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« L'Escouade » une Nouvelle Culture en Ville
Malheureusement, ces 4 femmes
représentent une bonne partie de la nouvelle génération d'Américains qui ont
été élevés, avec une histoire déformée de l'Amérique, des valeurs erronées et
un endoctrinement par des institutions éducatives de gauche.
Par Nonie Darwish,
militante américaine des droits de l'homme, fondatrice « d'Arabes pour Israël », directrice
de « Former Muslims
United » et auteur de "Wholly Different ; Why I choose Biblical Values Over Islamic Values".
Le 28 juillet 2019
Une nouvelle culture politique est arrivée à Washington
avec la dernière élection des représentants. Alexandria Ocasio-Cortez,
Ilhan Omar, Rashida Tlaib
et Ayanna Pressley.
Ilhan Omar résonnait exactement comme les
dirigeants musulmans qui ont historiquement menacé Israël, en déclarant qu'ils
seraient le cauchemar d'Israël, mais dans le cas d'Omar, elle parlait du
président des États-Unis. En parfaite harmonie avec la culture arabe des
menaces contre Israël, Ilhan Omar a déclaré qu'elle
serait le cauchemar de Trump.
Ces 4 membres du Congrès ont fait irruption sur la scène
politique pour raviver le rêve démantelé d'Obama de
transformer fondamentalement l'Amérique d'une superpuissance capitaliste de la
République constitutionnelle, en un simple "État socialiste démocrate" (rien de spécial).
Elles se nomment elles-mêmes « The Squad ou l'Escouade » et
embrassent sans gêne le socialisme, l'anti-américanisme et l'antisémitisme, et
elles affichent un Islam particulièrement radical, qui est pro-Hamas, mais qui
a été abandonné aujourd'hui par plusieurs pays musulmans modérés.
« L'Escouade » est devenue le symbole de la
fusion du socialisme/communisme (rouge) et de l'islam (vert) dans la politique américaine.
Récemment, Omar et Tlaib ont ajouté une autre couche
d'indignation au mouvement antisémite BDS (Boycott, Désinvestissement et Sanctions).
Ces femmes se comportent avec une attitude de "vous me devez ceci ou cela". Elles blâment et insultent
l'Amérique et le président Trump à chaque fois qu'elles
en ont l'occasion. Lorsque Tlaib a été interrogée au
sujet de son insulte publique et vulgaire du Président ; elle a refusé de
s'excuser et a déclaré que c'est ainsi qu'elle et ses électeurs parlent ; un
ajout intéressant au dialogue politique en Amérique.
Malheureusement, ces femmes représentent une bonne partie
de la nouvelle génération d'Américains qui ont été élevés avec une histoire
déformée de l'Amérique, des valeurs erronées et un endoctrinement par des
institutions éducatives de gauche. Elles sont incitées à se considérer comme
des victimes, des "femmes de couleur", ce qui, dans l'esprit des
gauchistes, leur donne droit à un statut spécial pour ne pas être remises en
question, et à des attentes d’un pouvoir sur les autres. En d'autres termes,
être une femme de couleur signifie « nous
sommes au-dessus des critiques et avons le droit de vous insulter et si vous
vous y opposez, vous êtes raciste ».
Un tel comportement ouvertement rebelle de politiciens
contre le système politique d'un pays ne pourrait être toléré que dans la
culture libérale de la politique occidentale d'aujourd'hui, mais ne serait
jamais toléré dans les pays socialistes ou islamiques, pays d’origine de
certaines des membres de « l’Escouade ».
Contrairement aux sociétés libres, les cultures
socialistes et islamiques oppressives créent un climat de peur et de méfiance,
où les citoyens avancent, en marchant les uns sur les autres, en trompant et en
jouant aux victimes. Cela a pénétré le système politique américain où le fait de se qualifier de "personne de couleur"
pouvait apporter avec lui beaucoup de pouvoir.
Le
pouvoir en Amérique : le look ethnique
Faut-il s'étonner que certains Américains blancs essaient
aujourd'hui de se faire passer pour des minorités ? Elizabeth Warren a
faussement prétendu être indienne, Rachel Dolezal a
prétendu être noire et alors que Robert O'Rourke se
fait appeler officiellement « Beto » pour
donner l'impression qu'il est latin. Personnellement, j'ai connu une femme
musulmane qui n'a jamais porté de hijab en Égypte, mais qui a commencé à le
porter en Amérique. Quand je lui ai demandé pourquoi, elle a dit : "Le regard ethnique est le pouvoir en
Amérique…."
