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Le Parti Démocrate se Débarrasse de ses Juifs

Par Daniel Greenfield, membre de la Shillman Journalism Fellow au Freedom Center, est un journaliste d'investigation et un écrivain qui se concentre sur la gauche radicale et le terrorisme islamique.

14/8/20

Texte en anglais ci-dessous

Source : https://www.frontpagemag.com/fpm/2020/08/democrat-party-getting-rid-jews-daniel-greenfield/

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Kamala Harris, qui a défendu Omar dans sa haine des Juifs, pourrait siéger dans le Bureau ovale.

Les primaires démocrates font le tour du pays et laissent derrière elles moins de démocrates juifs dans les fonctions publiques et plus de radicaux antisémites à la Chambre des Représentants.

Les représentantes Ilhan Omar et Rashida Tlaib ont toutes les deux survécu aux défis lancés par des Afro-Américains plus qualifiés parce qu'elles bénéficiaient du soutien de l'Establishment Démocrate.

Malgré sa rhétorique antisémite, une habitude qu'Omar a conservée pendant les primaires, elle a obtenu l'appui de la présidente de la Chambre des Représentants, Mme Nancy Pelosi. Le plus haut responsable démocrate élu a également soutenu Tlaib.

Après la première série de remarques antisémites d'Omar, la sénatrice Kamala Harris a défendu la politicienne raciste contre ses détracteurs juifs en avertissant "que le fait que les projecteurs soient braqués sur la députée Omar risquait de la mettre en danger".

Ainsi selon elle, l'antisémitisme d'Omar ne menaçait pas les Juifs, mais les protestations juives menaçaient l’élection de cette fanatique. Puis Harris a insisté sur le fait qu'"il y avait une différence entre la critique de la politique... et l'antisémitisme".

La politicienne californienne ne s'est pas donnée la peine d'expliquer en quoi les tropes antisémites d'Omar n'étaient que de la politique.

La sénatrice Harris a depuis été choisie comme colistière de Joe Biden. Si Biden gagne, une femme politique qui a défendu l'antisémitisme d'Omar deviendra presque certainement la présidente suivante de ce pays.

Alors que Harris a été dépeinte comme une modérée, son chef de cabinet, Karine Jean-Pierre, était la porte-parole nationale et la conseillère principale de « MoveOn ». Le groupe radical a une longue histoire d'antisémitisme et d'attaque de l'État juif. Il s'est même opposé au sénateur Schumer parce que, selon ses propres termes, "notre pays n'a pas besoin d'un autre Joe Lieberman".

Karine Jean-Pierre avait accusé Israël de "crimes de guerre" et dénoncé l'AIPAC comme "islamophobe" pour s'être opposé au meurtre de Juifs, exhortant les démocrates à éviter la Convention pro-israélienne.

Le mythe selon lequel les radicaux de cette bande étaient des "tueurs de géants" insurgés qui s'en prenaient à l'Establishment démocrate était à la mode. La réalité est que les radicaux sont soutenus par un Establishment radical qui se débarrasse allègrement des anciens démocrates dans des circonscriptions plus traditionnelles.

Et cela inclut les Juifs.

La représentante Alexandria Ocasio Cortez, la chef de la bande qui a soutenu la résolution pro-BDS d'Omar, a droit à la parole à la convention démocrate. Une lettre sur son site internet, signée par la congressiste, accuse Israël de devenir un État d'apartheid et menace de lui couper l'aide américaine.

Le courrier électronique de la députée Cortez, qui soutient cette initiative, vante le soutien des groupes BDS et des organisations extrémistes liées à des groupes terroristes comme le FPLP et le Hamas. Parmi ces groupes figurent les « American Muslims for Palestine », dont le président, Hatem Bazian, a été l'architecte du harcèlement des Juifs sur les campus universitaires, en tant que fondateur de « Students for Justice in Palestine ». Lorsqu'Israël a résisté à une invasion du Hamas depuis Gaza, la Représentante Cortez a accusé Israël de "massacre".

Les démocrates juifs ne peuvent pas continuer à prétendre que ces opinions sont marginales, alors qu'ils occupent la place de conférencier lors de leur convention, entre John Kerry et Bill Clinton.

Tout cela est bien plus important que le théâtre de la plate-forme politique des démocrates. Ce qui est en jeu pour les démocrates juifs n'est pas seulement la politique : c'est la représentation.

