POT POURRI POLITIQUE sans PERIODICITE ni PRIORITE

PPPPP N° 383

Albert Soued et www.nuitdorient.com – N° 383 – 06/06/25

- avec des liens importants au bout –

Autorité Palestinienne (AP)

- Le Hamas est confronté à une grave crise financière alors que les combats avec Israël se poursuivent dans la bande de Gaza. Le Hamas a du mal à payer les salaires, non seulement des fonctionnaires, mais aussi de son aile militaire. Il n'a pas versé de salaires aux terroristes depuis environ trois mois et rencontre de sérieuses difficultés financières pour acquérir des équipements essentiels à ses opérations militaires.

- Hafez Assad, l’ancien Président de la Syrie, a déclaré à Yasser Arafat, le dirigeant de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) :

« Vous ne représentez pas la Palestine – le peuple palestinien n’existe pas »

Plusieurs sources rapportent cette déclaration. L’une d’entre elles est le livre « The Middle East : A History » de James L. Gelvin. Dans ce livre, Gelvin écrit qu’Assad a fait cette déclaration lors d’une réunion avec Arafat en 1973.

Une autre source est le livre « Hafez al-Assad : The Rise and Fall of the Lion of Damascus » (Hafez al-Assad : l’ascension et la chute du lion de Damas) de Patrick Seale. Dans ce livre, Seale écrit qu’Assad a fait cette déclaration lors d’une réunion avec Arafat en 1974. Goodreads confirme et va plus loin dans la citation du propos d’Hafez al-Assad. Assad dit à Yassir Arafat :

« Vous ne représentez pas la Palestine autant que nous, n’oubliez jamais ça. Le peuple palestinien n’existe pas, l’entité palestinienne n’existe pas, il n’y a que la Syrie.

Vous faites partie intégrante du peuple syrien, la Palestine fait partie intégrante de la Syrie. C’est donc nous, les autorités syriennes, qui sommes les véritables représentants du « peuple » palestinien ».

La déclaration d’Assad est importante car elle reflète son point de vue sur le peuple arabe.

- Les forces israéliennes opérant dans le quartier de Tel al-Sultan à Rafah ont découvert une cache d’armes du Hamas cachée dans des sacs d’aide humanitaire de l’UNRWA. Selon l’armée, la cache se trouvait à environ 80 mètres d’une ancienne école et à 100 mètres d’un bâtiment ayant servi d’hôpital. La 205e brigade a également démantelé des dizaines de sites d’infrastructures terroristes, éliminé plusieurs terroristes du Hamas et neutralisé plusieurs maisons piégées au cours de l’opération.

Syrie

- Les attaques syriennes contre les Druzes pourraient entraîner un affrontement avec Israël. Tout a commencé par des rumeurs concernant un enregistrement audio censé insulter les musulmans. Des extrémistes se sont alors rassemblés pour calomnier la communauté druze et proférer des menaces de génocide.

Il semble qu'il s'agisse d'une répétition d'incidents courants dans le monde islamique, où de prétendues « insultes au prophète Mahomet » conduisent au lynchage, au meurtre et au massacre. A Jaramana, au sud de Damas des jihadistes islamistes armés se sont dirigés vers le quartier druze, tirant des mortiers, tuant 13 civils et en blessant plusieurs dizaines. Organisée et rapide, la riposte des habitants a permis de contenir l’assaut, évitant les 1500 morts de l’affrontement récent contre la minorité alaouite.

Les factions sunnites ont considéré comme une trahison la visite de 60 dignitaires druzes syriens au tombeau du prophète Shoaib, situé près de Tibériade en Israël.

À Sahnaya, en Syrie, où des affrontements ont eu lieu, des extrémistes ont été filmés en train d'accuser les Druzes d'être des « Juifs » et de répandre la haine et la conspiration contre les Druzes en Syrie.

Ayant une communauté druze conséquente, Israël a averti la Syrie qu’une atteinte grave contre les Druzes syriens pourrait entraîner une riposte de Tsahal. Eyal Zamir a « donné pour instruction à l'IDF de se préparer à frapper des cibles appartenant au régime syrien si les violences contre les communautés druzes se poursuivaient »...».

- Aymenn Jawad al-Tamimi : L'accord des Forces démocratiques syriennes (FDS) avec le président syrien Ahmed al-Sharaa a soulevé des différends sur la souveraineté, le fédéralisme et les relations des FDS avec les États-Unis.

