté comme une réalité permanente...

Les Arabes israéliens prétendent que les sionistes sont des colonialistes, mais beaucoup, sinon la plupart, des Arabes israéliens ont immigré d'autres régions du Moyen-Orient. Le 23 mars 2012, MEMRI a rapporté que "Le ministre de l'Intérieur et de la Sécurité nationale du Hamas, Fathi Hammad, critique l'Égypte à propos de la pénurie de carburant dans la bande de Gaza, et dit : "La moitié des Palestiniens sont égyptiens et l'autre moitié sont saoudiens" (Veuillez voir la vidéo dans le lien ci-dessous).

Les Juifs ont été persécutés et expulsés de la plupart des pays du Moyen-Orient et ils ont réussi à trouver refuge en Israël, un pays plus petit que le New Jersey. Jimena.org rapporte que depuis 1948, 850 000 Juifs ont été expulsés d'Algérie, d'Égypte, d'Iran, d'Irak, de Libye, du Liban, du Maroc, de Syrie, de Tunisie, du Yémen et d'autres pays du Moyen-Orient. Israël est le seul havre de paix pour les réfugiés juifs au Moyen-Orient et les Juifs ne peuvent tolérer d'être victimes d'attaques antisémites dans la patrie juive.

Une révolte nationaliste arabo-islamique en Israël invalide le concept de deux États pour deux peuples. Si la solution des deux États n'est pas réalisable, la seule solution possible est de reconnaître que les Palestiniens ont déjà un État en Jordanie. Les Arabes israéliens qui se révoltent contre l'État juif devraient être déportés.

La Jordanie a été créée à partir de la Palestine mandataire britannique, la plupart de la population est palestinienne, la reine de Jordanie est palestinienne, le prochain roi de Jordanie sera le fils d'un Palestinien, le précédent roi de Jordanie a dit "la Jordanie est la Palestine, la Palestine est la Jordanie". Le président de l'Autorité, Mahmoud Abbas, a déclaré : "Les Palestiniens et les Jordaniens forment un seul peuple dans deux États - la Jordanie et la Palestine". La Jordanie est la Palestine.

..

It is not a 'wave of terror,' it is an Arab revolt

by Ezequiel Doiny, author of "Obama's assault on Jerusalem's Western Wall"

Source: https://www.israelnationalnews.com/news/324879

1/4/22

Since the two State Solution is not feasable the only possible solution is to recognize that the Palestinians already have a State in Jordan. Israeli Arabs who revolt against the Jewish State should be deported

There is a wave of terror attacks in Israel:

1. On March 22, 2022 Arutz 7 reported "Horrific footage shows Arab terrorist murdering woman at gas station in Be'er Sheva." (See link below)

2. On March 27, 2022 Reuters reported "Two Arab gunmen killed two police officers on a city street in Israel on Sunday and were then shot dead, as the U.S. secretary of state and three Arab foreign ministers visited the country for a summit. Islamic State claimed responsibility for the attack in a statement posted on its Telegram account. The two assailants in Hadera, a city about 50 km (30 miles) north of Tel Aviv, were Arab citizens of Israel..."

3. On March 29, 2022 Arutz 7reported "At least five people were killed by a gunman in Bnei Brak Tuesday evening. The shooter, who was apparently an Arab terrorist, rode a motorcycle and shot the occupants of a private car with an M-16 rifle. Four occupants of the vehicle were killed. A fifth victim, a police officer, was taken to Beilinson Hospital, where he was declared dead."

It seems the wave of terror attacks is the begining of an Arab revolt against theJewish State.

On March 28, 2022 Arutz 7 reported "IDF Brigadier General (Res.) and former minister Effi Eitam warned Tuesday that the recent spate of terror attacks perpetrated by Israeli Arabs marks the beginning of a violent uprising by Israel’s Arab sector..."We need to tell ourselves the truth: We are in the midst of an Arab revolt, an Islamic-nationalist revolt against the idea of Israel as the state of the Jewish people. They hold [Israeli] citizenship and have equal rights in everything, but they are separatists.” “These 200,000 ‘good’ Arabs don’t need guns. The [Arab] sector is building a military force against the state, Israeli Arabs are becoming a separatist population. We may face a situation in which citizens of the country rebel against its authority and its sovereignty, included with armed underground movements.”