Le nombre de protestants et de juifs a diminué au Congrès, conséquence inévitable de la sécularisation et de la diversité. Le défilé de discours du DNC s'ouvrira avec le sénateur Bernie Sanders, un athée avec un accent de Brooklyn qui ne fait pas partie d'une communauté juive. Et il est le prototype de la nouvelle espèce de démocrate "juif".

Les démocrates juifs de la Chambre qui représentaient des circonscriptions juives perdent leurs sièges. Le 117e Congrès ne comptera que deux démocrates juifs de New Yor, après la défaite du député Elliot Engel et le remplacement de la députée Nita Lowey par des radicaux minoritaire, soutenus par Sanders et Cortez. Le seul membre juif du Congrès du New Jersey a survécu à l'agression d'un radical soutenu par Cortez/Sanders.

Comment est-il possible que la plus grande population juive du pays compte si peu de membres à la Chambre ? Les démocrates ont stratégiquement manipulé la ville de New York pour refuser une représentation aux zones juives, en les faisant passer dans des zones minoritaires où seuls les radicaux peuvent gagner. Les démocrates juifs occupaient autrefois des fonctions publiques parce qu'ils étaient élus par les électeurs juifs. Ce n'est plus vrai à New York. C'est toujours vrai en Floride et dans quelques autres États. Mais plus pour longtemps.

Le nouveau Démocrate "juif" est un activiste radical qui n'a aucun lien avec la communauté juive. Il n'est peut-être même pas juif. La représentante Cortez a affirmé qu'elle avait des racines juives, parce que "être Portoricain, c'est être le descendant de : des Maures et esclaves africains, des Indiens Taino, des colonisateurs espagnols, des réfugiés juifs et probablement d'autres personnes". Alors, qui a besoin de vrais Juifs de toute façon ?

Les pirates démocrates radicaux jouent à ce jeu depuis un certain temps déjà. "Je pense que je suis ce qui se rapproche le plus d'un juif qui ait jamais siégé dans ce bureau", avait insisté Obama.

Alors que la sénatrice Kamala Harris est en campagne électorale, regardez-la se vanter de son mari juif et raconter sans cesse la même histoire sur sa belle-mère -- qu’elle s’entend à merveille avec elle et avec la 1ère épouse de son mari. La politique est construite sur des flatteries ethniques boiteuses, mais ces routines fatiguées obscurcissent quelque chose de beaucoup plus profondément troublant.

Obama et Harris ont tous les deux approuvé le programme nucléaire iranien et le flux d'argent vers les terroristes. Et ils ont couvert ces faits troublants par des histoires joyeuses sur tous leurs amis juifs.

La politique d'Obama a conduit au meurtre de juifs. Il aimait tellement les Juifs qu'il ne pouvait pas s'empêcher de les tuer.

Le sénateur Cory Booker a enthousiasmé les démocrates juifs par sa capacité à réciter quelques phrases en hébreu, puis a travaillé dur pour protéger les terroristes nationalistes noirs qui ont assassiné des Juifs dans son État.

La représentante Alexandria Ocasio Cortez prétend être juive parce qu'elle est portoricaine, tout en complotant avec les alliés des terroristes qui tuent les Juifs.

Pendant ce temps, les électeurs juifs sont de moins en moins représentés au niveau communautaire. Certaines des plus grandes communautés juives traditionnelles du pays sont représentées par des radicaux comme les représentantes Yvette Clarke, Karen Bass ou Nydia Velasquez, qui sont ouvertement hostiles à Israël et ne souhaitent pas représenter les Juifs dans leurs districts.

La relation entre les communautés juives et les élus est en train d'être rompue. Et cela a des implications bien au-delà d'Israël, du BDS ou de l'Iran. Cela signifie que les Juifs ne sont plus une circonscription démocrate. C'est une réalité qui s'installe discrètement pour de nombreux professionnels juifs démocrates, surtout après la purge du député Elliot Engel par un radical soutenu non seulement par l'AOC, mais aussi par Obama.

Selon Jamaal Bowman, Obama a décidé de le soutenir après avoir lu sa réponse à un rabbin juif libéral rejetant son appel à combattre le BDS et dénigrant l'armée israélienne.

La plupart des électeurs juifs démocrates refusent régulièrement de prêter attention à ce phénomène.

Et pourtant, il n'y a pas tant de diatribes sur Trump, tant d'articles furieux du New York Times et du Washington Post à faire défiler à la table du petit-déjeuner qui peuvent tenir à distance l'horrible réalité de ce qu'un parti démocrate radicalisé signifie pour les communautés juives.

Ce n'est pas seulement que les démocrates se retournent contre Israël, ils se retournent aussi contre les juifs.

