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POUR REVENDIQUER LA CRÉATION D'UN  TRIBUNAL INTERNATIONAL CONTRE LE TERRORISME

Appel des libéraux arabes au Conseil de sécurité et au Secrétaire général des Nations Unies.
Par Tous Ensemble AlgeriEnsemble@wanadoo.fr

L'appel que nous publions ci-dessous (et qui est une première traduction du  texte en anglais et en arabe que nous avons diffusé hier) émane de plusieurs intellectuels arabes. Nous trouvons leur initiative positive et qui rejoint, quelque part, le propre appel que nous avons initié dès le début 2001 pour "un Nuremberg" contre le fascisme islamiste. Nous avions préconisé une rencontre internationale dans cet objectif. Diverses
circonstances et aléas en ont retardé la réalisation et, sans doute, les conditions idéales n'étaient pas réunies.
Aujourd'hui cette aspiration devient une exigence de plus en plus forte des peuples de toutes les parties du monde qui, à travers les menaces, les attentats, les massacres, les lapidations, les décapitations, développent une conscience grandissante de la barbarie générée par cette idéologie qui n'a rien à envier au nazisme.
Notre appel, que nous allons réactiver, ne vise pas seulement le terrorisme islamiste et pas seulement les émetteurs des fatwas de la mort, mais tous les responsables et tous les promoteurs "qui organisent, structurent, entraînent, financent, arment et cautionnent les réseaux à l'échelle mondiale et fomentent le terrorisme". Ajoutons que nous considérons comme responsables, au même titre, les idéologues dont les prêches fanatisent les cerveaux de jeunes au point de les préparer aux pires atrocités et de les
volatiliser en bombes humaines.
SB

 Les auteurs de ce manifeste invitent les penseurs, écrivains et intellectuels Arabes, tant dans les pays arabes qu'à l'étranger, souhaitant signer ce manifeste, à adresser leurs noms et adresses à : Jmhashim@hotmail.com

Pour revendiquer la création d'un tribunal international contre le terrorisme

Monsieur le Président, Messieurs les membres du Conseil de sécurité des
Nations Unies,
Monsieur le Secrétaire général des Nations Unies,

Nous avons l'honneur de porter à votre connaissance ce qui suit.
En octobre 2004, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité la résolution 1566, relative aux risques que constitue le terrorisme pour la paix et pour la sécurité internationales. Résolution qui affirme la nécessité de faire face au terrorisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations et ce par tous les moyens conformément à la charte des Nations Unies et aux principes du droit international. Dans son préambule,
la résolution exprime son inquiétude face à l'accroissement du nombre des victimes des actes terroristes, y compris parmi les enfants, victimes du fanatisme et de l'extrémisme dans les diverses régions du monde.

L'article 9 de la résolution citée stipule la création d'une équipe de travail composée de tous les membres du Conseil de sécurité afin de définir des recommandations à soumettre au Conseil. Recommandations relatives aux mesures à imposer aux personnes, aux groupes et aux organismes impliqués dans des activités terroristes ou qui y sont liés, y compris des mesures efficaces pour les traduire en justice, que ce soit en les jugeant ou en les extradant, pour geler leurs avoirs, pour l'interdiction de leurs déplacements dans les pays membres et pour leur interdire toute vente d'armes ou d'équipements.

La résolution 1566 est venue compléter une série de résolutions précédemment adoptées par le Conseil de sécurité depuis 1999 et notamment la résolution 1267 du 15 octobre 1999, la résolution 1373 du 28 septembre 2001 et la résolution 1540 du 28 avril 2004.

Nous intellectuels arabes, musulmans démocrates et pacifistes libéraux signataires de la présente pétition souhaiterions attirer votre attention, à l'heure où vous mettez au point les recommandations nécessaires pour l'exécution et la mise en application de la résolution 1566, sur une source gravissime du terrorisme : les fatwas incitant aux crimes terroristes qui continuent à émaner de certains religieux fanatiques. Il ne suffit pas
d'adopter des résolutions condamnant le terrorisme ; il serait de bon aloi que les Nations Unies instituent un tribunal international pour juger les terroristes et les prédicateurs du terrorisme qui leur fournissent des fatwas religieuses les incitant dans leurs actes. Ces fatwas jouent un rôle essentiel dans le dégagement du sadisme terroriste et de l'instinct de mort de toute retenue éthique et dans le tarissement de la conscience morale et du sain sentiment de culpabilité.

