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La Question des Allégeances
d’Obama,
ou Quand les
Américains Commencent à Penser
qu’il est un Traitre à la
Nation
Par David-Meir Levi
source frontpagemagazine
Résumé et adapté par la rédaction d’israël-flash
– 23/3/15Dès son
premier mandat, les paroles et les actes de notre Président, concernant le
Moyen-Orient, le Jihad, et le conflit israélo-arabe, ont été source de confusion.
Au début, certains pensaient qu’il était
un amateur incompétent, en particulier à propos de la relation de l’Amérique
avec le monde musulman et avec la Russie. Mais beaucoup de nos présidents
ont fait des erreurs au début, puis plus tard, ils ont mûri.
Puis, il a semblé être simplement irresponsable,
en particulier au sujet de son penchant pour ses parties de golf pendant les
crises. Mais la plupart de nos présidents semblent avoir été en mesure
de séparer les préférences personnelles de leur rôle en tant que leader du
monde libre.
Ensuite, certains ont émis l’opinion
qu’il a été aveuglé par son politiquement correct, qu’on appelle outre-atlantique "rectitude politique", citant en
particulier ses déclarations n’impliquant aucune connexion entre l’Islam et
le terrorisme. Mais beaucoup semblent penser que sa préoccupation pour
le bien-être de nos citoyens musulmans-américains, et pour la réputation de
la soi-disant religion de paix, un Islam pacifique, était une position appropriée
et nécessaire en vue de défendre les valeurs américaines de tolérance et de
protection des minorités.
Puis, il a semblé être tout simplement
ignorant des réalités historiques de l’engagement de l’Islam pour
le jihad mondial "… jusqu’à ce qu’il n’y est de culte, que
celui d’Allah", ou peut-être trop facilement influencé par les conseillers
qui l’entourent.
Mais ici, il faut s’arrêter et se poser
une question évidente: Comment pourrait-il être ignorant de ce qu’est l’Islam,
lui-même ayant grandi en tant que musulman dans un pays à majorité musulmane
?
Et il faut aussi noter que c’est lui
qui a choisi ses conseillers. Près d’une douzaine de personnes, nommées à
des postes importants du gouvernement, sont des gens qui ont des
liens avec les Frères Musulmans . En outre,
Huma Abedin ,
un confident très proche d’Hillary Clinton, a des connexions avec les
Frères Musulmans très bien documentées. Et puis, il y a Valerie Jarrett, "la Raspoutine"
d’Obama, née en Iran, de parents américains, qui
n'est ni iranienne, ni musulmane, mais semble régner sur la Maison
Blanche d’Obama.
Ces conseillers qui peuvent être les
vrais cerveaux derrière la politique actuelle iranienne d’Obama. Comment
ont-ils pénétré profondément cette administration, quels secrets savent-ils,
à quel point la sécurité de notre pays a été et est compromise ?
Et il les a nommés.
La confusion concernant le laxisme et
les attitudes arrangeantes de la politique de notre Président envers des individus,
des organisations et des gouvernements terroristes, ou qui sont clairement
alignés avec les ennemis de notre pays, dont certains nous ont déclaré la
guerre, ne peut être comprise que si nous analysons son comportement au cours
des deux dernières années.
Pendant ledit "printemps arabe",
il abandonne rapidement Hosni Moubarak, un allié américain de longue date. Puis
il soutient Mohammed Morsi qui est devenu président
de l’Egypte en 2012, même si Morsi représente les
Frères Musulmans, qui soutiennentt le Hamas et d’autres
organisations arabes terroristes anti-américaines et anti-israéliennes, et
qui ont pour mission éternelle l’assujettissement de toutes les nations
non musulmanes et les peuples à l’Islam, par le jihad. Il a fait alors
de son mieux pour saper la légitimité d’Abdel-Fattah al-Sissi, qui a succédé à Morsi
et qui a bénéficié d’un soutien populaire massif. Al-Sissi se révéla rapidement
l’ennemi des Frères Musulmans et d’Al-Qaeda et des forces de l’Etat islamique
qui s’étaient installées dans la péninsule du Sinaï.
Obama s'est retiré à plusieurs
reprises des "lignes rouges" qu’il s’était lui-même fixées en Syrie,
entraînant la mort de centaines de milliers de civils syriens et il a facilité
ainsi l’extension de l’hégémonie iranienne de l’Irak à la Syrie, jusqu’à la
mer Méditerranée, mettant ainsi en position de force l’Iran face aux pays
d’Afrique du nord, Israël, la Turquie, l’Europe de l’Est et même le flanc
oriental de l’Europe occidentale.
Aussi vite qu’il abandonné Moubarak
en Egypte, il a abandonné le gouvernement yéménite face à une victoire Houthi. Les shiites Houthi
sont soutenus par l’Iran, et leur victoire au Yémen signifie l’extension du contrôle
iranien des deux côtés du golfe Persique, la voie navigable à travers laquelle
passe la moitié des flux de pétrole du monde.
En Juillet 2014, pendant l’opération
défensive d’Israël contre le Hamas, Obama a téléphoné
à Netanyahou pour lui annoncer qu’il exigeait "un cessez-le-feu humanitaire
inconditionnel et permanent". Les termes d’un tel cessez-le-feu
comprenaient l’ouverture des frontières de Gaza avec l’Egypte et Israël et
la fin du blocus maritime israélien sur la côte Gazaouie. Ces conditions ont permis au Hamas de reconstruire
rapidement son arsenal, avec les 47 millions $ de soutien financier, qui ont
permis d'acheter plus de missiles à la Corée du Nord, et importer plus de
matériaux de construction pour reconstruire des tunnels.