Pas les Juifs au sens abstrait du terme. Les politiciens démocrates peuvent, comme le sénateur Cory Booker, garder une copie de la Bible en hébreu dans leur bureau, ils peuvent, comme la représentante Alexandria Ocasio Cortez, revendiquer des racines juives, ou, comme Barack Obama, se réclamer de valeurs juives au sens vague du terme.

Tout cela n'a rien à voir avec les vrais juifs, leurs intérêts, leurs communautés et leurs vies, mais cela fait un travail formidable pour flatter la névrose d'insécurité qui fait que certains juifs se penchent vers la gauche.

Obama avait gagné en réduisant l'Amérique à un ensemble de valeurs gauchistes. Il a fait la même chose avec les Juifs. Mais quand vous réduisez les gens à vos propres abstractions et slogans, vous vous les appropriez. Les marxistes adoraient la classe ouvrière comme une abstraction et terrorisaient la classe ouvrière réelle. Parce qu'ils prétendaient représenter "le peuple", ils n'ont jamais eu à prêter attention aux personnes dans leur réalité.

L'appropriation des Juifs transforme un peuple en un ensemble de slogans gauchistes. Et puis les démocrates, de Barack Obama à la république d'Alexandrie Ocasio Cortez, sont libres de soutenir des politiques qui conduisent au meurtre de vrais juifs, au nom de leurs abstractions gauchistes des valeurs juives.

Le système politique américain ne reconnaît pas les circonscriptions comme des abstractions, mais comme des réalités humaines. Les démocrates sont en train de construire un nouvel État à parti unique dans lequel les élections ne sont pas pertinentes et où les primaires existent pour négocier des accords entre des organisations à but non lucratif financées par des milliardaires. Les communautés juives réelles sont un inconvénient gênant dans ce système politique marxiste.

Les démocrates portant des noms de famille juifs continueront d'exister, mais ils ne représenteront personne d'autre que les associations à but non lucratif comme Bend the Arc, J Street, Jewish Voice for Peace, Jews for Racial and Economic Justice ou If Not Now, qui non seulement travaillent activement pour faire tuer des Juifs, mais qui ne représentent personne d'autre que George Soros ou le fils de Buffett. Et attaquer Soros pour son extrémisme radical est la seule chose que les démocrates ne reconnaîtront même plus comme de l'antisémitisme.

Le schéma devrait être familier, vu la façon dont les régimes de gauche ont traité les populations juives.

Il n'y a pas beaucoup d'avenir pour les communautés juives dans ce modèle. Les villes et les banlieues où vivent les Juifs sont assiégées au nom de la justice sociale. Les communautés juives perdent simultanément leur représentation au sein des démocrates au nom de la justice sociale.

Les démocrates juifs qui imaginent qu'Israël est le problème sont sur le point d'apprendre qu'ils sont le problème.

Le problème, comme en URSS, est que de nombreuses communautés juives sont des enclaves bourgeoises remplies de professionnels de la classe moyenne, des familles biparentales qui élèvent leurs enfants pour réussir, aller dans une bonne université, trouver un meilleur emploi, se marier et élever leurs propres enfants dans une banlieue où les rues sont sûres, les écoles difficiles et le reste de ce qui était autrefois le rêve américain.

Comme la plupart des banlieusards, ils ne sont pas vraiment radicaux. Ils ne font qu'habiliter stupidement les radicaux. Et les radicaux, une fois au pouvoir, ne vont pas les tolérer. Ils vont s'en débarrasser. C'est déjà en train de se produire. Et, contrairement aux années 70, il n'y aura pas de banlieue où s'enfuir.

Il y a dix ans, il y avait six démocrates juifs à New York. Maintenant, il y en a deux.

Ce qui s'est passé en l'espace d'une décennie, c'est que l'avenir radical des démocrates est arrivé. Et il n'y a pas de place dans ce nouveau monde radical que les démocrates construisent pour les Juifs.

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The Democrat Party is Getting Rid of the Jews

by Daniel Greenfield

Kamala Harris, who defended Omar’s Jew-hate, could sit in the Oval Office.


https://cms.frontpagemag.com/sites/default/files/styles/article_full/public/uploads/2020/08/kio.jog_.jpg?itok=t3508hUv

The Democrat primaries are sweeping around the nation and leaving behind fewer Jewish Democrats in public office and more antisemitic radicals sitting in the House of Representatives.