Le gouvernement central rejette toute tentative de partition et toute notion de fédéralisme, soulignant son désir d'unité nationale en Syrie. La déclaration de la présidence souligne la tension entre les ambitions des FDS et l'intégrité territoriale de la Syrie.

Les actions des FDS sont perçues par al-Sharaa comme un pas vers le changement démographique, qu'il considère comme une menace pour le tissu social de la Syrie.

Le gouvernement syrien met en garde contre toute intervention étrangère et souligne la nécessité d'une solution dirigée par les Syriens. La présidence demande aux FDS d'adhérer à l'accord et leur reproche de continuer à compter sur les troupes américaines pour rester et garantir leur sécurité et leur existence.

Turquie

- Abdullah Bozkurt : Le Hamas se mobilise pour obtenir des armes en Turquie. Un haut responsable du Hamas, Marwan Muhammad Abu Ras, cherche ouvertement à obtenir un soutien militaire et financier en Turquie, avec la bénédiction du régime islamiste du président Erdoğan.

Le soutien de la Turquie au Hamas renforce les ambitions djihadistes contre Israël, menace la stabilité régionale et ébranle ses soi-disant alliés occidentaux.

Le fait de fournir des plateformes étatiques aux dirigeants du Hamas pour qu'ils acquièrent des soutiens matériels démontre également le soutien manifeste d'Erdoğan aux organisations terroristes. Les dirigeants du Hamas trouvent refuge, soutien et accueil chaleureux en Turquie. Nombre d'entre eux ont obtenu la nationalité turque et y ont lancé des entreprises lucratives de plusieurs millions de dollars.

L'alliance d'Erdoğan avec des organisations terroristes marque une rupture avec les alliances et les obligations envers l'OTAN et l'Occident, ce qui pose des problèmes pour les intérêts américains et israéliens.

L'alignement de la Turquie sur le Hamas et le Hezbollah complique la dynamique régionale et nécessite une réévaluation approfondie et attendue depuis longtemps de la relation de l'Occident avec Ankara.

- Le soutien d'Erdoğan aux factions islamistes et sa position antagoniste à l'égard d'Israël pourraient déstabiliser la région, obligeant Israël à faire face à des défis sécuritaires accrus. Les actions de la Turquie renforcent les groupes terroristes comme le Hamas, sapant les efforts d'Israël pour maintenir la paix et la sécurité.

La dernière rencontre d'Erdoğan avec le président intérimaire syrien Ahmed al-Sharaa montre l'intention de la Turquie de renforcer les alliances anti-israéliennes. En facilitant la levée des sanctions contre la Syrie, la Turquie soutient un régime qui pourrait s'aligner sur les adversaires d'Israël.

Avec la réduction potentielle de l'influence des États-Unis dans la région, Israël doit se préparer à une augmentation de l'agression turque.

Les politiques expansionnistes d'Erdoğan menacent de remodeler la dynamique du pouvoir au Moyen-Orient et de remettre en question les alliances stratégiques d'Israël.

Une guerre entre Israël et la Turquie n'est plus une possibilité lointaine.

La question est maintenant de savoir si Washington peut l'empêcher, quel effet les ventes de matériel militaire pourraient avoir sur son issue et qui les États-Unis veulent voir gagner.

- La dissolution du PKK pourrait créer un espace pour la montée des mouvements illibéraux, certains Kurdes étant désillusionnés par l'hypocrisie perçue des démocraties occidentales.

Ankara pourrait y voir une occasion de freiner la transformation régionale et de renforcer les positions anti-israéliennes, ce qui aurait un impact sur les paysages géopolitiques plus larges.

Que se passera-t-il ensuite ? Le président turc Recep Tayyip Erdoğan considère probablement le démantèlement du PKK comme une occasion de freiner la transformation régionale et de renforcer sa position anti-israélienne.

Si les puissances mondiales et régionales acceptent de tels changements, elles consentiront effectivement à une transformation de la région qui pourrait avoir des conséquences régionales et mondiales, dont beaucoup seront préjudiciables non seulement aux aspirations kurdes, mais aussi au libéralisme occidental et aux valeurs progressistes.

