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La Purge du Secteur Privé Commence

Par Andrea Widburg, juriste

14/1/21

Texte en anglais ci-dessous

Source : https://www.americanthinker.com/blog/2021/01/the_public_sector_purge_is_beginning.html

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Un ancien employé de Trump aurait perdu son emploi simplement parce qu'une ligue sportive professionnelle a refusé de travailler avec une entreprise qui emploierait des employés de Trump.

Dawson Buchanan, un jeune partisan de Trump, a laissé un fil de discussion inquiétant sur Twitter. Il affirme qu'il était prêt à travailler pour une société appelée « Private Jet Services » (PJS). Cependant, peu avant qu'il ne commence, PJS l'a licencié. Il a finalement appris par le propriétaire que PJS avait un contrat avec la Ligue nationale de hockey. (NHL)- Lorsque la NHL a appris que PJS avait engagé quelqu'un qui avait travaillé pour la société Trump, la NHL a déclaré que PJS avait le choix : Buchanan ou la NHL. PJS a opté pour la société qui l'aide à payer ses factures.

Voici l'histoire de Buchanan dans ses propres mots :

1) Il y a quelques heures, j'ai tweeté précisant que ce tweet faisait référence à moi. Peu de temps après, j'ai supprimé ce tweet. Après une longue introspection et des discussions avec mes amis et ma famille, je me sens obligé de révéler pourquoi je l'ai supprimé.

2) Après m'être identifié comme le sujet du fil de discussion, @Fly_PJS m'a contacté, me menaçant de prendre des mesures légales et de me diffamer publiquement si je ne supprimais pas le tweet. Intimidé et nerveux, je l'ai immédiatement effacé.

3) Mais après y avoir réfléchi, et après avoir discuté de mes droits à la liberté d'expression avec des conseillers, je ne me laisserai pas intimider par le silence. Je vais maintenant élever la voix plus fort.

4) Début janvier, PJS m'a engagé comme concierge pour un contrat qu'ils avaient avec l'équipe de la NHL, @Canes. Ayant travaillé avec PJS en tant qu'associé des opérations pour le QG de la campagne Trump, j'ai accepté le poste avec enthousiasme - excité de rejoindre une entreprise avec laquelle j'avais développé une relation personnelle.

5) Après avoir reçu un ordinateur portable, établi un e-mail de travail et même acheté des vêtements de travail supplémentaires, je me suis préparé à me rendre à Raleigh, NC aujourd'hui pour une formation. Hier soir, vers 19 heures, PJS a appelé et m'a licencié sans explication.

6) J'étais dévasté. Je suis passé d'employé à chômeur en quelques secondes, et je n'avais rien fait de mal.

7) J'ai appelé le propriétaire de PJS et lui ai demandé des explications, et il m'a dit très franchement : le @NHL a découvert que je travaillais pour la campagne Trump et a menacé d'annuler le contrat avec PJS à moins qu'ils ne me licencient.

8) Au lieu de me défendre, au lieu d'expliquer à la NHL que je ne suis pas, en tant que personne, uniquement défini par mon travail précédent sur la campagne Trump, ils m'ont licencié pour le gain financier de leur propre entreprise.

9) J'étais contrarié et déçu, mais je ne leur ai pas reproché cette décision au départ. J'aurais aimé qu'ils me défendent... ils ne l'ont pas fait. Je n'avais aucune animosité envers PJS, jusqu'à ce qu'ils essaient de me faire taire.

10) Donc maintenant, je partage l'histoire, dans son intégralité. Même si le propriétaire m'a dit cet après-midi qu'il nierait tout ce que je dis, si cela allait plus loin. Mais c'est la vérité, et je me sens plus fort et plus soutenu si je la partage avec vous tous.

11) Je ne peux pas commencer à remercier toutes les personnes qui m'ont aidé à traverser cette épreuve et qui m'ont contacté sur Twitter, LinkedIn et par e-mail pour m'aider. Merci beaucoup à vous tous ! J'ai hâte de continuer à dire la vérité pour que cela n'arrive plus jamais à un conservateur.

Pour autant que je sache, ni la NHL ni la PJS n'ont encore commenté la version des faits de Buchanan. En supposant qu'ils soient vrais, la capacité de Buchanan à poursuivre PJS dépend du fait que son emploi chez PJS était à volonté ou non. L'emploi à volonté permet à un employeur de licencier un employé pour n'importe quelle raison, sauf pour des raisons illégales. Cependant, s'il est vrai que la NHL a extorqué à PJS le droit de licencier Buchanan en se basant sur le soutien de Buchanan à un président des États-Unis dûment élu, je pense que Buchanan devrait examiner s'il peut poursuivre la NHL pour ingérence délictueuse dans un avantage économique potentiel.