Ces deux idéologies apparemment sans rapport, le socialisme et l'islam, ont prouvé
leurs similitudes tout au long de l'histoire, et ont produit des sociétés
totalitaires qui partagent de nombreuses similitudes dans la façon dont les
individus voient l'État et travaillent de manière tordue autour du système pour
obtenir le pouvoir.
Le plus éminent juriste et philosophe islamique du 20ème
siècle, le cheikh Abul A'la
Maududi, a lié sans équivoque l'islam au communisme
et au fascisme et a ajouté que l'islam n'est pas seulement une religion mais,
comme le communisme, cherche à contrôler chaque aspect de la vie et de
l'activité individuelle.
Le socialisme/communisme et l'islam/la chariah sont également similaires dans leur
rébellion et leur rejet des valeurs bibliques. Il y a une raison pour laquelle
les socialistes et les musulmans sont tous deux antisémites, anti-chrétiens et anti-bibliques américains. En un mot, les
valeurs bibliques sont le principal obstacle à la réalisation de leur utopie socialiste/islamique. Et
c'est pourquoi les socialistes Ocasio-Cortez et les
musulmans Omar et Tlaib sont à la fois antisémites et
critiques des valeurs bibliques traditionnelles.
Les sociétés qui adoptent les valeurs bibliques sont le
miroir opposé et en contraste flagrant avec les sociétés ayant des valeurs
socialistes et/ou islamiques, et c'est pourquoi le dieu de la Bible est une
menace pour ces systèmes totalitaires.
« L'autre est maléfique »
La Bible enseigne à ses disciples qu'ils ne sont pas en
guerre contre « la chair et le sang », mais contre le Diable ; en
d'autres termes, ils ne sont pas en guerre contre des humains d'une autre
classe, religion, origine nationale ou race. Les sociétés fondées sur un tel
principe biblique ont la chance d'être moins enclines à considérer leurs
concitoyens comme leurs ennemis.
D'autre part, Allah dans l'Islam a déclaré la guerre littéralement
contre les humains "en chair et en
os". Le Coran est plein de malédictions contre les ennemis humains
d'Allah, les « Qafir » (infidèles). Et
Allah punira ou récompensera les musulmans en fonction de leur haine et de leur
volonté de convertir ou de tuer ces « Qafir ».
Sur cette base, l'existence de "l’autre", mauvais par définition, est essentielle dans
l'ensemble des valeurs islamiques. C'est l'une des raisons pour lesquelles les
sociétés islamiques sont pleines de conflits, de reproches, avec une mentalité
de victimes.
C'est pourquoi les cultures islamiques et socialistes,
dépourvues de valeurs bibliques, sont des cultures d'envie, de méfiance et de
reproche. Dans une telle culture, les citoyens apprennent l'art de la
tromperie, de la colère, l’art de blâmer les autres tout en prétendant être des
victimes, pour s'autonomiser. C'est la culture d'où Omar, Tlaib
et moi venons, mais il m'a fallu toute une vie pour extirper complètement cette
culture de mon âme.
En un mot, l'Amérique a été fondée par et pour des
individus qui se considèrent comme n'étant pas en guerre avec d'autres citoyens
et que leur vie, leur liberté et leur poursuite du bonheur leur ont été données
par leur créateur (le dieu biblique) et non placées dans les mains de l'État ou
d'autres humains. L'Amérique a été construite sur l'autosuffisance et la
création de richesse par le travail et l'innovation et n'a jamais été construite
sur les valeurs de "nous contre eux"
ou sur la réalisation de la richesse en
la saisissant des autres.
Même au niveau international, les pays islamiques et
socialistes sont en tête du peloton mondial pour ce qui est de l'industrie des
griefs, du blâme des autres et des demandes de traitement spécial et de
sacrifices de la part des autres pour faire amende honorable. Tout en exigeant
tout cela, ils insultent, calomnient et fabriquent souvent des histoires contre
leur adversaire et sont facilement offensés, s'ils sont critiqués ou si leur
abus est contesté, ce qui résume bien le comportement de « l' Escouade » au Congrès.