- Le soutien de la Turquie au Pakistan sur la question du Cachemire s'aligne sur son programme islamiste plus large, menaçant la souveraineté de l'Inde et la stabilité régionale.

La Turquie utilise une stratégie de soutien aux factions islamistes pour étendre son influence, à l'image de ses tactiques à Gaza et au-delà.

La décision de l'Inde de mettre fin aux contrats turcs reflète une réévaluation nécessaire de la Turquie en tant que menace stratégique. L'Inde doit recalibrer sa politique étrangère pour contrer les provocations de la Turquie et garantir ses intérêts nationaux.

Les cellules terroristes peuvent continuer à siéger à Rawalpindi, mais leurs planificateurs pourraient bientôt siéger à Istanbul et à Ankara.

Le renforcement des alliances avec la Grèce, l'Arménie et Israël est essentiel pour contrer l'agenda expansionniste de la Turquie et garantir la stabilité en Asie du Sud.

Iran

- Le prince héritier iranien Reza Pahlavi a réagi à la reprise des négociations entre les États-Unis et l'Iran en vue d'un accord nucléaire : « Ces négociations nucléaires n'apporteront pas la paix au Moyen-Orient », a déclaré M. Pahlavi dans un communiqué. « Ce régime ne négocie pas de bonne foi. Il utilise la diplomatie comme une tactique pour gagner du temps, alléger la pression et renforcer son emprise sur le pouvoir.

« Même s'ils sont bien intentionnés, ces pourparlers sur le nucléaire jetteront une bouée de sauvetage à une dictature qui s'effondre et prolongeront son exportation de la terreur et du chaos. La République islamique est à son point le plus faible depuis 46 ans. Ses dirigeants sont fracturés. Son économie est en chute libre. Son peuple se soulève. Au cours des dernières semaines, des manifestations ont à nouveau éclaté dans tout le pays. Le changement est déjà en marche. Ce n'est pas le moment de sauver un régime moribond ».

Il a ajouté : « J'exhorte les États-Unis et leurs alliés au Royaume-Uni, en France, en Allemagne et en Italie à se tenir aux côtés du peuple iranien. Passez un accord avec le peuple iranien, pas un accord avec les extrémistes de Téhéran ».

- L'Iran avait des ambitions impériales en Syrie, mais a échoué.

Des documents décrivent les rêves iraniens d'un plan Marshall à l'américaine en Syrie, qui a échoué avec la chute de Bachar al-Assad. Des projets gigantesques se sont heurtés très tôt à la corruption, aux sanctions et à des problèmes d'argent.

Qatar

- Situé en bord de mer, à 40 minutes au nord de Doha, la capitale du Qatar, le projet Simaisma, d'une valeur de 5,5 milliards $, dirigé par Qatari Diar, est conçu comme un méga-domaine de loisirs de 7 km de long, dont le point d'ancrage est un terrain de golf de 18 trous et un parc à thème Land of Legends.

Le Trump International Golf Course et les Trump Villas feront partie du projet Simaisma.

Israël

- Michael Freund : Dans un monde qui semble souvent à l'envers, où les démocraties dorlotent les terroristes et font la morale à leurs victimes, les récentes menaces de la France, du Royaume-Uni et du Canada de reconnaître unilatéralement un soi-disant État palestinien ne sont guère surprenantes.

Mais cela ne les rend pas moins scandaleuses.

Ces gouvernements, avec une hypocrisie à couper le souffle, veulent récompenser les auteurs du 7 octobre en leur accordant un État à eux.

Dans une déclaration commune, ils ont également averti que si Israël ne s'abstenait pas d'étendre ses opérations militaires à Gaza et ne mettait pas fin à toutes les « activités de colonisation », ils n'hésiteraient pas à prendre des mesures contre l'État juif, « y compris des sanctions ciblées ».

Israël ne doit pas reculer devant cette mascarade diplomatique. Au contraire, la meilleure réponse possible est d'affirmer la pleine souveraineté israélienne sur la Judée, la Samarie et la bande de Gaza.

- L'establishment de la défense a exprimé son inquiétude face à la forte augmentation de l'implication d'Arabes israéliens dans l'État islamique et d'autres groupes terroristes palestiniens dans le nord de la Judée et de la Samarie - Au cours des cinq derniers mois, le Shin Bet (Agence de sécurité israélienne) a démasqué et arrêté plus de 15 cellules et réseaux terroristes composés d'Arabes israéliens. Le Shin Bet a découvert et arrêté plus de 15 cellules et réseaux terroristes composés d'Arabes israéliens.

