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Grâce au Président, la Politique Américaine va dans la Bonne Direction
Par Majid Rafizadeh,
chroniqueur
Gatestone Institute – 06/01/2020
Texte en anglais ci-dessous
Voir
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étincelles venant des Etats-Unis
Les critiques de la politique du
président Trump à l'égard de l'Iran se sont une fois
de plus révélées fausses. Non seulement les sanctions américaines ont imposé
une pression significative sur les mollahs au pouvoir en Iran et sur leur
capacité à financer leurs groupes terroristes, mais en plus, le président Trump a récemment ordonné une attaque militaire qui a
changé la donne et qui a tué le major général iranien Qassem
Soleimani, chef de la force d'élite al Quds, et le commandant de la milice irakienne Abu Mahdi al-Muhandis, près de l'aéroport de Bagdad.
Selon le ministère américain de la
Défense, Soleimani « préparait activement des plans pour
attaquer des diplomates et des militaires américains en Irak et dans toute la
région »
La mort inattendue de Soleimani doit être considérée comme un coup dur pour les
mollahs au pouvoir. Soleimani était considéré comme
le deuxième homme en Iran après le Guide suprême, l'Ayatollah Ali Khamenei, sur
le plan de l'autorité dans la République islamique,
Fidèle confident de Khamenei, Soleimani jouissait d'une énorme influence sur la politique
étrangère du régime iranien. Soleimani ne se vantait
pas quand il a écrit dans un message au général américain David Petraeus : "... vous
devez savoir que moi, Qassem Suleimani,
je contrôle la politique de l'Iran en ce qui concerne l'Irak, le Liban, Gaza et
l'Afghanistan. Et en effet, l'ambassadeur à Bagdad est un membre de la Force al
Quds. L'individu qui va le remplacer est un membre de
la Force al Quds."
Soleimani a été nommé par le Guide suprême iranien à la tête de la Force al Quds, une branche du Corps des gardiens de la révolution
islamique (CGRI), il y a près de deux décennies. La Force al Quds est chargée d'exporter les principes idéologiques,
religieux et révolutionnaires de l'Iran au-delà des frontières du pays.
En tant que chef de la Force al Quds, Soleimani était chargé des
opérations extraterritoriales, y compris l'organisation, le soutien,
l'entraînement, l'armement et le financement des milices à prédominance chiite
; le lancement de guerres directement ou indirectement par l'intermédiaire de
ces mandataires ; la fomentation de l'agitation dans d'autres pays pour faire
avancer les intérêts idéologiques et hégémoniques de l'Iran ; l'attaque et
l'invasion de villes et de pays ; et l'assassinat de personnalités politiques
étrangères et de puissants dissidents iraniens dans le monde entier.
La Force al Quds
a fomenté des troubles en Irak en fournissant des bombes meurtrières et
sophistiquées, notamment des engins explosifs improvisés (EEI) qui ont tué de
nombreux civils et non civils, y compris des Irakiens et des Américains.
Sous sa direction, la Force al Quds a également été accusée d'avoir préparé dans ses plans
l’attaque avortée des ambassades saoudiennes et israéliennes aux États-Unis et
d'assassiner l'ambassadeur saoudien de l'époque aux États-Unis, Adel Al-Jubeir. Une enquête a
révélé que la Force al Qods était également derrière
l'assassinat du Premier ministre sunnite du Liban, Rafic Hariri.
Soleimani a également conclu des alliances avec divers groupes terroristes et
milices, y compris des groupes terroristes non chiites comme Al-Qaida. Sous le règne de Soleimani,
l'armée iranienne a également été impliquée dans les attaques du 11 septembre.
Le juge fédéral américain George Daniels a rendu une ordonnance stipulant que
l'Iran, son Hezbollah chiite mandataire libanais et Al-Qaida
étaient conjointement responsables des attaques.
