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Mahmoud Abbas a Trouvé sa Balle en Or

Des choses arrivent, dans le brouillard de la guerre, al-Jazeera, mais Abbas sait comment jouer le jeu ; il y a donc de fortes chances qu'une balle terroriste ait tué Abu Akleh.

 Par Jack Engelhard-, romancier américain à succès, basé à New York, écrit régulièrement pour Arutz Sheva. Il a écrit le best-seller mondial du livre au film "Proposition indécente", l'épopée de la salle de rédaction, "L'échéance de Bathsheba", suivie de ses classiques du passage à l'âge adulte, "Les filles de Cincinnati", et des mémoires de l'Holocauste à Montréal, "Escape from Mount Moriah". Pour cet ouvrage et pour son épopée des années 1960, "Les jours de la fin amère", ses contemporains l'ont salué comme "le dernier Hemingway, un écrivain sans égal et notre conscience à tous". Site web : www.jackengelhard.com

13.05.22

Texte en anglais ci-dessous

Voir aussi les 50 derniers articles & l'Autorité Palestinienne 

 

Regardez ces noms... Terry Lloyd... Paul Moran... Gary Rado... Michael Kelly... et ainsi de suite.

Ils font partie de la douzaine de reporters de combat qui ont été tués récemment alors qu'ils couvraient tel ou tel conflit, quelque part dans le monde. Ils font partie de la centaine de personnes qui sont tuées chaque année lorsqu'elles sont prises dans la ligne de mire.

Il y a de fortes chances que vous n'ayez jamais entendu parler d'eux. Ils sont venus. Ils ont vu. Ils ont fait des reportages... et puis c'était fini pour eux. Ils ont été pleurés par leurs proches, en privé, avec respect... mais pour les vivants, la vie continue.

Mais voici une reporter de combat décédée dont le nom, Shireen Abu Akleh, est maintenant étalé dans toutes les nouvelles... comme si elle était unique en son genre.

C'est parce que cette journaliste d'Al-Jazeera a été touchée lors d'une fusillade entre les FDI et des Arabes palestiniens, et que la ruée vers le jugement se retourne, sans preuve, contre les Israéliens.

Le brouillard de la guerre s'est produit alors que les FDI se trouvaient à Jénine, occupée par des Arabes, afin d'extirper les nids de terroristes.

Jénine, dans la région de Samarie, est en fait, à l'origine, la ville lévite biblique d'Ein-Ganim, fief de la tribu israélite Issachar. Il n'y a pas plus juif que cela.

Mais Jénine est maintenant aux mains de quelque 40 000 Arabes palestiniens, et elle est administrée par Mahmoud Abbas et son Autorité palestinienne, qui a eu de la chance lors des accords d'Oslo.

Abbas n'est pas toujours aussi chanceux. Habituellement, pour enflammer ses camarades islamistes, il a recours à une rhétorique incendiaire, en utilisant l'habituel canard sur les Juifs qui viennent pour détruire la mosquée al-Aqsa.

C'est une façon d'inciter à davantage d'effusion de sang, et souvent, cela fonctionne, comme nous le montre la récente vague de meurtres contre des civils israéliens.

Des années plus tôt, lors du canular de « Mohamad al-Dura », les dirigeants arabes palestiniens ont vu l'occasion parfaite, et l'ont saisie, d'allumer l'allumette qui a déclenché la soif de sang de l'Intifada.

C'est alors que l'enfer se déchaîne à cause d'un faux rapport. Les foules s'enflamment. Par réflexe, les médias prennent leur parti et accusent les Juifs.

Sur place, nous racontons l'histoire dans un livre, à travers les yeux d'un grand journaliste new-yorkais qui doute.

Progressivement et finalement, il prend conscience de manière dramatique des tromperies, de la diffamation arabe et de la corruption des médias qui favorisent un côté plutôt que l'autre. Ainsi, nous entendons un correspondant de la BBC dire à un rassemblement du Hamas..." Les journalistes se battent au coude à coude avec le peuple palestinien."

En effet, il en a été ainsi pendant et après la fabrication d'al-Dura, lorsque même l'Atlantic, un magazine de gauche, a prouvé l'innocence des Israéliens.

Mais on a ajouté...hélas,  « les gens croiront ce qu'ils veulent croire ».

Personne ne le sait mieux que Mahmoud Abbas.

Un journaliste a été tué lors d'une action meurtrière entre Arabes et Israéliens.

C'est sa balle d'or pour remuer ses foules, et pour grandir les médias, et pour aller pleurer devant la Cour pénale internationale.