Une telle stratégie consistant à blâmer le monde
extérieur d'être de fausses victimes a fait des merveilles pendant plus de 70
ans pour les dirigeants palestiniens qui continuent de prendre le monde en
otage, tout en volant leurs concitoyens opprimés, pour que le monde entier
puisse le voir.
Les sociétés socialistes et islamistes dysfonctionnelles
sacrifient les droits individuels au nom du "bien" collectif. Sous
l'Islam, le califat et Allah ne font qu'un et doivent gouverner selon « la
Chariah ». La chariah
stipule qu'un chef d'État musulman (Khalifa) est à l'abri de poursuites pour
des crimes aussi graves que le meurtre et d'autres péchés interdits par
l'Islam, et qu'il "doit être obéi
même s'il est injuste" - cela, bien sûr, tant qu'il règne selon la chariah. Dans les systèmes islamiques et socialistes, le
chef de l'Etat n'a d'autre choix que de remplacer Dieu, et les citoyens n'ont
d'autre choix que de vivre à sa merci.
Une
nouvelle dégradation du débat politique
Les femmes de « l'Escouade »
au Congrès ont intensifié l'attaque libérale contre le système américain et ont
apporté une nouvelle dégradation dans le débat politique. Ils sont non
seulement habilités, mais aussi acceptés, défendus, dorlotés et couverts par
l'Establishment politique et social libéral. Leur attitude est hostile et
tyrannique et est cimentée par une culture de victimisation et de griefs, dans
le but d'obtenir le pouvoir en contournant les règles pour les uns et en
inventant des crimes pour les autres. Ce sont en effet les "4 Cavalières
de l'Apocalypse".
Opinion:
The Squad – a new culture in town
Sadly, these women represent a good portion of the new generation of Americans who were brought up with a distorted history of America, misguided values and indoctrination by leftist educational institutions.
By Nonie Darwish
July 28, 2019
A new political culture has arrived in Washington with the election of Reps. Alexandria Ocasio-Cortez, Ilhan Omar, Rashida Tlaib and Ayanna Pressley.
Ilhan Omar sounded exactly like Muslim leaders who historically threatened Israel by declaring they will be Israel’s nightmare, but in the case of Omar, she was referring the President of the United States. In perfect harmony with Arab culture of threats to Israel, Ilhan Omar declared she will be Trump’s nightmare.
These four members of congress burst onto the political scene to revive the dismantled Obama dreams to fundamentally transform America from a capitalist Constitutional Republic Superpower to just another (nothing special) ‘Socialist Democrat State’.
They call themselves the squad and unabashedly embrace Socialism, anti-Americanism and anti-Semitism, and they flaunt an especially radical kind of Islam that is pro-Hamas and that has been abandoned today by several moderate Muslim countries.
The squad has become the symbol of the merger of socialism/communism (Red) and Islam (Green) in American politics. Recently, Omar and Tlaib have added one more layer of outrage in support of the anti-Semitic BDS (Boycott, Divestment and Sanctions) movement. These women carry themselves with an attitude of ‘you owe me’. They unapologetically blame and insult America and President Trump every chance they get. When Tlaib was asked about the M—-r F—-r public insult of the President she refused to apologize and said that is how she and her constituency speak; an interesting addition to the political dialogue in America.
Sadly, these women represent a good portion of the new generation of Americans who were brought up with a distorted history of America, misguided values and indoctrination by leftist educational institutions. They are encouraged into viewing themselves as victim “women of color” which in the mind of leftists entitles them to a special status to not be questioned and to expectations and power over others. In other words, being women of color means ‘we are above criticism and entitled to insult you and if you object then you are a racist.
Such openly rebellious behavior by politicians against the political system of a country could only be tolerated in the liberal culture of Western politics of today but would never be tolerated in socialist or Islamic countries, which is the national origin of some of the members of the squad.
Unlike free societies, oppressive socialist and Islamic cultures breed an atmosphere of fear and distrust where citizens get ahead by stepping on each other, through deception and playing the victim. That has penetrated the American political system where calling oneself “a person of color” could bring with it a lot of power.