L'Iran a servi de "refuge à
certains dirigeants d'Al-Qaida". Les hauts
dirigeants de la Force al Qods ont des liens de
longue date avec Al-Qaida, et depuis la chute de
l'Afghanistan, ils ont fourni à certains dirigeants d'Al-Qaida
des documents de voyage et un refuge", a déclaré un analyste du
renseignement européen.
Christopher Harmer,
un commandant de la marine américaine à la retraite, a déclaré au New York
Times que Soleimani est "une version plus majestueuse
d'Oussama Ben Laden".
Soleimani était aussi connu comme l'homme le plus meurtrier du Moyen-Orient et le
plus dangereux de l'Iran. Il privilégiait les tactiques et les opérations
offensives plutôt que défensives, et se réjouissait de s'allier avec ses
troupes et ses mandataires sur les champs de bataille dans des pays comme la
Syrie, le Yémen, le Liban et l'Irak. Il a déjà été sanctionné par les
États-Unis, la Suisse et le Conseil de sécurité de l'ONU par la résolution
1747, et inscrit sur la liste américaine des terroristes mondiaux spécialement
désignés.
Il commandait environ 20 000 membres de
la Force al Quds, et en cas d'urgence, il pouvait
également déployer des forces de l'IRGC et de la milice Basiji.
Soleimani commandait des combattants des milices que
l'Iran soutient et qu’il a aidé à créer, et il a engagé des combattants
d'autres pays, dont l'Afghanistan, pour combattre par procuration.
Le modus operandi
de Soleimani était ancré dans la création de
l'instabilité dans d'autres pays afin de faire avancer les intérêts de Téhéran.
Il a déclaré un jour que les troubles et les soulèvements au Moyen-Orient et en
Afrique du Nord " offrent à notre
révolution (iranienne) les plus grandes possibilités d’hégémonie…
Aujourd'hui, la victoire ou la défaite de l'Iran n'a plus lieu à Mehran et Khorramshahr. Nos
frontières se sont étendues et nous devons assister à la victoire en Égypte, en
Irak, au Liban et en Syrie. C'est le fruit de la révolution islamique"
La haine du gouvernement iranien envers
les Etats-Unis semble souvent être la raison la plus importante de son
existence. Tant que les mollahs resteront au pouvoir, la République islamique
continuera ses actes de terreur et son profond antagonisme contre les
Américains, leurs voisins sunnites, les pays qu'ils essaient de contrôler, -- tels
que l'Irak, la Syrie, le Yémen, le Liban, certaines parties de Gaza et du
Venezuela, -- et de l'Occident.
Grâce au président Donald J. Trump, les Etats-Unis ont infligé un autre coup dur au
régime antisémite et anti-américain de l'Iran. De plus, au grand désarroi
probable des critiques de Washington, la politique du président Trump à l'égard de l'Iran va dans la bonne direction.
La pression maximale est la bonne politique pour mettre un frein à
ce régime prédateur.
Thanks to the President, U.S. Policy Heading in
the Right Direction - Majid Rafizadeh
The critics of President
Trump's Iran policy have
been proven wrong once again: Not only have the US
sanctions imposed significant
pressure on the ruling mullahs of Iran and their ability to fund their terror
groups, but in addition, President Trump recently ordered a game-changing military attack that killed
both Iranian Major-General Qassem Soleimani, head of the elite Quds Force, and Iraqi militia
commander Abu Mahdi al-Muhandis near
the Baghdad airport.
According to the US Department of Defense, Soleimani "was actively developing plans to attack American diplomats and
service members in Iraq and throughout
the region."
The unexpected death
of Soleimani should be regarded as a severe blow to the ruling mullahs. When it comes to authority
in the Islamic Republic, Soleimani was considered
Iran's second man after Supreme Leader Ayatollah Ali Khamenei.
A staunchly loyal confidante
to Khamenei, Soleimani enjoyed
enormous influence over dictating
the Iranian regime's foreign policy. Soleimani was not bragging when he
wrote in a message to US Gen.