Rep. Ilhan Omar and Rep. Rashida Tlaib both survived challenges from better qualified African-Americans because they enjoyed the backing of the Democrat establishment.

Despite her antisemitic rhetoric, a habit that Omar continued during the primary, she got the endorsement of Speaker Pelosi. The top elected Democrat official also endorsed Tlaib.

After Omar’s first round of antisemitic remarks, Senator Kamala Harris defended the racist politician against her Jewish critics by warning “that the spotlight being put on Congresswoman Omar may put her at risk.”

Omar’s antisemitism wasn’t threatening Jews, but Jewish protests were threatening the bigot.

Then Harris insisted that, “there is a difference between criticism of policy... and anti-Semitism."

The California politician didn’t bother to explain how Omar’s antisemitic tropes were mere policy.

Senator Harris has since been picked as Biden’s running mate. If Biden wins, a politician who defended Omar’s antisemitism will almost certainly become the next president of this country.

While Harris has been depicted as a moderate, her chief of staff, Karine Jean-Pierre, was the national spokeswoman and senior adviser for MoveOn. The radical group has a long history of trafficking in antisemism and attacking the Jewish State. It even opposed Senator Schumer because, in its own words, “our country doesn’t need another Joe Lieberman.”

Jean-Pierre had accused Israel of "war crimes" and denounced AIPAC as "Islamophobic" for opposing the murder of Jews, urging Democrats to avoid the pro-Israel convention.

The myth that the radicals of the squad were insurgent “giant-slayers” who were taking on the Democrat establishment was branding. The reality is that the radicals are backed by a radical establishment which is cheerfully shedding older Dems with more traditional constituencies.

That includes Jews.

Rep. Alexandria Ocasio Cortez, the squad leader who supported Omar’s pro-BDS resolution, has a speaking slot at the Democrat convention. A letter on her site, signed by the congresswoman, accuses Israel of becoming an apartheid state and threatens to cut off aid.

Rep. Cortez's email in support of the move touted the backing of BDS groups and extremist organizations linked to terrorist groups like the PFLP and Hamas. These groups include American Muslims for Palestine, whose chairman, Hatem Bazian was the architect of the harassment of Jews on college campuses as the founder of Students for Justice in Palestine.

When Israel resisted a Hamas invasion from Gaza, Rep. Cortez accused Israel of a "massacre".

Jewish Democrats can’t keep on pretending that these views are marginal when they occupy a speaking role at their convention between John Kerry and Bill Clinton.

All this matters a whole lot more than the policy theater over the Democrat platform.

What’s at stake for Jewish Democrats is not just policy: it’s representation.

The number of Protestants and Jews has been dropping in Congress, an inevitable consequence of secularization and diversity. The DNC's parade of speeches will open with Senator Bernie Sanders, an atheist with a Brooklyn accent who isn’t part of a Jewish community. And he’s the prototype for the new type of “Jewish” Democrat.

Jewish House Democrats who represented Jewish constituencies are losing their seats.

The 117th Congress will have only two Jewish House Democrats from New York after Rep. Elliot Engel was defeated and Rep. Nita Lowey was replaced by minority radicals backed by Sanders and Cortez. New Jersey’s lone Jewish congressman survived an assault by a Cortez/Sanders backed radical.

How is it possible that the largest Jewish population in the country has so few Jewish House members? Democrats have strategically gerrymandered New York City to deny representation to Jewish areas by rolling them into minority areas where only the radicals can win.

Jewish Democrats used to hold public office because they were elected by Jewish voters. That’s no longer true in New York. It’s still true in Florida and a few other states. But not for long.

The new “Jewish” Democrat is a radical activist who has no ties to the Jewish community. He or she may not even be Jewish. Rep. Cortez has claimed that she has Jewish roots because “to be Puerto Rican is to be the descendant of: African Moors & slaves, Taino Indians, Spanish colonizers, Jewish refugees, and likely others.” Then who needs actual Jews anyway?

The radical hijackers of the Democrats have been playing this game for a while.

“I think I am the closest thing to a Jew that has ever sat in this office," Obama had insisted.

As Senator Kamala Harris hits the campaign trail, look for her to tout her Jewish husband, and to endlessly retell the same story about her mother-in-law. Politics is built on lame ethnic pandering, but these tired routines are obscuring something much more deeply disturbing.

Obama and Harris both signed off on Iran’s nuclear program and the flow of money to terrorists. And they’ve covered that disturbing fact over with happy talk about all their Jewish friends.

Obama’s policies led to the murder of Jews. He loved Jews so much he couldn’t stop killing them.