Par l'effet de telles fatwas, les terroristes sont tous morts ou mourront la conscience tranquille et les convictions inébranlables parce que, le jour même de leur mort, ils iront au paradis comme le leur enseignent ces fatwas. Bien entendu, il n'est pas question de réduire le terrorisme à ces fatwas le justifiant. Ce phénomène a diverses causes comme l'explosion démographique avec ce qu'elle entraîne : l'analphabétisme, la misère, le
chômage, le despotisme politique, le sous-développement des programmes scolaires, l'obscurantisme de l'enseignement religieux etc. mais certaines fatwas jouent un rôle direct et essentiel dans l'incitation au terrorisme.
Certaines confèrent au terrorisme une légitimité religieuse qui fait d'un crime l'application d'une recommandation ou d'un précepte religieux.

En illustration de ces fatwas encourageant le terrorisme, nous vous soumettons les exemples suivants:

- Lorsque le juge Egyptien présidant le tribunal, cheikh Mohamed Ghazali, a demandé au membre dirigeant dans le groupe des Frères musulmans ce qu'il pensait de l'assassin de l'intellectuel laïque Egyptien Mohamed Fouda en 1992, il répondit : « Il a appliqué la sentence qui convient au renégat. Sentence que l'imam (l'Etat) a rechigné à exécuter»  Le terroriste assassin s'est alors écrié : « Maintenant je peux mourir la conscience
tranquille ».

- Le cheikh Saoudien, Safar Ben Abderrahman Haouali, a considéré le drame du 11 septembre 2001 un simple « acte de réciprocité », c'est-à-dire la réponse à l'attaque de missiles de Clinton sur al Qaida le lendemain de l'explosion à l'ambassade américaine de Nairoubi. Il a émis une fatwa sur la légitimité des attentats contre le Pentagone et le World Trade Center. Il a déclaré que le Pentagone était le « nid du diable », « le repaire de l'espionnage » et le « nid de la mafia » et que le World Trade Center était le « centre de l'usure et du blanchiment de l'argent » ! (le journal Al Hayat du 13/2/2002).

- La fatwa émise par le cheikh saoudien Ali ben Khodair al Khadir innocentant les opérations d'al Qaida à New York et à Washington. Il déclara : « Se lamenter ou être triste pour leurs victimes [les Américains] prétendument innocentes est chose étonnante. Il ne peut s'agir que d'un des trois cas suivants : ce sont des Américains hérétiques dont il n'y a pas lieu de regretter la mort, car l'Américain hérétique est, de par sa relation avec son gouvernement, un combattant ou un appui par l'argent ou
l'opinion ou le conseil comme le spécifient leur réalité et la nature de ! leur régime politique. Dieu fasse qu'ils disparaissent ! Il est permis de tuer ceux qui combattent parmi eux ainsi que ceux qui ne combattent pas comme les vieux, les aveugles et les non musulmans, avec l'unanimité des ulémas. » (journal al Hayat du 13/2/2002)

- La fatwa émise par cheikh Youssef Karadhawi autorisant de tuer les embryons juifs dans le ventre de leurs mères parce qu'une fois nés et devenus grands, ils deviendront des soldats de l'armée israélienne comme il a lancé, au syndicat des journalistes Egyptiens, une fatwa autorisant le meurtre de tous les Américains en Irak qu'ils soient des militaires ou des civils. Dans le journal Al Ahram Al Arabi du 3/7/2004, il a émis une fatwa légitimant des intellectuels musulmans libres penseurs (les renégats)
prétendant que : « les juristes musulmans sont unanimes sur l'obligation de châtier le renégat, même s'ils ne sont pas d'accord sur la nature de cette punition. La majorité des juristes préconisent la peine de mort. C'est l'opinion des quatre et même des huit écoles juridiques ».