Ce qui est important pour les besoins de ce poste, c'est que si les faits de Buchanan sont exacts, il est clair que la gauche est déterminée à marginaliser les partisans du Trump et les autres conservateurs. Ils ont déjà fait savoir très clairement qu'ils avaient l'intention de leur refuser une voix dans un monde informatisé, de les laisser sans accès aux banques, et de s'assurer qu'ils ne peuvent pas être employés. En effet, Curt Schilling s'est fait dire qu'en tant que conservateur de haut niveau, il est désormais inassurable. Je suis sûr qu'il y a là aussi un procès. Nous allons être conduits de pilier en pilier, comme les lépreux d'autrefois.

À long terme, la gauche est une tactique non viable. Selon les circonstances, elle est presque certainement illégale dans de nombreux cas. Et enfin, si les gauchistes sont déterminés à "dé-personnaliser" les partisans du Trump, cela ne peut pas bien se terminer pour l'Amérique dans son ensemble. C'est le comportement des socialistes purs et durs, sur le mode communiste ou fasciste, et non celui des membres d'une démocratie libérale pluraliste.

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The private-sector purge is beginning -

by Andrea Widburg

Source: https://www.americanthinker.com/blog/2021/01/the_public_sector_purge_is_beginning.html 

A former Trump worker allegedly lost his job simply because a pro sports league refused to work with a company that would employ Trump workers.

Dawson Buchanan, a young Trump-supporter, left a disturbing thread on Twitter.  He asserts that he was all set to begin working for a company called Private Jet Services.  However, shortly before he was to begin, PJS fired him.  He finally learned from the owner that PJS had a contract with the National Hockey League.  When the NHL learned that PJS had hired someone who had worked for the Trump company, the NHL said PJS had a choice: Buchanan or the NHL.  PJS opted for the company that helps pay its bills.

Here's Buchanan's story

 in his own words:

1) A couple of hours ago, I tweeted out that this tweet referred to me. Shortly after, I deleted that tweet. After much introspection, and talking with friends and family, I feel obligated to reveal why I deleted it.

2) After identifying myself as the subject of the thread, @Fly_PJS reached out to me, threatening to take legal action and publicly defame me if I didn't delete the tweet. Intimidated and nervous, I immediately deleted it.

3) But after thinking about it, and discussing my rights of free speech with advisors, I will not be bullied into silence. I'm now going to raise my voice louder.

4) In early January, PJS hired me to be a concierge for a contract they had with the @NHL team, @Canes. Having worked with PJS as an operations associate for Trump Campaign HQ, I eagerly accepted the position-excited to join a company I had developed a personal relationship with.

5) After receiving a laptop, establishing a work email, and even purchasing additional work clothes, I prepared to travel to Raleigh, NC today for training. Yesterday evening, around 7 PM, PJS called and fired me without explanation.

6) I was devastated. I had gone from being employed to unemployed in a matter of seconds, and I hadn't done anything wrong.

7) I called the owner of PJS and asked for any explanation, and he told me very bluntly: the @NHL found out I worked for the Trump campaign and threatened to cancel the contract with PJS unless they fired me.

8) Instead of standing up for me, instead of explaining to the NHL that I, as a person, am not solely defined by my previous work on the Trump campaign, they fired me for their own company's financial gain.

9) I was upset and disappointed, but I didn't initially blame them for this decision. I wish they had stood up for me...they didn't. I didn't have any animosity towards PJS, until they tried to bully me into silence.

10) So now I'm sharing the story, in its entirety. Even though the owner told me this afternoon that he would deny everything I say if this went any further. But this is the truth, and I feel more empowered and supported if I share it with all of you.

11) I can't begin to thank all of the people who helped me through this, and have reached out to me on Twitter, LinkedIn, and by email to help. Thank you all so much! I look forward to continuing to voice the truth so this never happens to a conservative again.

As far as I know, neither the NHL nor PJS has yet commented on Buchanan's version of events.  Assuming that they are true, Buchanan's ability to sue PJS depends on whether his employment with PJS was at-will or not.  At-will employment allows an employer to fire an employee for any reason except for illegal reasons.  However, if it's true that the NHL extorted PJS into firing Buchanan based upon Buchanan's support for a duly elected president of the United States, I think Buchanan should investigate whether he can sue the NHL for tortious interference with prospective economic advantage.

What's important for purposes of this post is that if Buchanan's facts are accurate, it's clear that the left is determined to marginalize Trump-supporters and other conservatives.  They have already made absolutely clear that they intended to deny them a voice in a computerized world, to leave them without access to banks, and to make sure that they cannot be employed.  Indeed, Curt Schilling has been told that, as a high-profile conservative, he's now uninsurable.  I'm sure there's a lawsuit there, too.  We are to be driven from pillar to post, like lepers of old.

In the long term, the left's is an unsustainable tactic.  Depending on the circumstances, it's almost certainly illegal in many cases.  And finally, if leftists are determined to "de-person" Trump-supporters, it cannot end well for America as a whole.  This is the behavior of hardcore socialists, in the communist or fascist mode, not of members of a pluralist liberal democracy.