Les Israéliens prennent toujours soin d'éviter les pertes civiles. C'est un fait. Les Arabes palestiniens visent et tirent directement sur les civils. Cela aussi est un fait.

Mais Abbas sait comment jouer à ce jeu.

C'est pourquoi il refuse de coopérer avec les Israéliens pour trouver qui a tiré cette balle.

Il y a donc de fortes chances qu'elle provienne d'un fusil arabe.

Même si c'est le cas, les journalistes de combat connaissent les risques.

Ces choses arrivent.

En fait, la dame serait en vie aujourd'hui si ses compatriotes arabes n'avaient pas pour habitude de tuer des gens.

..

 

Mahmoud Abbas found his golden bullet

Stuff happens, in the fog of war, al-Jazeera, but Abbas knows how to play the game so chances are a terrorist bullet killed Abu Akleh.Op-ed.

Jack Engelhard- New York-based bestselling American novelist Jack Engelhard writes regularly for Arutz Sheva.

He wrote the worldwide book-to-movie bestseller “Indecent Proposal,” the authoritative newsroom epic, “The Bathsheba Deadline,” followed by his coming-of-age classics, “The Girls of Cincinnati,” and, the Holocaust-to-Montreal memoir, “Escape from Mount Moriah.” For that and his 1960s epic “The Days of the Bitter End,” contemporaries have hailed him “The last Hemingway, a writer without peer, and the conscience of us all.” Websitewww.jackengelhard.com

13.05.22 

Check out these names…Terry Lloyd…Paul Moran…Gary Rado…Michael Kelly…and so forth.

These are among the dozen combat reporters who were killed recently while covering this and that conflict or another, somewhere around the world.

They’re among the hundred or so who are killed each year when caught in the line of fire.

Around a dozen combat reporters were killed recently while covering this and that conflict or another, somewhere around the world.

Chances are that you never heard of them. They came. They saw. They reported…and then it was over for them.

They were mourned by the people closest to them, privately, respectfully…but for the living, life goes on.

But here’s one deceased combat reporter whose name, Shireen Abu Akleh, is now splattered all over the news…as if she were one of a kind.

That’s because this Al-Jazeera reporter got hit in a firefight between the IDF and Palestinian Arabs, and the rush to judgment falls, without evidence, against the Israelis.

The fog of war happened as the IDF were in Arab-occupied Jenin in order to root out nests of terrorists.

Jenin, in the Samaria region, is actually, originally, the Biblical Levite city of Ein-Ganim, stronghold of the Israelite tribe Issachar.

It doesn’t get more Jewish than that.

But Jenin is now in the hands of some 40,000 Palestinian Arabs, and it is administered by Mahmoud Abbas and his Palestinian Authority, which got lucky at the Oslo Accords.

Abbas is not always so lucky. Usually, in order to fire up his fellow Islamists, he resorts to inflammatory rhetoric per the usual canard about Jews coming for the al-Aqsa mosque.

That’s one way to incite more bloodshed, and often, it works, as we see from the recent wave of murders against Israeli civilians.

Years earlier, during the Mohammad al-dura hoax, Palestinian Arab leaders saw the perfect chance, and took it, to light the match that sparked an intifada bloodlust.

That’s when all hell breaks loose due to a false report. The mobs are ignited. Reflexively, the media take their side and blame the Jews.

On the scene ourselves, we tell the story in a book through the eyes of a doubting bigtime New York journalist.

Gradually and finally, he becomes dramatically aware of the deceptions; Arab blood libels, and media corruption favoring that one side over the other. Thus, we hear a BBC correspondent telling a Hamas rally…” Journalists are fighting shoulder to shoulder together with the Palestinian people.”

Indeed, It was that way during and after the al-dura fabrication when even the Atlantic, a left-wing magazine, proved the Israelis innocent.

But addedalas” people will believe what they want to believe.”

No one knows this better than Mahmoud Abbas.

A journalist got killed during deadly action between Arabs and Israelis.

That’s his golden bullet to stir up his mobs, and to grandstand the media, and to go crying to the International Criminal Court.

The Israelis are always careful to avoid civilian casualties. That’s a fact. The Palestinian Arabs aim and shoot directly at civilians. This too is a fact.

But Abbas knows how to play this game.

That’s why he refuses to cooperate

 with the Israelis at finding out who shot that bullet.

Chances are, therefore, that it came from an Arab rifle.

Even if otherwise, combat journalists know the risks.

Stuff happens.

In fact, the lady would be alive today if her fellow Arabs weren’t in the business of killing people.