The Israeli Arabs are joining the Palestinian Arabs in revolting against Israel because they reject the "Two State Solution", they want an Arab State "from the river to the sea".

Israeli Arabs, PA Arabs and Hamas are all part of the same Islamic Ummah; all share the same goal to destroy the Jewish State, they only differ in their tactics.

Hamas

Hamas rejects the "2 State Solution" and wants Israel's destruction. The Palestinian Media Watch translated an interview by one of Hamas founders Mahmoud al-Zahar to the Palestinian newspaper Al-Ayyam in which he said “transfer what it has [in Gaza] or just a small part of it to the West Bank, we would be able to settle the battle of the final promise [to destroy Israel] with a speed that no one can imagine…[Some] have said Hamas wants to create an Islamic emirate in Gaza. We won’t do that, but we will build an Islamic state in Palestine, all of Palestine…”

On June 20, 2010 Y-net newsreported "...An official from the Palestinian organization, Mahmoud al-Zahar on Sunday urged the Palestinian Authority to instruct its staff to stop pursuing terror organizations and allow them to fire rockets at Israel from the West Bank. In an interview to Palestinian paper al-Quds, al-Zahar said the Gaza Strip has been liberated, "and the PA's security apparatus should free our hands. In order to liberate Jerusalem and the West Bank, rockets must be fired from the West Bank. Why should this fire come only from the Strip?"

The Tower reported "...Al-Zahar responded by reinforcing Hamas’ commitment to the complete liberation of Palestine. “If we liberate Palestine though the resistance until the 1967 borders, we will go directly to liberate the rest of Palestine and the territories of 1948, and there will be no negotiations,” he said.

“If Hamas liberated 99.9% of the land of Palestine, it will not give up on the rest,” al-Zahar continued. He added, “We cannot religiously, morally or nationally give up on one inch of the land of Palestine.”

Al Zahar also said “Anyone who thinks that we will recognize the existence of the [Zionist] entity or the 1967 borders is deluded… Palestine stretches from the Egyptian border in the south to Lebanon in the north, and from Jordan in the east to the Mediterranean sea in the west, and we will never recognize anything less than this.”

Abbas' Palestinian Authority

Abbas rejects the 2 State Solution". On July 2013 Jonathan Tobin reported in Commentary Magazine that “While in Cairo yesterday to meet with Egypt’s new leaders, Palestinian Authority leader Mahmoud Abbas let drop a few remarks about the peace negotiations with Israel that began in Washington last night....Abbas left no doubt about what his vision of peace entails:

“In a final resolution, we would not see the presence of a single Israeli — civilian or soldier — on our lands,” Abbas said following a meeting with interim Egyptian President Adly Mansour in Cairo.

...The Abbas statement provides some important context for the key Israeli demand that the Palestinians refuse to accept: PA acknowledgement of the legitimacy of Israel as a Jewish state. If Palestinians think there is something racist about Israel being accepted as the sole Jewish state in the world, why is it OK for them to envision an independent state of their own where Jewish communities would have to be destroyed and their inhabitants be evicted?

...The Palestinian position remains that specific acceptance on their part of Israel as a Jewish state would undermine the rights of the Arab minority inside the pre-1967 lines and force them to make a judgment about the country’s internal arrangements. But the whole point of the conflict since its beginnings a century ago has always been the Arab rejection of the return of the Jews to their ancient homeland. If Palestinians are determined to create an independent state where there are no Jews, why then are they so afraid of agreeing that their neighbors will be a Jewish state?

The reason for this is no mystery.