- La fatwa émise par le fondamentaliste Tunisien Rached Ghanouchi légitimant le meurtre de civils israéliens parce que, selon lui : « Il n'y a pas de civils israéliens. Tous les habitants, hommes, femmes et enfants, sont des soldats de réserve, des combattants qu'il est permis de tuer. » Ghanouchi ajoute : « Les juristes sunnites interdisaient jadis le meurtre des souverains musulmans parce que à l'époque ils étaient des nôtres. Or, aujourd'hui, ceux qui nous gouvernent sont des pions du colonialisme et ne sont en rien des nôtres d'où l'obligation de les tuer tous. » Ghanouchi a émis dans son livre! Les libertés publiques dans l'Etat islamiste (Beyrouth 1993) une fatwa autorisant le meurtre de tous les souverains arabes sans exception. Il présente à ce propos un exemple concret: l'assassinat de l'ex-président Egyptien, Anouar Sadate faisant ainsi d'un crime terroriste tel le meurtre du président Sadate un précédent juridique faisant jurisprudence.

Etant donné la difficulté et même l'impossibilité de juger les juristes du terrorisme et leurs acolytes dans le monde arabe et dans le monde musulman dans les journaux, les télévisions et les sites Internet desquels ils publient facilement leurs fatwas comme s'il s'agissait d'un acte de piété.

Etant donné que les fatwas de certains religieux fanatiques contribuent, de par leur fanatisme et leur extrémisme religieux, à l'acte terroriste.

Etant donné l'urgence de la lutte contre les actes terroristes.

Nous, signataires de la présente lettre, demandons au Conseil de sécurité et à l'équipe constituée en vertu de l'article 9 de la résolution du Conseil de sécurité, la constitution rapide d'un Tribunal international spécialisé dans le jugement des terroristes qu'il s'agisse d'individus, de groupes, d'organisations ou de personnes encourageant le terrorisme en
promulguant des fatwas qui, au nom de la religion, y incitent.

Avec l'expression de nos sentiments, les meilleurs,

Les signataires de l'appel, dans l'ordre alphabétique :

Dr Abderrazak Aïd, intellectuel - Syrie
Malek Moussalamani, historien - Syrie
Pierre Aquel
Tarek Haji - Egypte
Omaima Abdul-Ghaffar - Arabie Saoudite

 