David Petraeus:
"... you should
know that I, Qassem Suleimani, control the policy for
Iran with respect to Iraq, Lebanon, Gaza, and
Afghanistan. And indeed, the ambassador
in Baghdad is a Quds Force member. The individual who's going to replace him is a Quds Force member."
Soleimani was
appointed by Iran's Supreme Leader to be the head of the Quds Force, a branch of Iran's Islamic Revolutionary Guard Corps (IRGC), almost two decades ago.
The Quds Force is tasked with exporting
Iran's ideological, religious and revolutionary principles beyond the country's borders.
As the leader of the Quds Force, Soleimani was in charge of
extraterritorial operations, including
organizing, supporting,
training, arming and financing
predominantly Shiite militia
groups; launching wars directly or indirectly via these proxies; fomenting unrest in other nations to advance Iran's ideological and hegemonic interests; attacking and invading cities and countries; and assassinating
foreign political figures
and powerful Iranian
dissidents worldwide.
The Quds Force fomented
unrest in Iraq by providing
deadly, sophisticated bombs, including improvised explosive devices (IEDs) that killed
many civilians and non-civilians, including Iraqis and Americans.
Under his leadership, the Quds Force was also accused of failed plans to bomb the Saudi and Israeli embassies in the US, and to assassinate
then-Saudi Ambassador to the US Adel Al-Jubeir. An investigation revealed
that the Quds Force was also behind
the assassination of Lebanon's
Sunni Prime Minister Rafiq
Hariri.
Soleimani also
successfully made alliances with
various terror and militia groups including
non-Shiite terrorist groups such
as Al-Qaeda. Under Soleimani's rule,
Iran's military was also implicated
in the 9/11 attacks. US Federal
Judge George Daniels issued an order
stating that Iran, its Lebanese Shiite proxy
Hezbollah and Al-Qaeda were jointly
responsible for the attacks.
Iran provided "safe
harbor for some Al-Qaeda
leaders. The (Quds) Force's
senior leaders have longstanding ties
to Al-Qaeda, and since the fall
of Afghanistan, have provided some
Al-Qaeda leaders with travel
documents and safe haven"
said a European
intelligence analyst.
Christopher Harmer, a retired U.S. Navy Commander, told The New York Times that Soleimani is "a more stately version
of Osama Bin Laden."
Soleimani was
also well-known as the Middle East's deadliest, and Iran's most dangerous, man. He prioritized offensive tactics and
operations over defensive ones, and rejoiced in taking selfies with his troops
and proxies in battlefields
in countries, including Syria,
Yemen, Lebanon and Iraq. He was
previously sanctioned by
the US, Switzerland and the UN Security Council via Resolution 1747, and on America's
Specially Designated Global
Terrorists list.
He commanded roughly
20,000 Quds Force members,
and in case of emergencies, could also
deploy forces from the IRGC
and Basij militia.
Soleimani commanded fighters from militias
that Iran supports and helped
create, and hired fighters from other
countries, including Afghanistan, to fight as proxies.
Soleimani's modus operandi was anchored
in creating instability in other nations in order to advance Tehran's interests. He once declared that the unrest and uprisings in the Middle East and North
Africa "provide our (Iran's) revolution
with the greatest opportunities..."
"Today, Iran's
victory or defeat no longer
takes place in Mehran and Khorramshahr. Our boundaries have
expanded, and we must witness victory in Egypt, Iraq, Lebanon and Syria.
This is the fruit of the Islamic
revolution."
The Iranian government's
hatred towards the US often seems the most important reason for its existence. As long as the ruling
mullahs remain in power, the Islamic
Republic will continue its acts of terror
and deep antagonism against Americans, their Sunni neighbors,
the lands they try to
control -- such as Iraq, Syria,
Yemen, Lebanon, parts of Gaza and Venezuela -- and
the West.
Thanks to President Donald J. Trump, the US
inflicted another significant blow to the anti-Semitic and anti-American regime of Iran. Moreover, to the likely dismay of Washington's critics, President Trump's Iran policy has been heading in the
right direction. Maximum pressure is the right policy to bridle this predatory regime.