More than any compromise on borders, accepting Israel as a Jewish state would be an open acknowledgement that the conflict is finished. It would mean the descendants of the Palestinian refugees of 1948 would have to be resettled elsewhere and all terrorism and efforts to erase Israel inside its contracted borders would cease.

The demand for recognition of a Jewish state is often represented as something new created by Prime Minister Netanyahu in order to make peace more difficult to achieve. But it should be remembered that the original United Nations partition resolution of 1947 spoke of the country being specifically divided between a Jewish state and an Arab one, not Israel and “Palestine.” The effort to deny the right of the Jewish people to a sovereign state in their own land is an act of prejudice since no other group in the world is treated in this manner.

...What Abbas is asking for is for Israel to be a bi-national state of Jews and Arabs while Palestine would be a solely Arab nation...”

Abbas rejects the two state solution. Lt. Col. (ret) Jonathan Halevi explained in the Jerusalem Center for Public Affairs that Abbas supports a phased plan for Israel’s destruction “…Beneath the moderate guise that Abbas tries to project is a Palestinian leader who unreservedly supports terror and demands to implement what the Palestinians call the “right of return.”

…What the Palestinians mean by “right of return” according to Resolution 194 and the Arab Peace Initiative is simple enough and was ratified as an official law by the Palestinian parliament with Abbas’s approval.

According to the 2008 Law of the Right of Return of the Palestinian Refugees:

“The right of return of the Palestinian refugees to their homes and property, while receiving compensation for their suffering, is an inalienable and enshrined right that cannot be compromised, replaced, reconsidered, interpreted otherwise, or subjected to a referendum.

The right of return is natural, personal, collective, civil, political, passed on from father to son; it is not nullified by the passage of time or by the signing of any agreement and it cannot be abolished or waived in any way.

The Palestinian refugees shall not be resettled or displaced as an alternative to the right of return.

Anyone who violates the provisions of this Act shall be guilty of the crime of treason and will be subject to all criminal and civil penalties prescribed for this crime.

Anything that contradicts this law is considered null and void, and any legislation or agreement that will derogate from the right of return or contradict the provisions of this Act shall be deemed null and void.”

In other words, even after an Israeli withdrawal to 1967 borders and the establishment of a fully sovereign Palestinian state, the conflict will remain unchanged and Palestine will demand the “return” to Israel of the millions of refugees and their descendants. The Palestinian demand for “return” entails the transfer of millions of Jews from their homes and the end of the state of Israel…”

Israeli Arabs

On May 11, 2021 Aryeh Savir wrote in TPZ "Muslim mobs attacked Jewish targets in the city of Lod on Monday night, in an apparent show of solidarity with Hamas in the Gaza Strip, leaving behind scenes reminiscent of Nazi Germany in the 1930s. As part of the attacks, the rioters pillaged synagogues, ransacked the houses of prayer and desecrated the Torah scrolls. In addition, they attacked Jewish schools in the city.

Israeli Arabs praise terrorist attacks against Jews. On March 25,2020 Arutz 7 reported "Joint List MK Sami Abu Shehadeh sent a video expressing his "appreciation" for the "heroic efforts" of the mothers of Palestinian Arab terrorists.

The video, first exposed by Makor Rishon reporter Assaf Gibor, was recorded in honor of Mother's Day that was celebrated in the Arab world this past Saturday."

During the war against Hamas the blog israellycool.com posted a video showing Israeli Arabs in Yaffo (Tel Aviv) celebrating rocket fire from Gaza… “People always argue with me that Yaffo is a place where Arabs and Jews get along and all is fine and dandy…most of the Arabs there support Hamas and as you can see they celebrate the rockets being fired from Gaza, while taking advantage of the protective measures we have in place for all citizens!…” (see the video)

On March 23, 2020 Nadav Shragai wrote in Israel Hayom "Middle East scholar Professor Raphael Israeli, 84, one of the preeminent researchers on the Arabs of Israel, recently returned to Israel from a research trip abroad.. and went straight into coronavirus quarantine. But he is much more bothered by the political debate over how Arab Israelis will be represented politically. In contrast to widely publicized claims, Israeli sees a "clear trend of disconnect, not any desire to integrate into Israeli society" among Arabs.