DES PROGRESSISTES ARABES ADRESSENT UNE PÉTITION À L'ONU RÉCLAMANT LA CRÉATION D'UN TRIBUNAL INTERNATIONAL POUR POURSUIVRE DES TERRORISTES Memri - Dépêche spéciale n° 812 Le 24 octobre 2004, les sites progressistes arabes www.elaph.com et www.metransparent.com publiaient un manifeste rédigé par des progressistes arabes dans lequel ils ont adressé une pétition à l'ONU en vue d'établir un tribunal international qui poursuivrait les terroristes ainsi que les personnes et institutions, en premier lieu des dignitaires religieux, qui encouragent le terrorisme. (1) Le Dr Shaker Al-Nabulsi, un écrivain et chercheur jordanien fut, début septembre 2004, l'initiateur de cette idée d'adresser une pétition à l'ONU contenant cette requête, en réaction à la fatwa émise par le Sheikh Youssef Al-Qaradhawi - une des hautes figures du mouvement des Frères Musulmans et l'une des plus importantes autorités religieuses des milieux islamistes - qui appela à l'enlèvement et au meurtre des citoyens américains en Irak. (2) Cette idée a été développée et couchée par écrit par Al-Nabulsi, Al-'Afif Al-Akhdhar un intellectuel tunisien et le Dr Jawad Hashem, ancien ministre irakien de la planification. Vingt quatre heures après la publication du manifeste, celui-ci était signé par près de 2000 personnes dans le monde entier comprenant des intellectuels, des auteurs, des poètes et des journalistes. Les auteurs du manifeste espéraient recueillir 10 000 signatures au bout d'une semaine et présenter cette pétition à l'ONU une fois ce nombre atteint. (3) Voici des extraits de la traduction originale du manifeste en Anglais telle qu'elle a été publiée par les auteurs : Les Fatwas sont une cause majeure de terrorisme Leurs Excellences, le Président et les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU - Son Excellence, le Secrétaire-Général de L'ONU : Le 8 octobre 2004, le Conseil de Sécurité de l'ONU a adopté à l'unanimité la Résolution 1566 (2004) condamnant tous les actes terroristes " comme étant l'une des plus graves menaces contre la paix et la sécurité internationales ". En réaffirmant ses résolutions 1267 (1999) du 15 octobre 1999 et 1373 (2001) du 28 septembre 2001 ainsi que ses autres résolutions concernant les menaces que le terrorisme fait peser sur la paix et la sécurité internationales et en rappelant sa résolution 1540 (2004) du 28 avril 2004, la Résolution 1566 décide : [...] de créer un groupe de travail composé de tous les membres du Conseil, chargé d'examiner et de lui recommander des mesures concrètes à prendre contre les particuliers, groupes et entités participant ou associés à des activités terroristes [...], y compris telles autres procédures qu'il jugerait propres à permettre de les traduire en justice en les poursuivant ou en les extradant, de geler leurs avoirs financiers, d'empêcher leurs déplacements à travers le territoire des États Membres, d'empêcher que leur soient fournis tous types d'armes et de matériel connexe, ainsi que des modalités d'application de ces mesures. Tandis que vous délibérez en vue de recommander des mesures concrètes à prendre contre les particuliers, groupes et entités participant ou associés à des activités terroristes conformément à la Résolution 1566, nous, les signataires de cette lettre, un groupe de progressistes arabes et musulmans, souhaiterions attirer votre attention sur une source hautement dangereuse de terrorisme. Cette source est constituée des prétendus proclamations religieuses, les fatwas, émises par des psychotiques, membres de [groupes] musulmans dogmatiques encourageant la perpétration d'actes terroristes au nom de et sous la bannière de l'Islam. Il n'est pas suffisant pour le Conseil de Sécurité d'adopter des résolutions " condamnant " le terrorisme. Il sera plus efficace d'établir un Tribunal International affilié à l'ONU pour la poursuite de particuliers, de groupes ou d'entités participant, directement ou indirectement, à des activités terroristes comprenant, mais ne se limitant pas, aux fatwas émises par des dignitaires religieux au nom de l'Islam appelant les musulmans à commettre des actes terroristes. Par ces fatwas tous les terroristes sont morts, ou mourront, intimement convaincus qu'ils entreront immédiatement au paradis. Naturellement, nous n'excluons pas les autres causes amenant à commettre des actes terroristes comme la bombe à retardement de l'explosion démographique qui entraîne l'illettrisme, la pauvreté, le chômage, le retard des systèmes éducatifs, un enseignement religieux réactionnaire et, surtout, vivre sous des systèmes de gouvernement dictatoriaux dans la quasi-totalité des pays arabes. Mais en dépit des causes ci-dessus, certaines fatwas religieuses restent la cause majeure des actes terroristes - des fatwas qui