- Une étude a été menée par le mouvement « Securityists ».

70% du public juif ressent une affinité historique avec la Judée et la Samarie, 63% une affinité émotionnelle et 48% une affinité religieuse.

En revanche, parmi les Arabes israéliens, 33 % ressentent un lien historique et 32 % un lien religieux. Pour constituer leur futur Etat, cela veut dire que les Arabes réclament une région avec laquelle ils ne ressentent aucun attachement.

Concernant les appels au boycott des produits et des événements en Judée-Samarie, l’enquête a révélé que 71 % des Juifs et 53 % des Arabes israéliens n’ont aucun problème à acheter des produits fabriqués en Judée-Samarie.

En ce qui concerne la vie en Judée Samarie, 47% des juifs ont répondu qu’ils pourraient envisager de déménager en Judée Samarie.

Etats-Unis

- Le Président américain a mis en garde Paris et Londres contre une reconnaissance unilatérale - de l'Etat palestinien.

- Le départ d’Elon Musk devait avoir lieu en douceur. Mais alors qu’il venait d’annoncer prendre ses distances avec la politique pour retourner à ses entreprises, Elon Musk a violemment critiqué le budget que Trump vient de faire voter au Congrès. «Je suis désolé, mais je n’en peux plus», a explosé mardi le milliardaire sur le réseau social X, dont il est propriétaire et qui lui sert de mégaphone. «Ce projet de loi budgétaire, énorme, scandaleux et bourré de dépenses inutiles, est une abomination répugnante. Honte à ceux qui ont voté pour : vous savez que vous avez mal agi. Vous le savez».

France

- Ce qui s’est produit à Paris après la victoire du Psg v/ Milan, comme dans d’autres villes de France, n’a rien d’un désordre passager. Ce sont les signes avant-coureurs d’un effondrement.
Un adolescent poignardé, une femme écrasée, des magasins pillés, dévastés, ravagés, des voitures et des immeubles incendiés, des policiers caillassés, encerclés, roués de coups, des pompiers frappés, agressés, empêchés d’intervenir. Le tout, sous le regard impuissant de l’État.
Officiellement, cela devait être une fête. Mais qu’y a-t-il à fêter dans cette transe destructrice ? Ce n'est en rien une liesse populaire mais une libération pulsionnelle, un exutoire communautaire.

Ce qui s’est passé hier soir n’est pas un incident, c’est un avertissement. Une répétition.
Dans nos banlieues, des meutes s'impatientent. Ce ne sont plus de simples bandes : ce sont des forces en gestation, violentes, prêtes à déborder.
Un jour viendra où elles seront si nombreuses, si sûres de leur force, qu’elles déferleront en masse, comme un fleuve en crue. L’eau sortira de son lit. Et ce jour-là, plus rien ne tiendra : ni les CRS, ni les discours, ni les institutions. Ce que nous avons connu en 2023 ne fut qu’une répétition. Le pire est à venir, et nous sommes de plus en plus nombreux à le pressentir.
La France paiera alors le prix de son aveuglement. Et ce prix sera terrible.

Suisse

- Championnat d’escrime : Au son de l’Hatikva, les Suisses tournent le dos aux gagnants israéliens. Gideon Saar a qualifié ce comportement de "honteux". La Fédération suisse d'escrime a exprimé ses regrets et s'est engagée à enquêter ; l'équipe israélienne se dit blessée

Belgique

- Le Premier ministre belge Bart De Wever a été interrogé par un journaliste local sur une résolution du gouvernement visant à promouvoir un État palestinien. Ce dernier a répondu :

« Le problème au Moyen-Orient, vous le savez, c’est que les émotions sont à fleur de peau. Il y a des opinions différentes au parlement, aussi au sein de la majorité. Nous devons donc être prudents avec ce sujet »

Puis de Wever a détaillé une liste de problèmes qui rendent la création d’un Etat palestinien particulièrement difficile, si ce n’est impossible, et a expliqué qu’ils doivent être résolus avant qu’un État palestinien puisse voir le jour :

- sa localisation,

- qui le gouvernerait,

- la légitimité de son gouvernement,

- la reconnaissance par lui de la souveraineté d’Israël,

- le désarmement du Hamas,

- les garanties de sécurité pour Israël, et l’acceptation par le monde arabe.