Bref, Obama
s’est rangé résolument, intentionnellement, volontairement, avec force avec
le Hamas, contre Israël, et contre les alliés arabes sunnites de longue date
de l’Amérique – l’Egypte, l’Arabie saoudite, la Jordanie et les Émirats arabes
unis.
Un tel accord signifie que le Hamas
a gagné et qu’Israël, allié de l’Amérique, a perdu.
En février dernier, notre président a
ouvertement soutenu le Qatar, malgré la longue histoire du Qatar hébergeant
la chaîne islamiste al-Jazeera, fournissant des
armes et de l'argent au Hamas, et récemment, des armes aux terroristes de
l’Etat islamique en Libye. Mais John Kerry a déclaré qu’il
était au courant de ce que faisait le Qatar, Obama
en est donc conscient, et il a choisi de soutenir le Qatar de toute façon. C’est
un choix en faveur des ennemis de l’Amérique.
Et notre Président a fait un choix similaire
dans ses longues négociations avec l’Iran, alors même que les ayatollahs ont
dépassé les unes après les autres les "lignes rouges" d’Obama
et ont annoncé à plusieurs reprises leur intention de développer
leurs capacités nucléaires et leur système de livraison de missiles.
Plutôt que de brider l’Iran pour qu’il
ne se dote pas d’armes nucléaires, Obama a
facilité leur obtention par l’Iran. Et maintenant, il facilite l’ascension
de l’Iran pour une hégémonie régionale avec du nucléaire,
en ignorant le soutien de l’Iran au régime Assad,
au Hezbollah, et le nombre croissant de généraux iraniens et d’experts
militaires qui opèrent dans le plateau du Golan, le long de la frontière
avec Israël, menaçant ce pays. C’est un autre choix en faveur des ennemis
de notre allié Israël.
Enfin, la stratégie qu’il a récemment
proposée pour lutter contre la menace du Jihad global contre la civilisation
occidentale offre la dernier et peut-être le plus
important aperçu de ce qu’Obama fait vraiment.
L’Administration a suggéré d’offrir
des emplois aux prétendants au jihad. Un programme de plein emploi pour les djihadistes qui apportera
"espoir et changement" pour les pires meurtriers psychopathes du
monde, même s’ils étendent leur hégémonie sur la Libye et qui promettent
que ce sera leur rampe de lancement pour leur invasion du reste de l’Europe
occidentale.
C’est plutôt une déclaration manifeste de sa véritable idéologie, une idéologie
dont il n’a donné qu’une indication obscure dans un discours en fin d’année
dernière où il nous a tous mis en garde que l’Amérique doit toujours
faire attention "… au côté droit de l’histoire … "
quand il s’agit de nos relations avec le monde musulman – mais dans le
langage musulman, le côté droit de l’histoire, c’est la voie d’Allah.
Une idéologie qui exige qu’il exonère les manifestations les plus
horribles de l’islamo-fascisme, et nie leur relation avec l’Islam, afin
de dissiper notre attention de la menace existentielle que cela pose. La complicité avec
le mal est le mal. Comment notre commandant en chef, le leader du monde
occidental, la personne la plus puissante de la planète, peut s’entendre si
ouvertement avec ceux qui travaillent si furieusement à nous anéantir ?
Il ne peut pas être si naïf ou si ignorant au point de ne pas
savoir que l'Etat islamique est en effet une organisation terroriste, que
le terrorisme islamique ne se pose pas en terme de chômage, mais d’idéologie,
ainsi qu’un Iran doté de têtes nucléaires et d’un système balistique de missiles
pouvant atteindre les 2500-km et qui constituent une menace pour le monde
entier. Une menace qui a déjà commencé à déclencher une course aux armements
nucléaires au Moyen-Orient et qui pourrait aboutir à une "destruction
mutuelle assurée", -- menace qui arrêta les puissances nucléaires
du monde pendant la guerre froide --, mais qui là, ne semble rien à voir avec
la mentalité "Armageddon" des ayatollahs.
Il n’est ni naïf ni ignorant des dangers pour notre pays et pour le monde
que sa politique vers le fascisme islamique a contribué à créer, alors pourquoi
il ne supporte ceux qui exposent et expliquent cette menace ?
Caroline Glick a eu une conclusion terrifiante
mais indéniable quand elle a estimé qu’ Obama
peut agir par antisémitisme, ou peut-être même par sympathie pour
le fascisme islamique. La Sympathie seule est insuffisante pour expliquer
qu’il facilite, qu’il blanchisse, et interagit avec des extrémistes islamo-fascistes. Il
peut y avoir qu’une seule explication autrement inexplicable de ses décisions
et de ses déclarations qui ont soutenu ou même facilité l’expansion de fascisme
islamique.
Quelle autre explication peut-il y avoir d’autre que celle de souhaiter
que les djihadistes gagnent?
Quelle autre explication peut-il y avoir, quand il veut réellement que l’Iran
obtiennent la capacité nucléaire, pour encercler l’islam sunnite dans le Croissant
Fertile, et régner dans une hégémonie régionale suprême, avec des armes atomiques,
contrôler le détroit d’Ormuz, équiper et répondre aux jihadistes dans leur rêve d’effacer Israël et anéantir 6.000.000
de Juifs?
Quelle autre explication peut-il y avoir, car il ne sympathise pas seulement
avec le fascisme islamique, il est aussi en harmonie avec les meurtriers psychotiques
idéologiques qui cherchent à détruire toute la civilisation occidentale et
la remplacer par une idéologie du 7ème siècle, cette barbarie appelée
le "vrai islam"?
Quelle autre explication peut-il y avoir lorsque notre Président se bat
aux côtés de nos ennemis, et que par conséquent, il s’engage dans
la voie de la trahison ?
Ne manquez surtout pas "Cheval de Troie ,
dîtes-vous ?"