He is squarely against the possibility of any Zionist party depending – actively or passively – on the Joint Arab List in order to form a government. He sees what is occurring in Arab Israeli politics as "a serious decline," and finds it difficult to understand why others can't see what he sees: "Not increasing closeness at all, but rather Arab Israelis pulling away from Israeli-ness."

"Let's put our cards on the table: They say that Arab Israelis, who are 20% of the population, want to integrate, but they vote for a confederation of parties that define Israel as a state that commits theft and robbery. Arab MKs, including a few who are currently in the Knesset, supported the "Vision Document" for the Arabs of Israel back in 2006-7, and have never gone back on their support. People have forgotten, but these documents, whose representatives justify the right of return for Arabs even now, reject the idea of Arab Israeli identity and cling to the idea of the Palestinian people and the Arab nation.

"For them, Zionism is colonialism. Hanin Zoabi and Ayman Odeh have adopted this agenda, or something similar to it. Many more who identify with the parties that now make up the Joint Arab List embrace that same agenda. There is no process of moderation, only radicalization.

On March 24, 2020 Dan Shueftan wrote in Israel Hayom "The vast majority of Arab Israeli voters cast ballots for the Joint Arab List. They are well aware of the fact that their political and public leadership rejects the legitimacy of the Jewish state, and openly expresses their understanding, sympathy and support for Israel's enemies' violence and attempts to undermine its foundations, existence and security.

...the Arab "vision documents," which cast the Zionist enterprise as a colonialist project – not as a people returning to their homeland, over which a historical compromise must be reached. But instead, the Jews are seen as foreign occupiers that wants to enjoy the poisoned fruit of the worst crime in modern history, the sin of colonialism.

...This has led to the Palestinian leadership's basic demand – which, not coincidentally, appears in the platform of the Joint Arab List: A "just solution" to the issue of Arab refugees and right of return in accordance with UN Resolution 194.

This demand is anchored in the view that the success of "Zionist colonialism" has interfered with justice and the world order, and seeks to restore them by turning back the clock. The way they see it, the heinous crime can be accepted for now – and that's convenient when the Arabs are benefiting from the achievements of the Jews – but it cannot be legitimized or accepted as a permanent reality...

Israeli Arabs claim that Zionists are colonialists but many, if not most, Israeli Arabs immigrated from other parts of the Middle East. On March 23, 2012 MEMRI reported "Hamas Minister of the Interior and of National Security Fathi Hammad Slams Egypt over Fuel Shortage in Gaza Strip, and Says: "Half of the Palestinians Are Egyptians and the Other Half Are Saudis" (Please see video in the link below)

Jews have been persecuted and expelled from most Middle East Countries and they managed to find refuge in Israel, a country smaller than New Jersey. Jimena.org reported that since 1948, 850,000 Jews have been expelled from Algeria, Egypt, Iran, Iraq, Lybia, Lebanon, Morocco, Syria, Tunisia,Yemen and other Middle East Countries. Israel is the only safe heaven for Jewish refugees in the Middle-East and Jews cannot tolerate to be victims of antisemitic attacks in the Jewish Homeland.

An Arab Islamic Nationalistic Revolt in Israel invalidates the concept of two States for two Peoples. If the two State Solution is not feasible the only possible solution is to recognize that the Palestinians already have a State in Jordan. Israeli Arabs who revolt against the Jewish State should be deported.

Jordan was created from British Mandate Palestine, most of the population is Palestinian, Jordan's Queen is Palestinian, the next Jordanian King will be the son of a Palestinian, Jordan's previous King said "Jordan is Palestine, Palestine is Jordan". Authority Chairman Mahmoud Abbas said “Palestinians and Jordanians are one people in two states – Jordan and Palestine..." Jordan is Palestine.