Power in America: The ethnic look
Is it any wonder that some white Americans today try to get ahead by pretending they are minorities? Elizabeth Warren falsely claimed she was Indian, Rachel Dolezal pretended to be black and while Robert O’Rourke calls himself officially Beto to give the impression he is Latin. I personally knew a Muslim woman who never wore a hijab in Egypt but started wearing it in America. When I asked her why, she said: “The ethnic look is power in America.”
Those two seemingly unrelated ideologies, socialism and Islam, have proven their similarities throughout history and have produced totalitarian societies that share many similarities in how the individual view the state and work in a twisted way around the system to achieve power.
The most prominent Islamic jurist and philosopher of the 20th century, Sheikh Abul A’la Maududi, unabashedly linked Islam to communism and fascism and added that Islam is not just a religion but, like communism, seeks to control every aspect of life and activity of the individual.
Both socialism/communism and Islam/Sharia are also similar in their rebellion and rejection of biblical values. There is a reason why both socialists and Muslims are anti-Semitic, anti Christian and anti good old American biblical values. In a nutshell, biblical values are the number one obstacle in achieving their Socialist/Islamic utopia. And that is why socialist Ocasio-Cortez and Muslim Omar and Tlaib are joint in the hip in being anti-Semites and critical of the traditional biblical values.
Societies that adopt biblical values are the mirror opposite and in stark contrast to societies with socialist and/or Islamic values, and that is why the god of the bible is a threat to such totalitarian systems.
‘The evil other’
The Bible teaches its followers that they are not at war with ‘flesh and blood’ but with the Devil; in other words, they are not at war with humans from another class, religion, national origin or race. Societies based on such a Biblical principle are blessed with diminishing the human urge to view fellow citizens as their enemy.
On the other hand, Allah in Islam has declared war literally against ‘flesh and blood’ humans. The Koran is full of cursing of the human enemies of Allah; the ‘Kafir’ and Allah will punish and reward Muslims on the basis of how much they hate and their will to convert or kill them. On that basis, the existence of the ‘evil other’ is essential in the totality of Islamic values. That is one of the reasons why Islamic societies are full of strife, blame and victimhood mentality.
That is why Islamic and socialist cultures, lacking in Biblical values, are cultures of envy, distrust and blame. In such a culture citizens learn the art of deception, anger, blaming others while claiming victimhood to empower themselves. That is the culture where Omar, Tlaib and I have come from, but it took me a lifetime to fully remove this culture from my soul.
In a nutshell, America was founded by and for individuals who view themselves as not in a war with other citizens and that their life, liberty and pursuit of happiness was given to them from their creator (the biblical god) and not placed in the hands of the state or other humans. America was built on self-reliance, and creation of wealth through hard work and innovation and was never built on values of ‘us against them’ or achieving wealth through seizing it from others.
Even at the international level, Islamic and Socialist countries lead the world in their constant grievance industry, blame of others, and demands for special treatment sacrifices from others to make amends. While demanding all of that they often insult, smear and fabricate stories against their opponent and are easily offended if they are criticized or their abuse is challenged, That pretty much summarizes the behavior of the squad in Congress.
Such strategy of blaming the outside world with fake victimhood status have worked wonders for over 70 years for the Palestinian leadership that keeps holding the world hostage while robbing their oppressed citizens for the whole world to see.
Dysfunctional socialist and Islamist societies sacrifice individual rights for the sake of collective ‘good’. Under Islam, the Caliphate and Allah are one and must rule by Sharia. Sharia states that a Muslim head of state (Khalifa) is immune from prosecution for crimes even as serious as murder and other sins prohibited by Islam, and he “must be obeyed even if he is unjust” – that, of course, as long as he rules by Sharia. In Islamic and socialist systems, the head of state has no choice but to replace God, and citizens have no choice but to live under his mercy.
A new low in political debate
The squad women in Congress have intensified the liberal assault on the American system and brought a new low to the political debate. They are not just enabled, but also accepted, defended, pampered and covered up by the liberal political and social establishment. Their attitude is hostile and tyrannical and is cemented by a culture of victimhood and grievances for the purpose of achieving power through bending the rules for some and inventing crimes for others. They are indeed the “Four Horsewomen Of The Apocalypse.”
Nonie Darwish is an American human rights activist, founder of Arabs for Israel, director of Former Muslims United and author of “Wholly Different; Why I chose Biblical Values Over Islamic Values.”