De Jacques KUPFER
21/05/17
pour http://les-francophones-d-israel.com/
Les tergiversations politiques,
les hésitations concernant l’urgence de l’extension de la loi israélienne
sur les terres juives libérées lors de la Guerre des 6 Jours, sont nuisibles.
Elles ne font que reculer une décision inéluctable. Ce n’est pas en quêtant
l’avis de Washington mais en puisant dans la foi et le courage de Jérusalem
que doit être prise la décision de l’affirmation de nos droits imprescriptibles
sur Erets Israël.
Les dramatiques accords
d’Oslo sont devenus un cancer dans le corps sain du sionisme. Ils ont également
occasionné de nombreuses métastases que nous retrouvons dans les comportements
médiatiques et opinions altérées par ces organisations et groupements financés
par les gouvernements et les O.N.G. ennemis d’Israël. L’une de ses tumeurs
malignes favorisée par le matraquage du système juridico-médiatique s’appelle :
« deux états pour deux peuples ».
Cette notion est injuste,
impraticable et de plus mortellement dangereuse pour l’État juif. Elle est
injuste car elle est basée sur la supercherie de l’existence d’un « Peuple
palestinien » et d’une entité étatique appelée «Palestine ».
Il n’y a pas eu et il n’y a
pas de Peuple « palestinien » tout comme il n’y a jamais eu et il n’y aura
jamais un État palestinien. Il semblerait que les nations ont peur d’appeler
cette terre par son véritable nom. Les Romains avaient déjà commencé à vouloir
effacer le terme de Judée et les antisémites et nos pauvres gauchistes
continuent en l’appelant « territoire ».
Mais il s’agit de la Terre
d’Israël qui appartient au Peuple juif par décision divine inscrite dans la
Bible depuis des millénaires. Cette terre que les occupants précédents avaient
transformée en désert redevient par la présence juive et en entendant enfin
résonner l’hébreu, une terre où coule le lait et le miel. Ces « territoires »
sont la Judée et la Samarie, le cœur même de l’histoire passée et future de
notre peuple.
Après plus d’un siècle
d’agression, de terrorisme, de guerre d’usure et de conflits armés contre
l’État d’Israël, après des concessions injustifiées auxquelles l’État juif
s’est soumis, il est temps d’affirmer fièrement notre héritage. Nous sommes sur
cette terre non pas par le droit de la force mais par la force du droit,
déclarait Menahem Begin.
Il ne peut y avoir pour une
même terre deux propriétaires légitimes. Le seul et unique propriétaire qui ne
soit ni un locataire provisoire ni un squatter illégal est le Peuple juif. Un
propriétaire, nous a enseigné Jabotinsky, doit savoir se comporter en
propriétaire.
En
fait les mesures libérales et démocratiques prises par l’État d’Israël sont
considérées par les arabes comme un signe de faiblesse et une possibilité de
victoire et un encouragement à leur « radicalisation ».
L’idée de deux États pour
deux Peuples est impraticable. Les dirigeants « palestiniens » depuis le mufti
El Husseini, l’allié irréductible du nazisme, Choukeiri et son rêve de jeter
les Juifs à la mer, Arafat et son terrorisme criminel jusqu’à Mahmoud Abbas qui
réussit à lier le terrorisme criminel à son négationnisme, ne peuvent être de
partenaires possibles de coexistence.
Partage du Mandat par les Britanniques en 1922
La Transjordanie correspond
aux trois quart de la Terre reconnue pour l’État Juif par la déclaration
Balfour, par la S.D.N et par les accords de San Remo. Elle a été arrachée de
notre patrimoine par les Britanniques en 1922. Nous avons de notre plein gré malheureusement
accepté d’amputer notre terre du Hamastan avec les résultats que nous voyons
pour tous les alentours de Gaza.
La moindre concession
territoriale supplémentaire signifierait d’accorder aux bédouins du Néguev et
aux villages encore arabes de Galilée l’espoir d’arracher d’autres parcelles de
notre territoire.
Qui pourrait empêcher un
quelconque gouvernement arabe de faire appel à tous ces faux réfugiés, à tous
les déchets d’un État islamique pour renforcer nos ennemis.
L’existence d’un État arabe
supplémentaire sur la rive occidentale du Jourdain serait un danger mortel pour
l’existence d’Israël.
N’importe quel Arabe proche
de la dramatique ligne de cessez-le-feu de 1967 pourrait actionner une
Katioucha qui toucherait la bande côtière et mettre en danger la population
civile. Il n’est point besoin d’être un fin stratège pour savoir que celui qui
prendrait le pouvoir parmi les Arabes serait les plus acharnés à la destruction
de l’État juif. L’éducation que reçoivent aujourd’hui les écoliers arabes,
présente la carte de la « Palestine » comme englobant la totalité de l’État
d’Israël.
En fait les mesures
libérales et démocratiques prises par l’État d’Israël sont considérées par les
Arabes comme un signe de faiblesse et une possibilité de victoire et un
encouragement à leur « radicalisation ».
Il suffit de regarder la
manière dont les Syriens se comportent entre eux, l’amour homicide entre
Chiites et Sunnites, les mesures prises à l’encontre des Coptes, des Kurdes ou
des Maronites pour imaginer ce que serait l’existence du Peuple juif aux côtés
de ces barbares.
Il est temps de mettre un
terme à leur rêve qui est notre pire cauchemar et imposer la réalité sioniste.
Mais au-delà de toutes les
innombrables raisons politiques, stratégiques, hydrographiques, démographiques
ou sécuritaires, la véritable raison de notre présence en Judée et en Samarie
doit être clamée « urbi et orbi ».
La Terre d’Israël
appartient à son seul et unique et légitime propriétaire :
C’est pourquoi de la Mer au
Jourdain la seule langue officielle doit être l’hébreu.