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18 Mars 2010 - Juif.org
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Le secrétaire général des Nations
Unies, Ban Ki-moon, doit
arriver en Israël pour visiter la bande de Gaza, et probablement pour demander
la fin du « siège » de ce territoire contrôlé par des terroristes
islamistes. On peut pourtant se poser la question de quel siège ou blocus
il parle, alors que 738 576 tonnes d’aide humanitaire ont été transférées dans la bande de Gaza
en 2009.
En outre, l’ONU a fourni 200
millions de dollars d’aide à la bande de Gaza suite a l’opération militaire qui
aurait fait 1 300 morts, en majorité des terroristes du Hamas. La bande de Gaza
compte 1 500 000 habitants. Ces 200 millions de dollars sont à comparer aux 10
millions de dollars que l’ONU a fournis (outre les autres sources de donateurs)
fin janvier suite au tremblement de terre à Haïti, qui a coûté la vie à plus de
230 000 personnes, et en a affecté plus de 3 millions d’autres. Bien entendu,
cela sans mentionner le fait que les Haïtiens n’ont pas attaqué une innocente
population civile toute proche pendant près d’une décennie.
La communauté internationale a vite
avalé un mensonge aberrant au sujet d’un siège israélien de la bande de Gaza,
en ignorant les faits sur le terrain. L’aide humanitaire internationale
s’écoule facilement dans la bande de Gaza depuis des années, et n’a en aucun
cas été interrompue suite à l’opération militaire de l’hiver dernier. 30 576 camions d’aide humanitaire sont entrés dans ce territoire islamiste en 2009. Toujours
en 2009, 4 883 tonnes d’équipements médicaux sont entrés dans la bande de Gaza.
Le mois dernier encore, un nouveau scanner médical est entré dans la bande.
La bande de Gaza a aussi été
définie comme « la plus grande prison du monde », ce qui
impliquerait que les résidents ne sont pas capables de quitter ce territoire.
Encore en 2009, 10 544 patients et leurs
compagnons ont quitté la bande de Gaza
pour des traitements médicaux offerts par Israël, la semaine dernière encore,
près de 500 patients et leurs proches sont arrivés en Israël pour y être
soigné.
Des responsables américains tels
que les membres du Congres Keith Ellison et Brian Baird ont promu l’idée d’un
« siège de Gaza ». Ils doivent probablement ignorer le fait que la
secrétaire d’état, Hillary Clinton, s’est engagée à envoyer une aide de 900
millions de dollars à la bande de Gaza suite à l’opération israélienne il y a
plus d’un an. Un rapport de l’USAID a fait le calcul de l’aide américaine
envoyée à Haïti suite aux ravages du tremblement de terre. Toutes les aides
gouvernementales confondues se montent à 700 millions de dollars, soit 200
millions de moins que l’aide envoyée à la bande de Gaza contrôlée par des
terroristes.
Plus d’un an a passé depuis
l’opération de janvier 2009 et la communauté internationale continue de faire
valoir le mensonge d’un « siège de Gaza ». Pendant ce temps, le Sderot Media Center a signalé que plus de 320 attaques de roquettes et de mortiers ont touché Israël la même année. En effet, il ne serait
pas inutile que Ban Ki-moon
visite le kibboutz Nirim pour voir les dégâts causés
la semaine dernière par une roquette palestinienne, au lieu de continuer à
promotionner un mythe en visitant la bande de Gaza.
Et pour finir, nous n’avons pas
parlé du fait que la bande de Gaza possède une frontière commune avec sa
population frère d’Egypte, frontière qui est étonnamment fermée, une fermeture
qui n’est jamais mentionnée, que ce soit des les instances politiques
internationales, ou dans la presse mondiale. C’est d’ailleurs à cause de la
fermeture par l’Egypte de sa frontière avec Gaza que tant Ki-moon que les autres dirigeants mondiaux sont obligés de
rentrer dans la bande via Israël, une situation qui échappe à toute logique,
mais qui n’empêche pas le monde de perpétuer des mensonges à l’encontre
d’Israël. (1)
Nota de www.nuitdorient.com
Lors des élections de 2006, la
bande de Gaza a choisi comme souverain le Hamas, une organisation considérée
comme terroriste par tout l'Occident. Le Hamas ne reconnaît pas l'état d'Israël
et cherche à la détruire par tous les moyens possibles, notamment en coopérant avec
l'Iran shiite. Le Hamas est devenu un agent d'Ahmedinejad.
Malgré cela comme l'article ci-dessus le démontre le seul blocus à Gaza est celui de l'Egypte, qui a une frontière commune avec lui de 20km.
Si on fait des comparaisons, depuis 62 ans, les pays arabes font un blocus économique et politique d'Israël puisqu'en dehors de quelques points de passages les frontières sont fermées avec le Liban et la Syrie et les liaisons réduites au minimum avec la Jordanie et l'Egypte. Israël subit un blocus des pays arabes depuis 62 ans (BDS, ne veut-il pas dire blocus-désinvestissement-sanctions)