Il aurait pu ajouter : l’accord de l’Etat d’Israël, puisque c’est entre ses mains, et entre ses mains seules, que réside, au regard de la Charte des Nations Unies, la décision finale de création d’un Etat palestinien sur les territoires disputés.

Irlande

Une nouvelle religion fait des ravages en République d’Irlande

Le catholicisme a été supplanté par une croyance beaucoup plus cultuelle. Ses doctrines sont proclamées avec ferveur, ses icônes ornent chaque ville et chaque village. Vous aurez du mal à trouver une personne qui ne se soit pas convertie à cette foi étrange et dévorante. Son nom ? L’israélophobie.

Je savais que l’Irlande était hostile à Israël, mais je n’avais aucune idée de la gravité de la situation. C’est étouffant. Où que vous alliez, que ce soit en ville ou dans une tourbière, vous le verrez et l’entendrez – cette animosité tourbillonnante à l’égard de l’État juif. La classe politique ne parle que de cela. Les médias sont fébrilement obsédés. De tous les partis politiques, de tous les plateaux de télévision, de toutes les tribunes, le cri retentit : Israël est le mal !

On a l’impression que l’État juif est devenu un substitut de Satan dans l’Irlande post-catholique.

C’est inéluctable. Il y en a partout à Dublin, bien sûr, qui est depuis longtemps un haut lieu de l’activisme gauchiste. Vous ne ferez pas cinq mètres sans voir un jeune portant un keffieh et affichant un air d’autosatisfaction suffisante. Le drapeau palestinien flotte au Trinity College. Même le drapeau du Hamas a été brandi lors de manifestations dans la capitale : des gauchistes pour le fascisme.

Onu

- L'Assemblée mondiale de la santé (WHO, World Health Organization), qui se tient à Genève (Suisse), a décidé d'autoriser le drapeau de l'Autorité palestinienne à flotter aux côtés de ceux des États membres de l'OMS. La motion a été approuvée par 95 voix contre 4 et 27 abstentions. Les États-Unis et le Royaume-Uni font partie des pays qui se sont abstenus. Israël, la Hongrie, la République tchèque et l'Allemagne ont été les seuls pays à s'opposer à la décision. (« Ils » brandissent le drapeau d'un État qui n'a jamais existé, d'une fausse nation ou d'un faux peuple, dont les frontières n'ont pas été violées !)

- Dans une prise de parole directe et sans concession, le Dr Richard Rossin, chirurgien orthopédiste et cofondateur de Médecins du monde, a mis en cause plusieurs acteurs majeurs de l’aide humanitaire opérant à Gaza. Invité sur la chaîne i24NEWS, il a dénoncé ce qu’il considère comme une compromission grave de la part d’organisations censées rester neutres dans les conflits, en particulier vis-à-vis du Hamas.

- C’est Tom Fletcher – le gars qui a sorti de nulle part la phrase « 14 000 bébés palestiniens mourront de faim dans les prochaines 48 heures ». Puis il s’est récusé de son erreur….

Vérifiez le costume sur mesure. Admirez la voiture de luxe. Il travaille pour l’ONU. Et l’Onu travaille pour le Hamas en empêchant Israël de prendre le contrôle de Gaza. Et si Israël prend le contrôle de Gaza, une machine à argent vieille de plusieurs décennies – l’industrie de l’aide palestinienne de l’ONU et de l’UNRWA – sera débranchée.

Et cela menace des dizaines de milliers de carrières confortables.

Nous parlons de centaines d’ONG qui existent uniquement pour graviter autour de cette question. Des départements entiers de l’ONU. Des milliards de budgets annuels. Tout suspendu à un fil.

Islam

- Thérèse Zrihen-Dvir : Le comble est que le musulman lui-même n’est pas un véritable croyant, puisque l’islam pour lui n’est en principe qu’un paravent, dont il se sert pour exhorter les masses et les dépêcher perpétrer des crimes au nom d’Allah.