Senator Cory Booker thrilled Jewish Democrats with his ability to recite a few Hebrew phrases, and then worked hard to protect black nationalist terrorists who murdered Jews in his state.

Rep. Alexandria Ocasio Cortez claims to be Jewish because she’s Puerto Rican while coordinating with the allies of the terrorists who are killing Jews.

Meanwhile, Jewish voters are increasingly not being represented at a communal level.

Some of the largest traditional Jewish communities in the country are being represented by radicals like Rep. Yvette Clarke, Rep. Karen Bass, or Rep. Nydia Velasquez who are overtly hostile to Israel, and uninterested in actually representing Jews in their gerrymandered districts.

The relationship between Jewish communities and elected officials is being broken. And that has implications well beyond Israel, BDS, or Iran. It means that Jews are no longer a Democrat constituency. That’s a reality that is quietly sinking in for many Jewish Democrat professionals, especially after the purge of Rep. Elliot Engel by a radical backed not only by AOC, but Obama.

According to Jamaal Bowman, Obama decided to endorse him after reading his response to a liberal Jewish clergyman rejecting his call to fight BDS and bashing Israel's military.

Most Jewish Democrat voters are steadily refusing to pay attention to this phenomenon.

And yet there’s only so many rants about Trump, so many furious New York Times and Washington Post op-eds to be scrolled through at the breakfast table that can keep the ugly reality of what a radicalized Democrat Party means for Jewish communities at bay.

It’s not just that the Democrats are turning against Israel, they’re turning against Jews.

Not Jews in the abstract sense. Democrat politicians can, like Senator Cory Booker, keep a Hebrew copy of the Bible in their office, they can, like Rep. Alexandria Ocasio Cortez, claim Jewish roots, or, like Barack Obama, claim to be Jewish in some vague sense of values.

None of this has anything to do with actual Jews, their interests, communities, and lives, but it does a wonderful job of flattering the insecure neurosis that makes some Jews lean leftward.

Obama had won by reducing America to a set of leftist values. He did the same thing to Jews. But when you reduce people to your own abstractions and slogans, you’re appropriating them. Marxists worshiped the working class as an abstraction and terrorized the actual working class. Because they claimed to stand for “the people”, they never had to pay attention to real people.

The appropriation of the Jews transforms a people into a set of leftist slogans. And then Democrats from Barack Obama to Rep. Alexandria Ocasio Cortez are free to support policies that lead to the murder of actual Jews in the name of their leftist abstractions of Jewish values.

The American political system doesn’t recognize constituencies as abstractions, but as people. The Democrats are building a new one-party state in which elections are irrelevant and primaries exist to broker arrangements between intersectional non-profits funded by billionaires. Actual Jewish communities are an annoying inconvenience in this Marxist political system.

Democrats with Jewish last names will still exist, they just won’t represent anyone except the roster of non-profits like Bend the Arc, J Street, Jewish Voice for Peace, Jews for Racial and Economic Justice or If Not Now, that are not only actively working to get Jews killed, but that don’t represent anyone except George Soros or Buffett’s son. And attacking Soros for his radical extremism is the only thing that Democrats will even recognize as antisemitism anymore.

The pattern ought to be a familiar one from how leftist regimes dealt with Jewish populations.

There’s not much of a future for Jewish communities in this model. The cities and suburbs where Jews live are under siege in the name of social justice. Jewish communities are simultaneously losing their representation within the Democrats in the name of social justice.

Jewish Democrats who imagine that Israel is the problem are about to learn they’re the problem.

The problem, as in the USSR, is that many Jewish communities are bourgeois enclaves filled with middle class professionals, two-parent families who raise their children to succeed, go to a good college, get an even better job, get married, and raise their own children in a suburb with safe streets, challenging schools, and the rest of what used to be the American Dream.

Like most suburbanites, they aren’t actually radical. They just stupidly enable the radicals. And the radicals, once they take power, are not going to tolerate them. They’re going to get rid of them. It’s already happening. And, unlike the 70s, there won’t be any suburbs to run away to.

A decade ago there were six Jewish House Democrats out of New York. Now there are two.

What happened in the short span of a decade is that the radical future of the Democrats arrived. And there’s no room in that radical new world that the Democrats are building for the Jews.


Daniel Greenfield, a Shillman Journalism Fellow at the Freedom Center, is an investigative journalist and writer focusing on the radical Left and Islamic terrorism.

Source: https://www.frontpagemag.com/fpm/2020/08/democrat-party-getting-rid-jews-daniel-greenfield/