affublent de tels actes terroristes d'une légitimité analogue à celle des principes sacrés de la foi musulmane. " Des exemples de fatwas Nous pouvons vous fournir une liste exhaustive de fatwas encourageant le terrorisme mais les quelques exemples suivants peuvent suffire : - Lorsque le juge présidant la Cour Egyptienne demanda au Sheikh Mohamed Al-Ghazali (un dirigeant du mouvement égyptien des Frères Musulmans) de donner son opinion à propos du meurtre de Faraj Foda (un intellectuel laïc égyptien) en 1992, son opinion fut : " Le meurtre de Faraj Foda était en fait la mise à exécution d'un châtiment à l'encontre d'un apostat que l'imam (l'Etat) a failli à mettre en œuvre (entreprendre). " Lorsque l'accusé entendit l'opinion d'Al-Ghazali il s'écria:"A présent, je mourrais la conscience tranquille (pour avoir assassiné Mr Foda)" - Le 13 février 2002, le journal Al-Hayat dont le siège est basé à Londres publia une fatwa émise par le Cheikh saoudien Ali Bin Khodair Al-Khodhari approuvant et accordant son absolution aux actes terroristes du 11 septembre à New York et à Washington. Dans sa fatwa, le Cheikh déclara : " Il est surprenant d'être en deuil pour les victimes [américaines] comme si elles étaient innocentes. Ces victimes peuvent être classées parmi les infidèles américains qui ne méritent pas que nous soyons en deuil pour elles car tout américain, au vu de son lien avec le gouvernement américain, est un combattant ou un soutien financier ou idéologique. Il est légitime de tous les tuer en tant que combattants ou non combattants, qu'il s'agisse de vieillards, de aveugles ou de non-musulmans […]. " - Le 13 février 2002, le journal Al-Hayat dont le siège est basé à Londres publia également une autre fatwa émise par le Cheikh saoudien Safar Bin Abdulrahman Al-Hawali dans laquelle il décrit les attentats du 11 septembre comme une contrepartie donnée en retour à l'attaque aux missiles des camps d'entraînement d'Al-Qaida par Bill Clinton à la suite de l'attaque terroriste contre l'ambassade américaine de Nairobi au Kénya. Il poursuivit en trouvant des justifications aux attentats contre le World Trade Centre et le Pentagone, décrivant ceux-ci comme des centres de blanchiment d'argent, des refuges de Satan, des cellules d'espionnage et un repaire mafieux. - La fatwa émise par le Sheikh Yousef Al-Qaradhawi permettant le meurtre de " fœtus " juifs car (selon lui) lorsque les juifs naîtront et grandiront, ils rejoindront les rangs de l'armée israélienne. Par ailleurs, le 3 septembre 2004, (au Synidicat des Jounalistes Egyptiens), Al-Qaradhawi a émis une fatwa pour tuer tous les civils américains travaillant en Irak. - Et le 3 juillet 2004, il a émis une autre fatwa (publié dans Al-Ahram Al-Arabi) autorisant le meurtre d'intellectuels en ce qu'ils sont des apostats, prétendant que l'Islam justifie le meurtre de tels apostats. La fatwa émise par le Tunisien Rashid Al-Ghannoushi dans laquelle il autorise le meurtre de tous les civils en Israël car (selon sa fatwa) " il n'y a pas de civils en Israël. La population - hommes, femmes et enfants - sont des soldats de réserve de l'armée israélienne, pouvant en conséquence être tués. " Les fatwas émises par des musulmans extrémistes encouragent la perpétration d'actes terroristes " Etant donné qu'il est difficile, voire impossible, de poursuivre ces extrémistes dans leurs pays arabes ou islamiques d'origine, ils continuent d'émettre et de publier leurs fatwas encourageant les actes terroristes pour engendrer un contexte de terreur, et, en raison de l'importance de combattre le terrorisme comme une affaire urgente, nous les signataires de cette lettre, soumettons avec respect à leurs excellences et au groupe de travail créé conformément à l'article 9 de la Résolution 1566 de créer un tribunal International afin de poursuivre tous les terroristes, qu'ils soient des particuliers, des groupes ou des entités, y compris des particuliers qui encouragent le terrorisme par le prononcé de fatwas au nom de la religion. " Notes: (1) http://www.elaph.com/elaphweb/Politics/2004/10/17789.htm, 24 octobre 2004. http://www.metransparent.com/texts/arab_liberals_appeal_to_un_for_int_court_against_terror_fatwas.htm, 24 octobre 2004. (2) Voir MEMRI Dépêche Spéciale No 794, 6 octobre 2004, " Les réactions à la fatwa du Cheikh Al-Qaradhawi appelant à l'enlèvement et au meurtre de civils américains en Irak. " (3) http://www.elaph.com/elaphweb/ElaphWriter/2004/10/18190.htm, 24 octobre 2004. Autres infos de Memri - Retour sur le voile à la lumière des événements de la rentrée : les opinions des instances islamiques et des personnalités musulmanes dominantes - Un chroniqueur progressiste : " La cassette de Ben Laden est un aveu de capitulation et une déclaration de faillite "