Le Hamas musulman tue ses frères musulmans, faisant d’eux de la chair à canon pour consolider son pouvoir. Il leur tire dessus lorsqu’ils osent s’approcher de l’aide humanitaire envoyée par des pays bénévoles. Il leur bourre le crâne contre l’Israël et les incite à les convertir en kamikaze, sous la promesse de 72 vierges en attente au paradis.

C’est inimaginable à quel point ils sont ignorants, primitifs, barbares et si peu informés des actes réels de leurs dirigeants coreligionnaires.

Le tout, en fait, est un théâtre dont la victime est celle qui a eu le malheur de placer sa confiance en eux.

Il va de même pour les conflits et les guerres entre les musulmans. L’Iraq musulman a attaqué le Koweït musulman. L’Iran Musulman a attaqué l’Iraq. Et ainsi de suite.

En Afrique du Nord, c’est le même scénario. Ils ne sont bons pour personne d’autre qu’eux-mêmes, mais excellent dans la dictature, les vols, les effractions, l’injustice, la tromperie, le crime. Et c’est vers ce monde que les Occidentaux ont ouvert leurs portes.

Antisémitisme & BDS

- Selon une récente enquête menée par l’Anti-Defamation League (ADL), près de la moitié des adultes dans le monde entretiennent des idées antisémites, tandis que moins de la moitié reconnaissent la véracité de l’Holocauste. Réalisée dans le cadre de l’ADL Global 100 Index, l’étude a été menée entre juillet et novembre 2024 et a impliqué 58 000 adultes dans 103 pays.

Elle révèle que seulement 48 % des participants adhèrent à l’exactitude historique de l’Holocauste, et un cinquième des répondants n’en avait jamais entendu parler.

Ce pourcentage de croyances antisémites atteindrait 46 % au niveau mondial, un record pour ce type d’étude.

En analysant les résultats par région, 76 % des répondants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord croient à la majorité des stéréotypes antisémites, tandis que la Suède, la Norvège et le Canada affichent les taux les plus bas, respectivement de 5 %, 8 % et 8 %.

- Des archéologues israéliens se retrouvent sur la liste noire de la communauté universitaire internationale, incapables de publier les résultats de leurs recherches sur certains des sites les plus importants de l’histoire, notamment en Judée Samarie.

Les politiques menées par le monde archéologique universitaire aboutissent à l’effacement de l’histoire biblique, tandis que les efforts délibérés de l’Autorité palestinienne pour effacer les preuves du lien juif avec la terre mettent en péril des sites d’une valeur historique considérable.

« Je sais que je ne pourrai pas publier les résultats de mon étude dans aucune des principales publications », explique Dvir Raviv, archéologue à l’Université Bar-Ilan de Ramat Gan.Il a récemment terminé la première saison de fouilles à Sartaba -100. L’expérience de Raviv n’est pas unique. Des archéologues de l’Université hébraïque de Jérusalem ont mené des recherches dans la même zone il y a 40 ans, mais leurs découvertes n’ont jamais été publiées dans des revues internationales.

Le boycott universitaire découle du statut complexe de la Judée et de la Samarie, conquises par Israël lors de la guerre des Six Jours de 1967 et considérées comme occupées par la majeure partie du monde.

La Convention de La Haye de 1954 pour la protection des biens culturels limite les activités archéologiques des puissances occupantes, autorisant uniquement les « fouilles de sauvetage » pour préserver les sites menacés. depuis que les accords d’Oslo de 1993 ont divisé la Judée-Samarie en trois zones administratives, deux générations d’archéologues israéliens sont quasiment absentes des régions du cœur biblique. Israël n’exerce un contrôle civil que sur les sites désignés comme zone C.

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Meurtre, Extorsion et Peur - Ou comment les syndicats du crime arabes ont pris le contrôle de la pègre israélienne - www.nuitdorient.com/n28223.htm

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Politique

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- Vous pensiez vraiment savoir qui sont les Palestiniens ? Vous allez être surpris - Dreuz.info

- Google démontre de manière incontestable que le peuple palestinien a été inventé dans les années 60 - Dreuz.info

Abnousse Shalmani parle du pogrom

24h Pujadas sur X : « Les 3 leçons de l’attaque contre Israël », le parti pris #international d'Abnousse Shalmani #24hPujadas #LCI #La26 ⤵️ https://t.co/316CWBUblD" / X (twitter.com)

Sheikh Jarrah -Jérusalem

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Propagande palestinienne

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